Résumé
Le père Olivier Ruffray retrace la vie de Léonie, l'une des soeurs Martin. Radio Espérance. Enfant difficile, au parcours chaotique, elle a finalement trouvé à La Visitation de Caen, après pas mal de tentatives infructueuses, la communauté religieuse qui lui a permis de mettre en oeuvre, dans la simplicité de sa vie cachée, la " petite voie " d'abandon spirituelle popularisée par sa soeur, Thérèse. Ce livre ne suit pas simplement la chronologie de la vie de Léonie, d'Alençon à Lisieux puis à Caen, comme dans la plupart des livres écrits sur elle. Il s'agit, en la rejoignant dans son histoire, de donner aux lecteurs une nourriture spirituelle pleine d'espérance et de confiance, pour affronter les bouleversements actuels.
Conférence Du Père Olivier Ruffray | Léonie Martin
Léonie, servante de Dieu ou l'attrait d'une vie sainte. Conférence du Père Olivier Ruffray, Recteur du Santuraire de Lisieux
Le 12 octobre 2020 à 20h30
Salle de conférences – Maison diocésaine à Caen 3 rue Nicolas Oresme. Conférence du Père Olivier Ruffray | Léonie Martin. Père Olivier Ruffray
Léonie, troisième fille des saints Louis et Zélie Martin, sœur de sainte Thérèse de Lisieux et religieuse visitandine à Caen, ne veut pas être une religieuse à moitié. Les épreuves de sa vie forgeront ce désir de la sainteté. Considérée comme première disciple de sainte Thérèse, elle deviendra une authentique fille de saint François de Sales et de sainte Jeanne de Chantal à la Visitation. La vie simple de Léonie attire les plus simples sur le chemin de l'abandon entre les bras de l'Amour de Dieu et suscite à son tour, chez ceux qui la découvrent, le désir confiant d'emprunter ce même chemin de la sainteté. ( Participation libre)
La Basilique De Lisieux Se Dote D’un Ascenseur Pour Faciliter L’ascension Des Pèlerins - Le Parisien
Dire qu'un ascenseur figurait dans les plans de la Basilique de Lisieux dès 1926! Finalement, l'équipement vient de voir le jour près d'un siècle plus tard, « dans la tourelle nord, là où les architectes avaient pensé l'installer dès le début », glisse le père Olivier Ruffray, recteur du Sanctuaire de Lisieux. Le chantier était revenu au cœur des réflexions ces dernières années: « La question des gens n'était plus Y a-t-il un ascenseur? mais Où est l'ascenseur? », témoigne le père Ruffray. LIRE AUSSI > Lisieux retrouve son coq 77 ans après sa disparition et une discussion chez le coiffeur Depuis le dimanche 28 mars, les visiteurs peuvent librement embarquer depuis l'esplanade de la Basilique dans cette cabine vitrée. Le recteur du site est à la manœuvre, le regard tourné vers les alentours: « Nous avons profité des grandes fenêtres de la tour qui permettent de découvrir la campagne autour de Lisieux et au-delà de la campagne, de tutoyer le ciel, puisque nous montons vers le dôme ». Dans les coulisses du Jour du seigneur, à la basilique de Lisieux. Celui-ci se situe à 35 m de hauteur.
Léonie Martin - Olivier Ruffray
Des scènes de désolations insensées. » Huit jours après le drame, le recteur se rend alors à Beyrouth « pour des temps de prières sur les décombres ». Mais pas seulement. Ses amis, sur place, « en l'absence totale de mobilisation Gouvernementale » ont réussi à monter une vaste chaîne de solidarité en transformant la logistique de leur société d'événementiel. Des dizaines de véhicules, de camions, ont alors charrié plus d'une cinquantaine de volontaires sur les lieux du sinistre. Une solidarité immédiate que le père Ruffray ne peut que bénir. « Le peuple libanais s'est immédiatement mobilisé, est allé aider, a tenté de pallier à l'urgence. » Pelle à la main, l'homme d'Église mouille alors chemise et fait son possible. Ces petits chantiers de déblaiement, qualifié par certains volontaires de goutte d'eau, sont pour le père Ruffay « une goutte qui donne sens à la mer. » Vidéos: en ce moment sur Actu L'heure des comptes En restant dans le champ lexical marin, on peut aussi rappeler la marée humaine, qui a inondé les rues de la capitale dans les jours suivant l'explosion.
Dans Les Coulisses Du Jour Du Seigneur, À La Basilique De Lisieux
En moyenne, l'émission est regardée par 6 à 700 000 personnes chaque semaine. La situation sanitaire a même boosté les audiences. La messe de Pâques a ainsi été regardée par 1, 7 million de télespectateurs au printemps dernier, en plein confinement. Ce dimanche, est aussi un peu particulier pour la trentaine de techniciens de l'association CFRT (Comité Français de Radio-Télévision) qui produit les émissions religieuses du dimanche matin sur France 2. C'est la première fois qu'ils réalisent une messe à l'extérieur (hors studio) depuis le début du second confinement. Une situation à la fois extraordinaire et banale. "Leur métier, ce n'est pas la télé" " Une messe télévisée, c'est toujours une aventure surprenante ", affirme Philippe Vayrac, " On peut se dire: la messe c'est toujours la même chose donc c'est facile. Mais en fait, c'est vraiment quelque chose de différent à chaque fois parce que les gens sont différents, les lieux sont différents. A chaque fois, il faut composer, arriver à aider chacun à être au mieux de ce qu'il est.
Radio Espérance
Il prend soin de nous. C'est parce que Dieu intervient dans nos vies que nous sommes libres. Il nous rend libres. Dieu est relation. Comme le dit sainte Thérèse de Lisieux: « La perfection consiste à être ce qu'Il veut que nous soyons. » Le plan de Dieu est précisément de nous laisser libre de Le choisir, Lui. Être catholique, c'est accepter de saisir la main qu'Il nous tend. Parce que nous découvrons que c'est notre intérêt et notre bonheur de choisir ce que Dieu veut pour nous. Finalement, il s'agit de faire se rencontrer deux libertés: celle de Dieu qui appelle, celle de l'homme qui choisit ou non de répondre à cet appel. « J'ai connu un prêtre qui m'affirmait que j'étais appelé à m'engager dans une voie religieuse qui ne m'attirait pas. Heureusement que je ne l'ai pas écouté! » S'il faut appeler, il convient aussi d'être humble dans l'appel… pour laisser précisément place au sujet interpellé, afin qu'il puisse répondre lui-même en toute liberté. C'est l'histoire de Samuel dans la Bible (1 S 3, 1-10).
La cérémonie d'intronisation a eu lieu hier. Olivier Ruffray, 52 ans, succède ainsi à Bernard Lagoutte. Rencontre avec un homme d'église aux allures de philosophe. Par Eloïse Aubé
Publié le 7 Oct 13 à 13:14
Avant de rejoindre la capitale augeronne, le père Ruffray a officié pendant 13 ans à Honfleur Deux jours avant la clôture des fêtes thérésiennes et la nomination d'Olivier Ruffray, le monde ecclésiastique est en ébullition. Sauf peut-être le principal intéressé. » Ça monte en puissance. Mais je vais y aller simplement et de façon joyeuse «. L'intégralité de cette rencontre est à découvrir dans notre édition Sud de mardi 8 octobre. Cet article vous a été utile? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays d'Auge dans l'espace Mon Actu. En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l'actualité de vos villes et marques favorites.
» (cf. Jn 4, 9). Cette parabole nous enseigne que l'amour du prochain doit être non seulement universel, mais qu'il doit également être concret et factif. Comment le Samaritain de la parabole se comporte-t-il? Si ce dernier s'était contenté de s'arrêter le long de la route et avait dit à ce pauvre malheureux gisant dans son sang: « Mon pauvre ami, comme je suis désolé! Comment est-ce arrivé? Homelie sur la parabole du bon samaritan restaurant. et bonne chance! », ou quelque chose du genre, avant de poursuivre son chemin, tout ceci n'aurait-il pas été une ironie ou une insulte? Le Samaritain se comporta autrement: « Il s'était approché, avait pansé les plaies de l'homme en y versant de l'huile et du vin; puis l'avait chargé sur sa propre monture et l'avait conduit dans une auberge pour prendre soin de lui. Le lendemain, il avait sorti deux pièces d'argent, et en les donnant à l'aubergiste, avait dit: « Prends soin de lui; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai ». Toutefois, dans la parabole du Bon Samaritain ce n'est pas tant que Jésus exige un amour universel et concret qui est inédit.
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Dans sa parabole du Bon Samaritain, que la liturgie nous fait entendre de nouveau en ce dimanche, Jésus nous rappelle cette Parole de Dieu, déjà là présente dans notre conscience: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même. Un docteur de la Loi était venu rencontrer Jésus et, nous dit le récit, c 'était pour le mettre à l'épreuve. - La Parabole du bon Samaritain. On se demandait parmi ces gens, qui pourtant prétendaient bien connaître les Écritures, quel ordre de préférence on pouvait établir dans l'amour des autres. La réponse habituelle était de se référer à un ordre de proximité, soit la famille immédiate, la parenté, les voisins, les amis, les Juifs fidèles à la Loi. On discutait toutefois pour savoir où on devait s'arrêter. On comprend alors la question du docteur de la Loi: Qui donc est mon prochain? Habilement, comme toujours, Jésus ne donne pas de réponse, mais raconte plutôt une histoire qui va amener le docteur de la Loi à se donner lui-même la réponse.
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Elle correspond à nos désirs les plus profonds. Alors le légiste résume la Loi de manière magistrale, comme il est écrit ailleurs dans le Deutéronome (Dt 6, 5): « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme et de toute ta force » et il ajoute la phrase extraite du Lévitique (Lv 19, 18): « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». L'homme de Loi a donc répondu juste. Jésus lui dit: « Fais ainsi et tu auras la vie ». La vie en plénitude, c'est donc aimer Dieu et son prochain comme soi-même. La vie, c'est « aimer ». C'est aimer soi-même – aimer celui, celle qu'on est, aimer ce qu'on fait; c'est aimer Dieu – pas seulement « croire » en lui! ; et c'est aimer son prochain! Homélie - "Le Bon Samaritain...Toi aussi fais de | Séminaire de Québec. Mais concrètement, qui est mon prochain? Telle est la nouvelle question du docteur de la loi. C'est aussi notre question: qui aimer? On ne peut pas concrètement aimer tout le monde…
Alors Jésus raconte une parabole, celle du Bon Samaritain. Elle se passe aussi sur la route, comme la conversation de Jésus avec le légiste.
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Jéricho est une ville située en profondeur, au-dessous du niveau de la mer. Voilà donc le futur blessé, ainsi que le prêtre et le lévite, l'homme du culte et l'homme de la loi, qui s'éloignent de la ville sainte et descendent aux entrailles de la terre. L'histoire ne dit pas si le Samaritain descend à Jéricho, ou s'il monte à Jérusalem. Jean nous a rappelé que pour les Samaritains, ce n'est pas à Jérusalem qu'il faut adorer Dieu, mais sur une autre montagne sainte, le Mont Garizim (Jn 4, 20). Homelie sur la parabole du bon samaritan au. Le regard du Christ ne voit que la pureté au fond de l'être Nous avons coutume de lire cette parabole bien connue comme une critique – et c'en est une – des hommes de culte et des hommes de loi qui se font oublieux du corps. Le prochain, pour répondre à la question du légiste qui justifie la parabole de Jésus, ce serait alors toute personne, blessée, abîmée, meurtrie, qui se trouverait sur mon chemin. Il faudrait se laisser toucher, jusqu'au cœur des entrailles, et prendre le temps de la panser, de la réconforter, de l'emmener à l'abri, et de donner, outre son temps, de l'argent afin qu'un autre, hospitalier, poursuive le soin initié jusqu'à ce que le blessé soit remis.
Il voit cet homme dans son dépouillement, dans sa faillite, il voit le fond de son être, il voit en lui la vie qui menace de se retirer, il veut la vie pour cet homme, pour tout homme, une vie vivante. Il refuse la condamnation. Il ne voit pas d'impureté, car le regard du Christ ne voit que la pureté au fond de l'être, que son innocence lorsqu'un homme est à terre. À la différence du prêtre et du lévite qui ont peur d'être contaminés, le Samaritain, lui, rend pur ce qu'il touche. Il s'approche du blessé. Il vient « près de lui ». Homélie 15e dimanche C – La parabole du Bon Samaritain, Abbaye Notre-Dame de la Paix – Diocèse de Liège – Diözese Lüttich. C'est le nom de Dieu: « près de nous ». C'est la promesse du Christ laissée à son Église. « Je veux que là où je suis eux aussi soient avec moi » (Jn 17, 24). Le Seigneur, l'unique prochain Comme le bon berger devant sa brebis malade (Ez 34, 15-16), il bande le blessé; puis il verse de l'huile pour adoucir sa plaie et du vin pour la désinfecter. De l'huile, comme une onction – le Messie est celui qui a reçu l'onction, et il ne cesse de nous « chrismer » – et du vin, comme au banquet final (Is 25, 6).