Plus de peur que de mal. Un homme a échappé au pire dimanche, dans le Calvados, à l'issue d'un spectaculaire accident de saut à l'élastique, dont il est sorti indemne (ou presque), comme le rapportent nos confrères de France Bleu Normandie. Les faits se sont déroulés en début d'après-midi. L'homme, âgé d'une trentaine d'années, s'est élancé du haut du viaduc de la Souleuvre (61 mètres) mais son élastique a craqué alors qu'il s'apprêtait à toucher l'eau. Chute de plusieurs mètres Malgré une chute de plusieurs mètres, le trentenaire n'a été que légèrement blessé. Choqué, il a été transporté à l'hôpital de Vire mais a pu en ressortir dès la fin de l'après-midi. La vidéo de sa mésaventure a été partagée sur les réseaux sociaux. Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies. En cliquant sur « J'accepte », les cookies seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus. En cliquant sur « J'accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
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Où sauter à l'élastique en Alsace? Les meilleurs spots sont sur Funbooker! Particulièrement adapté aux amateurs de sensations fortes, le saut à l'élastique peut se pratiquer en Alsace et dans le Grand-Est depuis le Viaduc de Claudon, situé dans les Vosges. Vous pourrez retrouver sur Funbooker toutes les informations pratiques et tarifs pour réserver en ligne ou offrir en cadeau ce saut à l'élastique. Que vous habitiez Strasbourg, Colmar, Mulhouse vous pourrez faire le plein de frissons en sautant en toute sécurité depuis le haut du Viaduc de Claudon à 43 mètres de haut. Ce saut à l'élastique permet notamment de faire un saut dans le vide suivi d'un touché d'eau, le must pour les amateurs de sport extrême! Activité idéale à vivre pour un EVG ou EVJF et idée géniale de cadeau pour Noël, un anniversaire, la fête des pères ou des mères!... Lire plus
Départ du pont ou de la grue sur le premier saut on va toucher le sol de la main ou ramasser quelque chose. Le Laché sur l'eau. Départ du pont ou de la grue, sur le premier saut l'élastique ayant atteint son élonguation maximum et au moment de rentrer dans l'eau on se lâche (l'entrée dans l'eau donne le feu vert pour ce laché), l'élastique ayant fait sa deccélération nous arrivons à vitesse nulle et c'est donc à ce moment précis qu'il faut agir. Le Lachés sur le Sol. Comme sur l'eau, départ du pont ou de la grue sur le premier saut laché au sol, l'élastique ayant fait sa deccélération naturelle, arriver à vitesse zéro lacher (moment très précis) sur ce saut la précision étant telle que l'erreur n'est pas permise (Nous ne connaissons que deux personnes l'ayant fait). Les sauts déguisés en tout et n'importe quoi, Superman et Spiderman étant les deux déguisements les plus courants, ensuite viennent les sauts avec accessoires comme un vélo, une planche à voile, une moto, un caddy, avec des skis, dans une roue de camion, bref tout ce qui peut être mis dans la nacelle ou sur le pont, certains font même pour des publicités des sauts dans des voitures.
09 octobre 2019 19:00 Liège
La mort et les masques, James Ensor (Ostende 1860 - 1949) Tableau réalisé en 1897 Les masques occupent une place importante dans l'œuvre de James Ensor. Pour l'artiste, ils ont un double rôle: d'une part, ils déguisent les individus et d'autres part, ils masquent l'hypocrisie des individus et plus largement de la société. Les masques sont pour lui une fresque de la société et de ses dérives. Ils personnifient l'hypocrisie de la bourgeoisie dont est issu le peintre. Symbolisant la mort, le squelette, figure centrale du tableau, est également un motif très présent dans sa production dès 1887, date du décès de son père. Il hante ses œuvres sous forme de crâne ou de squelettes entiers. Pour l'artiste, la mort n'est pas, comme pour beaucoup d'intellectuels de son temps, un idéal qui l'emporte sur la vie, mais au contraire la mort est la seule vérité qui donne du sens à l'existence
James Ensor La Mort Et Les Masques 5
» Finalement, c'est André Fontainas, qui sut le mieux, semble-t-il, décrypter le vocabulaire formel de l'artiste belge: « James Ensor n'aperçoit dans l'humanité que deux aspects: l'excès du grotesque qui est le masque, la pauvre armature qui soutient, fragilement, les attitudes, le squelette. » De fait, Ensor est publiquement proclamé peintre des masques et des squelettes, emblèmes métaphoriques dont il n'aura été que la proie et le prisonnier. Le carnaval d'Ostende
Le masque de carnaval apparaît dans l'œuvre d'Ensor assez tôt, en 1879. Cet objet lui était familier depuis son enfance car ses parents en vendaient dans leur boutique de souvenirs, et l'on sait que l'artiste et sa famille ne manquaient jamais le fameux Bal du rat mort, à Ostende, couronnement des fêtes du Mardi-Gras. De manière quasi-obsessionnelle, les masques occupent, avec leurs implications psychologiques et esthétiques, une place de choix dans sa peinture. La richesse du symbole semble illimitée: le masque dissimule, et trompe, cachant l'identité du personnage qui le porte.
Lors de la première exposition personnelle de James Ensor au Salon des Cent à Paris, en décembre 1898, la presse reste dubitative, divisée. Le Bulletin de l'Art ancien et moderne retient sa « vision littéraire » plus que picturale, les compositions étant fondées uniquement sur « l'antithèse de figures apocalyptiques: démons, menaçantes guivres et larves effarées, dans des milieux extra-modernes. » Ensor est perçu comme « un peintre naïf, traduisant d'une main enfantine les poèmes baudelairiens les plus exaspérés. » Max Jacob, sous son vrai nom de Léon David, souligne la fausse candeur du style: « Sa bizarrerie intéresse les blasés, la naïveté de son dessin donne une bonne opinion de l'artiste, s'il est vrai que c'est la pierre de touche d'une originalité sincère... Sa fantaisie, un peu bien littéraire (sic), reste abondante et hors du convenu. » Dans Le Figaro, Arsène Alexandre, plus intrigué encore, tente de définir l'artiste halluciné et son univers théâtral, « un imaginatif surprenant, un évocateur des foules, un créateur de spectacles fantastiques, tantôt horribles tantôt burlesques, le plus souvent les deux... on aimerait parler longtemps de ces caprices qui tiennent de Goya, de Rops et des vieux imagiers qui firent fourmiller leurs rêves de pierre à l'ombre des cathédrales.