Mais, en pleine conférence de presse, coup de théâtre: le musée Van Gogh d'Amsterdam annonce que ces trésors inestimables seraient des « imitations ». Stupéfiant! était dans les coulisses de ce lancement mondial, a pu voir et toucher ces dessins avant tout le monde, et a mené l'enquête sur cette incroyable affaire qui a secoué le monde de l'art. HITCHCOCK AIMAIT-IL TROP LES FEMMES (par Florent Muller) 36 ans après sa mort, Sir Alfred Hitchcock se retrouve en plein cœur d'un scandale sexuel. Tippi Heddren, l'héroïne des « Oiseaux » accuse le maître du suspense de harcèlement et d'agressions sexuels dans un livre choc, sorti la semaine dernière. L'homme qui aimait les blondes les aimait-il un peu trop? Découvrez la face cachée d'Alfred Hitchcock. L'INTERVIEW: LE MARRAKECH DE SAINT LAURENT ET PIERRE BERGÉ Pierre Bergé et Yves Saint Laurent ont vécu leurs plus belles années à Marrakech. C'est là que le créateur a puisé l'inspiration pour ses plus grandes œuvres, et c'est là que Pierre Bergé fait actuellement construire un musée en hommage au travail de Saint Laurent.
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- Ouiiiiiiii! - Je reprends donc ma question, combien font 2+2? Le visage de la blonde vire soudainement du rouge au vert, puis au bleu, en passant par le jaune, avant de redevenir normal. La scène dure bien cinq minutes avant qu'elle ne se décide à répondre:
- 5! - Eh non, encore raté! Public, faut-il lui laisser encore une chance? - Ouiiiiiiiii! Encore une chance! Encore une chance! Encore une chance! Encore une chance! - Bien. Alors vous êtes toujours prête? - Oui, pas de problème. - Ouiiiiiiii ààààààààà fononononond! - Vous êtes prêtes à prouver à la Terre entière que les blondes ne sont pas stupides? - Ouiiiiiii! - Bien, alors je réitère ma question, combien font 2+2? Cette fois-ci, le visage de la blonde passe plusieurs fois par quasiment toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Elle se met à trembler, trembler... De la fumée sort des oreilles... Elle se met à saigner du nez... la scène dure plus d'une heure avant qu'elle ne tente enfin une réponse que le public finissaient par ne plus attendre:
- 4!
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La bibliothécaire répond:
Et bien Madame, c'est que vous êtes dans une bibliothèque! Alors la blonde dit en chuchotant: Désolé. Est-ce que je peux avoir un hot-dog, une frite et un coca? Pourquoi les blondes utilisent-elles du dentifrice pour laver les pulls? - Parce qu'on leur a dit que le dentifrice rafraîchit la laine et renforce les mailles. Comment brûler l'oreille d'une blonde? On lui téléphone pendant qu'elle fait du repassage. C'est une blonde qui va à un spectacle de ventriloque fait parler son lapin en disant:
"D'abord je vais raconter une petite blague sur les blondes. C'est là que la blonde réagie. - Ah non alors, vous allez arrêter de raconter des histoires sur nous! Là, le ventriloque intervient. - Madame, calmez-vous, ce n'est qu'une blague... Là, elle le coupe,
- Oh vous taisez-vous, je parle au lapin! " Pourquoi les blondes mettent-elles des glaçons dans le frigo? Pour tenir le frigo frais. C'est une blonde qui parle à une autre:- Tu sais quoi? Cette année, Noël tombe un vendredi!
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Folie profonde, en revanche, pour le texte suisse d'Alain Vettese, le Jardin aux tilleuls ou la folie sage. Il s'agit du monologue d'une pensionnaire d'un établissement psychiatrique. Point de délire, ou si peu. Plutôt un essai réussi d'une agglomération de souvenirs opaques ou aigus, toujours obsédants, aiguisés par une lucidité fugitive. La prise de son est sobre, l'interprétation excellente, comme le texte. Emmanuelle Riva tient son monde pendant près d'une heure, d'une seule traite. Au-delà du charme indélébile de l'accent québécois, Y'a juste un lit dans ces chambres-là, présenté par Radio-Canada, laisse une impression diffuse, bizarre même, de nostalgie. Le ' bon temps ' qu'on y regrette n'est pas, pour une fois, celui d'antan, mais celui-là même qu'on pressent à l'écoute du dialogue opposant (réunissant? ) un homme angoissé par la solitude de sa chambre d'hôtel et la barmaid du bar dudit hôtel. La conversation débute, banale, pour devenir plus personnelle, intimiste. Petites confidences soutenues par un piano-bar alangui.
Depuis sept ans déjà un incontournable du paysage culturel berlinois, le Performing Arts Festival [PAF], festival sans sélection témoigne de la vitalité des arts de la scène indépendants dans la capitale.
Journaliste sur D8, Guy Lagache doit sans cesse justifier son physique de beau gosse. Sans éviter le sujet, et en parlant plutôt avec humour, il préfère se concentrer sur son travail et la qualité de ses magazines. Il est souvent reproché à certaines femmes de télévision de ne faire de l'antenne que grâce à leur physique ou à leur visage qui « prendrait bien la lumière » – doux euphémisme pour ces bombes du paf. Laurent Delahousse ou Guy Lagache doivent bien comprendre ce que ressentent leurs collègues féminines. Ils sont d'ailleurs les deux seuls journalistes du PAF auxquels on pose sans cesse des questions sur leur « belle gueule ». L'ancien présentateur de Capital en a encore fait l'expérience mercredi matin sur France Info, au micro de Philippe Vandel qui l'interviewait pour sa chronique Tout et son contraire. A celui qui lui a une fois de plus parlé de son physique «plus qu'avantageux», Guy Lagache a répondu: « Je ne vais pas me plaindre d'être considéré comme quelqu'un qui a un physique avantageux ».