Accueil Claude-Ermonts-président CPAS Liège-Fédération des CPAS wallons-Belgique
Publié le 13/10/2015
• Par
Véronique Garcia
• dans:
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- Fédération des cpas wallons femme
Fédération Des Cpas Wallons Femme
Le facteur démographique requerra certainement l'ouverture d'un nombre croissant de lits. Mais la hausse des tarifs joue un rôle de frein lorsque l'accueil en maison de repos est envisagé, indique les Fédérations des CPAS bruxellois et wallons. La vie à domicile à tout âge rencontre cependant des limites, reconnaissent Brulocalis et l'UVCW. L'aidant informel n'est pas toujours disponible, cela entraîne d'autres coûts pour l'aîné et la collectivité, la solitude peut être insoutenable et cela n'est pas possible pour certaines personnes désorientées ou atteintes d'une affection type Alzheimer. Union des Villes et Communes de Wallonie asbl. Des maisons de repos ouvertes vers l'extérieur, où les résidents occupent une place centrale et dans lesquelles il existe un échange entre ceux-ci et le personnel, sont nécessaires selon les deux fédérations. Mais ces centres ont également besoin de plus de budget, de personnel de soins, d'un meilleur soutien psychologique tant pour les résidents que pour le personnel et, dans le cadre des épidémies, de plus de matériel de protection et de dépistage.
Il s'agit des résidences-services, qui offrent des logements permettant de mener une vie indépendante et des services auxquels il peut être fait librement appel, mais aussi des centres de jour pour les personnes âgées fortement dépendantes, et des habitats groupés, dont ceux dits « kangourou », qui réunissent des aînés et des familles monoparentales. Il ne s'agit néanmoins pas d'opposer les maisons de repos et leurs alternatives à l'accompagnement à domicile, mais de travailler sur ces trois leviers en même temps, en respectant autant que possible la liberté et le choix des aînés, expliquent les Fédérations des CPAS bruxellois et wallons.