YOI: Préparation, être prêt et concentré...
KAMAE: En Garde, posture. HAJIME: Commencez. YAME: Arrêtez, cessez. YASUME: Repos. MAWATE (HAKAYTE): Demi-tour. MIGI: Droite / HIDARI: Gauche
HIKITE: Tirer la main (façon de ramener le poing opposé à la hanche lors de l'exécution d'une technique). KAMIZA: Place d'honneur. Il comporte en général les photos des Maitres, parfois des calligraphies et des offrandes. GEDAN: Niveau bas. CHUDAN: Niveau moyen. JODAN: Niveau haut
DAN: Niveau. KYU: Rang, classe, distinction. BUNKAI: Explication des séquences d'un kata. (Voir les vidéos)
ZANSHIN: Vigilance. SENSEI: Professeur. SEN: Initiative. SEN NO SEN: Anticipation. GO NO SEN: Réaction par rapport à l'initiative adverse. TORI: Attaquant. Lexique de karaté et disciplines. UKE: Défenseur. KATA: Modèle, exercice, forme, combat imaginaire contre plusieurs adversaires. ( voir rubrique Kata)
ENBUSEN: Diagrame du Kata. KIAI: Cri, union des énergies, l'implication dans l'exécution de la technique aboutit au kiai sur une expiration brève. KARATEGI: Véritable nom du vêtement que porte le Karateka et non pas le kimono qui est plus généraliste.
Lexique De Karaté
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Lexique Du Karate
Jodan: visage, attaque porté niveau visage ou au cou. Kamiza: c'est le "siège du haut", il désigne en fait l'équivalent d'un autel d'honneur. Dans les dojos Shotokan modernes, le kamiza est représenté
par la photographie du fondateur, Sensei Funakoshi. Auparavant, les dojos possédaient des autels plus complexes et décorés avec une effigie du maître au centre. Kata: combat imaginaire contre un ou plusieurs adversaires (voir l'onglet kata). Karaté: l'art de la main vide, c'est-à-dire un art martial qui se pratique sans armes. Mawashi: circulaire et armé à l'extérieur. Miji: droite. Oi: direct, comme dans "oi zuki" qui veut dire "coup de poing direct". Otagai: ce sont les partenaires d'entraînement, ceux avec lesquels on travaille. Sensei: on peut le traduire par "maître". On dit par exemple "Sensei Funakoshi" en parlant du fondateur. Le professeur principal du dojo est aussi
appelé "Sensei". Lexique de karaté. On pourrait dire "Sensei Yoda", je suppose... Peut-être "Sensei Neko" un jour! Lors du salut de début et fin de cours, au commandement "Sensei ni ré", tous les élèves saluent le
professeur.
Lexique De Karaté Et Disciplines
La liste ci-dessous n'est pas exhaustive mais rassemble les termes les plus utilisés.
DOJO: Lieu, salle d'entraînement. MAKIWARA: Paillasson de frappe, poteau en bois avec de la paille tréssée. MOKUSÔ: Méditation, réflexion. SEIZA: Assis sur les talons, buste droit. KI: Energie. HARA: Ventre. TATAMI: Natte matelassée qui recouvre le sol de certains dôjô et des appartements traditionnels japonais. BUDO: Art martial, art militaire. BUSHIDO: Code d'honneur des samuraï. ZOORIS: Tong dont la semelle est traditionnellement en paille de riz. Par mesure d'hygiène, elles s'utilisent pour aller des vestiaires au tatami. Cours de karaté shotokan à Paris et sur Asnières sur Seine.. BOKKEN: Sabre en bois utilisé pour l'entrainement
Et cerise sur la gâteau, il nous offre des personnages à la fois modernes et attachants, parfaitement interprétés par des acteurs confirmés, Teresa Palmer (vue notamment dans l'excellent Warm Bodies, dans Numéro Quatre et dans L'Apprenti Sorcier) et Billy Burke (Charlie Swan dans la saga Twilight, ainsi que le héro de la série Revolution). Le seul (petit) point faible du film réside sans doute dans certaines facilités du scénario, qui a tendance à multiplier le claquage des ampoules, sans que cela soit clairement attribué à la créature, ce qui revient à laisser penser que le hasard fait vraiment un peu trop mal les choses... Mais à cette réserve près, Dans Le Noir est sans aucun doute une des meilleures surprises de 2016 dans le domaine de l'horreur (et quasiment sans une goutte de sang! ). Les spectateurs ne s'y sont d'ailleurs pas trompés et le film a été un succès critique et commercial... à tel point que David F. Sandberg a été choisi (notamment par James Wan) pour réaliser la suite d'Annabelle.
Dans Le Noir Diana Paris
David F. Sandberg l'a parfaitement compris. Ses films, Lights Out et les autres, reposent tous sur un concept et sur les jump scares qui vont avec. Le tout était donc de savoir si Dans le noir, la version longue de Lights Out, allait tenir sur la distance. Il fallait bien entendu pour cela enjoliver le fameux concept. Ne pas s'en tenir à une succession de séquences effrayantes et immanquablement expliquer d'où venait cette créature qui évolue dans le noir et qui disparaît quand on allume la lumière. Un peu comme avec Mama mais en plus compliqué tant l'idée de Muschietti appelait un développement plus évident que celle de Dans le noir. Là, tout restait à faire, et malheureusement, comme prévu, le développement en question ne tient pas vraiment la route. C'est après une excellente introduction qui renvoi au court-métrage et dans laquelle on retrouve Lotta Losten, déjà dans Lights Out, que l'histoire débute, et avec elle les premiers doutes quant au bien fondé de toute l'entreprise. Sandberg nous présente une famille bien dysfonctionnelle, aux prises avec une entité.
Dans Le Noir Diana Images
Rebecca demande des explications à sa mère. Sophie s'énerve et lui dit qu'elle n'abandonnera jamais son amie, tout en réclamant de l'aide. Rebecca décide alors de rester à la maison, en compagnie de Martin et Bret pour apporter du soutien à Sophie le lendemain matin. Diana se déchaîne pendant la nuit. Elle assomme Sophie et terrorise les enfants qui sont partis se réfugier à la cave. Bret appelle la police. Les officiers sont tués par Diana. Seule Sophie pourra mettre fin à ce cauchemar, en se tirant une balle dans la tête. That won't hurt me. This will. There's no you without me. Mom, what are you doing? Saving your lives. Diana disparaît. Dans l'ambulance, Rebecca promet à Martin qu'elle ne l'abandonnera pas. We're never going away. L'EXPLICATION
Dans le Noir, c'est se sentir moins seul dans l'obscurité. Sophie souffre de dépression, ce qui la rend schizophrène. Diana est son alter ego destructeur. Cette femme monstrueuse qui ne se manifeste que dans l'ombre n'a rien d'un fantôme, puisque les fantômes n'existent pas (cf SOS Fantômes).
Dans Le Noir Diana Et
Dans Le Noir (Lights Out) -- Votre note? David F. Sandberg
mardi 30 mai 2017
par
Didier GIRAUD
popularité: 19%
Rebecca est une jeune femme moderne, qui n'a peur de rien, ou presque... Mais lorsque son petit frère Martin, qui ne supporte pas d'être plongé dans le noir et souffre d'insomnies au point de s'endormir à l'école, lui explique que leur mère Sophie parle à une autre femme nommée Diana, qu'il n'ajamais vue, Rebecca se rend compte que Martin est en train de vivre le même enfer qu'elle a vécu dans sa jeunesse. Elle décide de le prendre chez elle pour quelques nuits en espérant que cela suffise pour qu'il aille mieux. Mais une terrifiante créature semble l'avoir suivi. Rebecca et son petit ami Bret décident alors d'enquêter sur Sophie et cette mystérieuse Diana... La peur du noir, ça marche toujours. Mais dans 99% des cas, le noir sert surtout à cacher la misère de l'imagination des réalisateurs de films d'horrreur, et à réaliser des effets spéciaux à bas coût (car dans le noir, on peut se permettre des maquillages et des costumes approximatifs).
Diana Dans Le Noir
Il devient vite évident que Dans le noir n'a pas les épaules pour s'imposer comme un classique du genre. Il n'a pas la force d'un Conjuring par exemple, pour citer une production récente, et encore moins d'un Poltergeist ou d'un The Changeling, pour ce qui est des monuments du genre. Non, lui son truc, c'est d'offrir un spectacle convenu, qui repose sur une seule idée. Une idée néanmoins bien exploitée visuellement parlant. Car quand Diana, la femme de l'ombre, déboule à l'écran, Dans le noir tient ses promesses et livre des scènes parfois plutôt impressionnantes, si tant est qu'on soit dans l'ambiance. Sandberg a affûté sa mise en scène avec ses courts-métrages et ça se voit tant il apparaît très à l'aise quand il s'agit d'entrer dans le vif du sujet. Le concept est franchement bien exploité et parfois, le réalisateur parvient même à surprendre, comme par exemple quand le fantôme se jette sur sa proie, alors que celle-ci lui tire dessus avec un flingue, faisant disparaître l'entité à chaque fois que les coups de feu éclairent brièvement la scène.
Et pour les plus courageux qui n'ont pas froid aux yeux et veulent poursuivre l'aventure, voici un petit top 5 des films d'épouvante les plus flippants de ces dernières années:
- Dans le noir
- Conjuring
- Annabelle
- Sinister
- Insidious
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Un cas à part dans le cinéma d'épouvante contemporain, qui a davantage vu se succéder sequels, prequels, remakes et reboots en tous genres. Quelques concepts inédits sont parvenus à se faire une jolie place sur le devant de la scène, Sinister (Scott Derrickson, 2012), Mama (également court métrage à l'origine, Andrés Muschietti, 2013) ou encore le fameux Mister Badabook (Jennifer Kent, 2014). Lights Out promettait d'en faire partie grâce à son concept tout con tout bon par un réalisateur dont les seuls travaux se résumaient en plusieurs courts métrages audacieux et originaux. Soyons honnêtes dès le début, Lights Out n'est pas un mauvais film. C'est un film moyen qui aurait tout simplement pu être excellent. Jouissant d'une mise en scène certes simple mais maîtrisée, le film joue sur le concept d'éclairage et d'obscurité pour livrer une ambiance ne tombant pas dans le cliché insupportable du film sombre, tellement sombre qu'on arrive à peine à distinguer quoi que ce soit sur l'écran. Au contraire, couleurs vives et lumières vives viennent égayer le film pour davantage créer une rupture lors des scènes d'attaque et de présence de la créature.