Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs
Dans l'air dolent et doux soupirent leurs odeurs. Le Jardin et la Maison, poème de Anna de Noailles | Poésies 123. Les baies du lierre obscur où l'ombre se recueille
Sentant venir le soir se couchent dans leurs feuilles, Le jet d'eau du jardin, qui monte et redescend,
Fait dans le bassin clair son bruit rafraîchissant; La paisible maison respire au jour qui baisse
Les petits orangers fleurissant dans leurs caisses. Le feuillage qui boit les vapeurs de l'étang
Lassé des feux du jour s'apaise et se détend. Peu à peu la maison entr'ouvre ses fenêtres
Où tout le soir vivant et parfumé pénètre, Et comme elle, penché sur l'horizon, mon coeur
S'emplit d'ombre, de paix, de rêve et de fraîcheur… Le coeur innombrable
Poésie Le Jardin Et La Maison Favart
Le jardin et la maison
Voici l'heure où le pré, les arbres et les fleurs
Dans l'air dolent et doux soupirent leurs odeurs. Accueil - Maison de la poésie - Rennes. Les baies du lierre obscur où l'ombre se recueille
Sentant venir le soir se couchent dans leurs feuilles,
Le jet d'eau du jardin, qui monte et redescend,
Fait dans le bassin clair son bruit rafraîchissant;
La paisible maison respire au jour qui baisse
Les petits orangers fleurissant dans leurs caisses. Le feuillage qui boit les vapeurs de l'étang
Lassé des feux du jour s'apaise et se détend. - Peu à peu la maison entr'ouvre ses fenêtres
Où tout le soir vivant et parfumé pénètre,
Et comme elle, penché sur l'horizon, mon cœur
S'emplit d'ombre, de paix, de rêve et de fraîcheur...
Anna de NOAILLES
(1876-1933)
[L'Ombre des jours – 1902]
Poésie Le Jardin Et La Maison Aux Pignons Verts
Le bon homme disait: " Ce sont là jeux de prince. " Mais on le laissait dire; et les chiens et les gens
Firent plus de dégât en une heure de temps
Que n'en auraient fait en cent ans
Tous les lièvres de la province. Poésie le jardin et la maison d. princes, videz vos débats entre vous:
De recourir aux rois vous seriez de grands fous. Il ne les faut jamais engager dans vos guerres,
Ni les faire entrer sur vos terres. Le Jardinier et son Seigneur Poèmes de Jean de La Fontaine Citations de Jean de La Fontaine Plus sur ce poème | Commenter le poème
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Des espaces vivants Hubert Moya n'aime pas les espaces figés. Il privilégie des jardins qui vivent tout au long de l'année: « Herbes folles, jeunes pousses déstructurées, graminées qui s'envolent, vos espaces verts ont besoin d'un printemps toute l'année » comme il le dit si bien. Poésie le jardin et la maison favart. Côté style, le paysagiste travaille souvent par thème, par masse de végétaux avec cette volonté de toujours obtenir une belle harmonie au jardin. Ici, pas de mélanges inutiles mais la bonne plante au bon endroit pour des végétaux qui s'épanouissent les uns les autres en grandissant! Plus de renseignements: