Le comte Almaviva leur a proposé de leur donner une chambre dans son château. Suzanne explique à Figaro qu'elle refuse car c'est un moyen pour le comte de venir la séduire (droit du seigneur sur ses dames / Bazile est l'entremetteur). Figaro réfléchit à un plan pour tromper le comte. Suzanne est appelée par la comtesse. Figaro montre son affection pour sa future femme. 2 - Acte I, scène 2…. 4052 mots | 17 pages
RESUME – LA FOLLE JOURNEE OU LE MARIAGE DE FIGARO, Pierre-Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1778)
ACTE I Acte I, scène 1 Figaro mesure la taille de la chambre tandis que Suzanne (sa future épouse) se prépare. Suzanne explique à Figaro qu'elle refuse car c'est un moyen pour le comte de venir la séduire (droit du seigneur sur ses dames / Bazile est l'entremetteur). Suzanne…. Résumé Le Mariage de Figaro en vue du bac de français
4051 mots | 17 pages
RESUME – LA FOLLE
JOURNEE OU LE MARIAGE DE
FIGARO,
PIERRE-AUGUSTIN CARON DE
BEAUMARCHAIS (1778)
ACTE I
Acte I, scène 1
Figaro mesure la taille de la chambre tandis que Suzanne (sa future épouse) se prépare.
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Le Mariage De Figaro Acte 3 Scène 16 Juin
Le Mariage de Figaro, acte III, scène 16 – Beaumarchais [Analyse de texte] - YouTube
Le Mariage De Figaro Acte 3 Scène 16 Mai
Enfin, Figaro réplique en utilisant le superlatif de « coupable » (l. 8) qui dénonce un excès des hommes. Commence alors la deuxième tirade de Marceline qui poursuit son plaidoyer mais passe cette fois du rôle d'accusé à celui de « victime » en s'adressant directement aux « hommes » qu'elle qualifie « d'ingrats » et dont elle dénonce le « mépris » et les « passions » (l. 9). Elle re-prend ensuite le champ lexical de la justice avec « punir » et « erreurs » (l. 10) puis « droit » et »payer » (l. 11) pour dénoncer les « magistrats ». Dans cette tirade, Marceline oppose les « hommes » qui représentent la société aux « malheureuses » parmi lesquelles elle s'inclue. Nous remarquons aussi le déterminant possessif relatif aux hommes « vos » qui s'applique aux magistrats. Ainsi, pour Marceline, la justice est faite par et pour les hommes tandis que les femmes sont des « malheureuses victimes » du système. Dans sa troisième tirade, Marceline s'attaque désormais à l'illusion d'égalité dans l'aristocratie avec le champ lexical de la tromperie « leurrés » et « respect apparents » (l.
Le Mariage De Figaro Acte 3 Scène 16 Texte
Scène 2
Figaro, seul, rumine la tromperie
Tel nous juge ici sévèrement, qui, peut-être, en sa vie a perdu dix infortunées! FIGARO. Les plus coupables sont les moins généreux; c'est la règle. MARCELINE, vivement. Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les
jouets de vos passions, vos victimes! C'est vous qu'il faut punir des erreurs de notre
jeunesse; vous et vos magistrats, si vains du droit de nous juger, et qui nous laissent
enlever, par leur coupable négligence, tout honnête moyen de subsister. Est-il un seul
état pour les malheureuses filles? Elles avaient un droit naturel à toute la parure des
femmes: on y laisse former mille ouvriers de l'autre sexe. FIGARO, en colère. Ils font broder jusqu'aux soldats! MARCELINE, exaltée. Dans les rangs même plus élevés, les femmes n'obtiennent de
vous qu'une considération dérisoires; leurrées de respects apparents, dans une
servitude réelle; traitées en mineures pour nos biens, punies en majeures pour nos
fautes! Ah! sous tous les aspects, votre conduite avec nous fait horreur ou pitié!
mais qu'il est dur de
les expier après trente ans d'une vie modeste! J'étais née, moi, pour être sage, et je la
suis devenue sitôt qu'on m'a permis d'user de ma raison. Mais dans l'âge des
illusions, de l'inexpérience et des besoins, où les séducteurs nous assiègent pendant
que la misère nous poignarde, que peut opposer une enfant à tant d'ennemis
rassemblés? Tel nous juge ici sévèrement, qui, peut-être, en sa vie a perdu dix infortunées! FIGARO. Les plus coupables sont les moins généreux; c'est la règle. MARCELINE, vivement. Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les
jouets de vos passions, vos victimes! C'est vous qu'il faut punir des erreurs de notre
jeunesse; vous et vos magistrats, si vains du droit de nous juger, et qui nous laissent
enlever, par leur coupable négligence, tout honnête moyen de subsister. Est-il un seul
état pour les malheureuses filles? Elles avaient un droit naturel à toute la parure des
femmes: on y laisse former mille ouvriers de l'autre sexe. FIGARO, en colère.
Charles-Maurice de TALLEYRAND (1754. 1838)
Lettre autographe signée à un Général. Une page in-12°. Slnd (Circa 1830)
Mon cher Général, je voudrais bien savoir si vous avez quelques nouvelles du duc Des Cars qui était à Alger et dont la famille est inquiète. C'est un des pairs dont l'opinion il y a quelques années était fort comptée dans notre chambre. Mille amitiés. Talleyrand. »
Amédée de Pérusse des Cars (1790. 1868), général et pair de France, commanda la 3e division lors de la conquête de l'Algérie en juillet 1830. Lors de la chute de Charles X, il donna démission de tous ses emplois.
Duc Des Cars Alger En
Au
voisinage, bois des Cars, peuplé de pins d'Alep, de cèdres
et de câpres, au sommet duquel s'érige depuis 1912, un monument
à la mémoire des combattants du corps expéditionnaire
de l'armée d'Afrique de 1830, couronné du buste du lieutenant
général, duc des Cars. (Les Guides Bleus "Algérie-Tunisie",
1950). Pour
continuer la tradition, a été célébré,
le 29 juin 1924, dans le Bois des Cars, le 94ème anniversaire des
"journées glorieuses de 25- 26 - 27 et 28 juin 1830" &u
cours desquelles se déroular la bataille de la Chapelle et Fontaine
à Dély-Ibrahim, où s'illustra le lieutenant-général
Amédée-François Régis de Pérusse, duc
des Cars, qui commandait la 3e division Le 29 juin 1924 (Echo d'Alger du
27 juin et du 7 juillet 1924). Le
buste du duc des Cars, lieutenant-général de l'armée
de 1830, dont l'érection à Dely Ibrahim, dans le bois,
avait été autorisée par décret du Président
de la République le 28 mai 1912, fut inauguré le 30
juin de la même année (Echo d'Alger du 18 juin et du
1er Juillet 1912).
Sur le socle de granit, une plaque fut apposée sur laquelle
se lit cette inscription:
AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL
AMÉDÉE-FRANÇOIS DE PERRUSSE
DUC DES CARS,
COMMANDANT LA 3e DIVISION
A LA BATAILLE DE DELY-IBRAHIM, LES 25, 26, 27
ET 28 JUIN 1830,
A SES MARÉCHAUX DE CAMP,
VICOMTE BERTIER DE SAUVIGNY
GÉNÉRAL BARON HUREL
GÉNÉRAL COMTE DE MONTLIVAULT
ET A TOUS SES FRÈRES D'ARMES,
DELY-IBRAHIM RECONNAISSANT. Il
y avait à quelques kilomètres d'Alger un monument modeste
perdu dans un bois de pins. Une stèle de marbre. Un buste de bronze. Une grille. C'est tout. Le buste était celui d'Amédée-François
Régis de Pérusse, duc des Cars, lieutenant-général,
qui commanda la 3e division durant les dures journées du 25 au 28
juin 1830. La forêt avait pris le nom de celui qui l'illustra. Si la mémoire de Régis de Pérusse fut perpétuée
par le bronze, nombre de ses camarades des combats de juin n'eurent pas
ce privilège. Cependant, leur nom a figuré sur quelque stèle,
dont on apercevait la blancheur, au hasard du chemin, dans les champs et
les vignes, sur les lieux mêmes où ils s'étaient battus.