Dans le premier film, il est d'ailleurs le premier à s'écarter du groupe après le pacte. À Entertainement Weekly, le réalisateur explique que son suicide " trouve ses racines dans le premier film. C'est celui qui ne veut pas accepter ce qui se passe ". Barbara Muschietti complète les propos de son frère en expliquant que " Stan ne plie pas, il rompt".
- Ça chapitre 2 au cinéma 21
Ça Chapitre 2 Au Cinéma 21
Il retrouvera donc Jessica Chastain, qui a été coupée au montage de son prochain film, The Life and Death of John F. Donovan. L'actrice joue en effet Beverly devenue grande. Xavier Dolan avait exprimé son amour pour le premier volet de Ça et doit donc être fort heureux de rejoindre le casting de la suite, même si c'est dans un « petit » rôle! « Allez voir le film Ça — pour l'amour de votre enfance, pour les peurs que vous avez enterrées, et n'osez pas exprimé. Pour la beauté extrême, lunatique, remarquable de la photo et des décors; pour le fun, le plaisir pas du tout coupable, pour son aspect malin, pour Finn Wolfhard, Jaeden Wesley et tous les autres, allez le voir… pour TOUT ce que ce film est, et représente. C'est ce que le divertissement devrait toujours être, et ce qu'il n'est rarement. Ça chapitre 2 au cinéma 21. Le divertissement devrait toujours venir avec des standards, et respecter votre goût comme votre intelligence. »
Si je fais un film un jour et que Xavier Dolan en dit autant de bien, je pense que ça me toucherait plus qu'un César!
En choisissant de scinder le roman – originellement construit en flash-back – en deux volets centrés sur le passé puis sur le présent, le réalisateur se prend les pieds dans le tapis et tombe dans la répétition. Car la scission n'est pas si franche que ça; entre les séquences consacrées aux adultes s'intercalent des flash-back qui s'apparentent à des scènes coupées du chapitre précédent quand elles n'en sont pas de simple redites. "Ça : Chapitre 2" se dévoile dans une bande-annonce finale sanglante | Le HuffPost. D'accord, Bill et compagnie ont oublié ce qu'ils ont vécu à Derry et doivent se confronter à leurs souvenirs, mais nous, spectateurs, étions déjà là, pas besoin de nous rafraîchir la mémoire. Résultat, à baser sa narration sur des avant/après très artificiels, le film dure des plombes sans rien apporter là où la durée aurait permis – au choix- de donner de l'épaisseur au Clown, à la ville, ou pourquoi pas aux peurs de chacun. Au lieu de quoi le film se dilue et s'étale à n'en plus finir sur un schéma quasi tayloriste un personnage/ un trauma/ un personnage/ un trauma.