En 1757, il entre aux Ponts et Chaussées, et voyage beaucoup pendant dix ans. Il change plusieurs fois de métier. Il est l'ami de Jean-Jacques Rousseau. Il publie ses premiers écrits lorsqu'il rentre à Paris. Il ne connaît pas le succès tout de suite. Il écrit à la fin des années 1780 deux ouvrages qui lui font connaître la célébrité, Études de la nature et Paul et Virginie. C'est un auteur qui traite essentiellement du lien entre nature et civilisation. De son premier mariage, il a eu deux enfants qu'il a nommés Paul et Virginie. Il meurt en 1814. Paul est un prénom à connotation chrétienne, et Virginie symbolise la virginité, la jeune femme, la vestale. Ces deux prénoms sont donc très connotés. On peut lier ainsi le roman à la religion, mais aussi à la mythologie ou l'Antiquité. L'association de ces deux noms donne un sentiment de pureté. En effet, dès le titre, on peut constater que l'innocence va être le sujet principal du roman. Commentaire paul et virginie b. Les deux héros sont jeunes, naïfs, chastes. C'est leur amour et leur sacrifice qui va être raconté.
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Commentaire Paul Et Virginie Bernardin De St Pierre
On entendit aussitôt ces cris redoublés des spectateurs: « Sauvez-la, sauvez-la; ne la quittez pas! » Mais dans ce moment une montagne d'eau d'une effroyable grandeur
s'engouffra entre l'île d'Ambre et la côte, et s'avança en rugissant vers le vaisseau, qu'elle menaçait de ses flancs noirs et de ses sommets écumants. À cette terrible vue le matelot s'élança
seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable, posa une main sur ses habits, l'autre sur son cœur, et levant en haut des yeux sereins, parut un ange qui prend son vol vers les cieux. Ô
jour affreux! Commentaire paul et virginie english. hélas! tout fut englouti. Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788), Le naufrage du Saint-Géran
Un roman pathétique et épique
a) La description de la tempête
Tout d'abord, nous avons une description visuelle de la tempête: "La mer, soulevée par le vent, grossissait à chaque instant [... ] qu'une vaste nappe d'écumes blanches, creusées de vagues noires
et profondes", "Ces écumes s'amassaient dans le fond des anses à plus de six pieds de hauteur", "À leurs flocons blancs et innombrables [... ] on eût dit d'une neige qui sortait de la mer".
Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre Paul et Virginie sont deux enfants qui vivent sur l'Île-de-France (aujourd'hui île Maurice). Ils sont élevés comme frère et sœur. Leurs mères sont deux françaises, Mme de la Tour, la jeune veuve d'un aristocrate libertin, et Marguerite, une paysanne bretonne séduite et abandonnée. Elles ont fui Paris pour éviter le déshonneur. Elles élèvent ensemble leurs deux enfants, avec l'aide d'esclaves. A l'adolescence, les jeunes gens développent des sentiments amoureux. Mais la tante de Madame de la Tour envoie des gardes chercher Virginie pour la ramener en France. Commentaire paul et virginie bernardin de st pierre. Elle assure qu'elle héritera ainsi d'une fortune et recevra une bonne éducation. Virginie est alors envoyée à Paris. Plusieurs années après, Virginie annonce qu'elle va rentrer sur l'île. Mais le navire qui la conduit fait naufrage. Paul assiste à cette tragédie et meurt de chagrin. Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre est né en 1737 dans une famille bourgeoise. Il aime les lectures mystiques et romanesques.
A peine ce jeune homme avait-il repris l'usage de ses sens qu'il se relevait et retournait avec une nouvelle ardeur vers le vaisseau, que la mer cependant entrouvrait par d'horribles secousses. Tout l'équipage, désespérant alors de son salut, se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d'une éternelle pitié: une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géron, tendant les bras vers celui qui faisait tant d'efforts pour la joindre. C'était Virginie. Elle avait reconnu son amant à son intrépidité. La vue de cette aimable personne, exposée à un si terrible danger, nous remplit de douleur et de désespoir. Pour Virginie, d'un port noble et assuré, elle nous faisait signe de la main, comme nous disant un éternel adieu. Tous les matelots s'étaient jetés à la mer. Il n'en restait plus qu'un sur le pont, qui était tout nu et nerveux comme Hercule. Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, extrait : commentaire. Il s'approcha de Virginie avec respect: nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue.
C'était Virginie. La vue de cette aimable personne, exposée à un si terrible danger,
nous remplit de douleur et de désespoir. Pour Virginie, d'un port noble et assuré, elle nous faisait signe de la main, comme nous disant un éternel adieu". Virginie est un personnage romanesque
amoureux typique du XVIIIème siècle: elle a vécu les tourments de sa passion, et son amour finit mal. Par amour, elle refuse l'aide du marin qui voulait lui retirer sa robe afin qu'elle puisse
nager, sauver sa vie et rejoindre Paul: "mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue". Par son prénom, elle incarne la vertu: "Virginie, voyant la mort inévitable, posa une
main sur ses habits, l'autre sur son cœur, et levant en haut des yeux sereins, parut un ange qui prend son vol vers les cieux. Ô jour affreux! hélas! tout fut englouti". Paul et virginie - Commentaire de texte - colupi. Ainsi, en raison de sa
pureté, Virginie est décrite comme un ange. Elle est si pure qu'elle ne semble pas faite pour la vie terrestre et le lecteur n'est donc pas surpris de la voir rappelée au Ciel.
La société dans laquelle ils évoluent semble parfaite, idéale. C'est un plaidoyer en faveur de la vie retirée loin de la ville. Les sensations sont ainsi mises en avant, la vue, l'audition, l'odorat, le goût, le toucher... Il y a un lien très fort entre environnement et êtres. La nature est le lieu idéal, merveilleux. Dans ce roman, l'auteur oppose ainsi les vertus de la vie champêtre à la corruption sociale. L'esclavage est dénoncé comme étant contre nature par exemple. Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie : la lettre de Virginie. À Paris, Virginie se sent mal. Elle n'adhère pas aux principes rigides de sa tante. Celle-ci est décrite comme manipulatrice et intéressée. Virginie n'aime pas l'hypocrisie de la société parisienne. Lorsque l'héroïne veut rentrer, c'est la nature qui semble gagner, qui la rappelle. Mais lorsque le naufrage éclate, Virginie refuse de se déshabiller devant un marin qui veut la sauver, sous prétexte que cela est contre la morale. Elle n'avait pas tant de principes quand elle vivait sur l'île. Ce choix va la conduire à la mort.
3. Peu de gens sont pardonnés, car ils ne ressentent pas et ne confessent pas leurs péchés; et peu sont sanctifiés ou purifiés de tout péché, parce qu'ils ne ressentent pas et ne confessent pas leur propre plaie et la plaie de leur cœur. 4. En tant que sang de Jésus-Christ, le mérite de sa passion et de sa mort, appliqué par la foi, purge la conscience de tous morts fonctionne, donc le même nettoie le cœur de toute injustice. 5. Comme toute iniquité est péché, ainsi celui qui est purifié de toute iniquité est purifié de tout péché. Tenter d'échapper à cela et plaider pour la persistance du péché dans le cœur à travers la vie est ingrat, méchant et même blasphématoire; car comme celui qui dit qu'il n'a pas péché, 1 Jean 1:10, fait de Dieu un menteur, qui a déclaré le contraire à travers chaque partie de sa révélation; donc celui qui dit le sang du Christ soit ne peut pas ou ne nous purifiera pas de tout sin dans cette vie, donne aussi le mensonge à son Créateur, qui a déclaré le contraire, et montre ainsi que le mot - la doctrine de Dieu n'est pas en lui.
Dans tous les cas, cette phrase désigne des actes de péché, tandis que celle de 1 Jean 1:8 considère le péché comme une condition ou un état. Dieu est fait menteur parce que tout son plan de rédemption suppose l'universalité du péché, et le même point de vue est énoncé dans sa Parole.
Lecteur, c'est le droit d'aînesse de chaque enfant de Dieu d'être purifié de tout péché, de se garder intact du monde, et ainsi de vivre comme jamais pour offenser son Créateur. Tout est possible à celui qui croit; parce que tout est possible au sang infiniment méritoire et à l'Esprit énergique du Seigneur Jésus. Voir les notes sur les passages parallèles dans la marge; et en particulier dans l'évangile de Saint-Jean, Jean 1. 1 Jean 1:8
1 Jean 2:1
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1 Jean 2:1
Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ le juste. 1 Jean 2:2
Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. 1 Jean 2:3
Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l'avons connu. 1 Jean 2:4
Celui qui dit: Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui. 1 Jean 2:5
Mais celui qui garde sa parole, l'amour de Dieu est véritablement parfait en lui: par là nous savons que nous sommes en lui. 1 Jean 2:6
Celui qui dit qu'il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. 1 Jean 2:7
Bien-aimés, ce n'est pas un commandement nouveau que je vous écris, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement; ce commandement ancien, c'est la parole que vous avez entendue.
7
Mais si nous marchons dans la lumière, comme lui-même est dans la lumière, nous avons communion les uns avec les autres et le sang de Jésus 1 son Fils nous purifie de tout 2 péché. 1 plusieurs manuscrits ajoutent: Christ. 2 ou: chaque. 8
Si nous disons que nous n'avons pas de péché 1, nous nous séduisons nous-mêmes et la vérité n'est pas en nous. 1 c. -à-d. : le péché en nous. 9
Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité 1. 1 ailleurs aussi: injustice. 10
Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur et sa Parole n'est pas en nous. «Vous aussi, vous rendrez témoignage — avait dit le Seigneur aux Douze — parce que dès le commencement vous êtes avec moi» (Jean 15:27 j 15. 26-27). C'est ce que fait ici l'apôtre Jean. Son sujet est la vie éternelle d'abord «entendue», «vue» et «touchée» dans le Fils, maintenant communiquée à ceux qui ont reçu par la foi le droit d'être enfants de Dieu (Jean 1:12 j 1.
La Parole dans ses rapports avec Dieu et avec le monde
À l'origine de toutes choses la Parole existait, elle était en relation vivante avec Dieu et elle était Dieu. C'est par elle que toutes choses existent; en elle était la vie, cette vie qui est la lumière des hommes; mais l'humanité rebelle repousse cette lumière (1-5). La Parole repoussée par l'incrédulité et reçue par la foi
Bien qu'elle fût précédée du témoignage de Jean-Baptiste, qu'il y eût une relation naturelle entre elle et tout homme, que le monde eût été fait par elle et qu'elle vînt chez le peuple qui avait été préparé comme son chez-soi, elle n'a obtenu ni du monde ni de ce peuple l'accueil auquel on pouvait s'attendre. Mais à ceux qui l'ont reçue, elle a donné de devenir enfants de Dieu, à ceux qui sont nés, non de la chair, mais de Dieu (6-13). La Parole faite chair, objet de l'expérience du croyant
La Parole a été faite chair et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; l'évangéliste et les croyants ses contemporains ont contemplé sa gloire de Fils unique venu du Père; Jean-Baptiste le leur a attesté; et l'évangéliste énumère tout ce qu'ils ont reçu de Jésus-Christ, le Fils unique en qui Dieu s'est révélé (14-18).