Bonjour mon lecteur, Photographe: Henri Roger - 25 mai 1913 En ce 25 mai 1913, nous voici au Pré-Saint-Gervais, en Seine-Saint-Denis, le député Jean Jaurès s'adresse à une foule de 150 000 personnes pour refuser que la durée du service militaire - selon la volonté du président Raymond Poincaré et de celle du président du conseil, Louis Barthou - passe de 2 à 3 ans. Malgré les nombreuses protestations, la loi sera votée le 19 juillet 1913 par 358 voix pour et 204 contre; et adoptée par le Sénat, le 07 août suivant. L'époque est agitée, les débats houleux... Mere au foyer nue sous. Jean Jaurès sera assassiné le 31 juillet 1914. Si vous voulez en savoir un peu plus au sujet de Jean Jaurès, de la loi des Trois ans et de l'assassina, je vous invite à lire: 31 juillet 1914 A bientôt, Catherine Livet. ・゜゜・ LIBRAIRIE ・゜゜・. Pour me joindre: Rejoignez-moi sur le groupe Facebook Bientôt disponible: "Un p'tit gars du S. T. O"
Mere Au Foyer Ne Supporte
Un riche parcours de formation Gloria Jean Watkins, plus connue sous le pseudonyme de bell hook, qu'elle prendra plus tard, est née le 25 septembre 1952, à Hopkinsville dans le Kentucky, État rural pauvre et ségrégué, de parents de condition ouvrière modeste. Son père, Veodis Watkins, est concierge dans les services postaux, et sa mère, Rosa Bell Watkins, est femme au foyer, travaillant parfois comme domestique dans des familles blanches. Gloria Jan Watkins est élevée dans une fratrie largement féminine – cinq sœurs et un frère – où règne l'ordre patriarcal et une stricte discipline morale. Ses deux parents, originaires d'une zone rurale du Sud, ont grandi à l'époque de la ségrégation très stricte où Blanc-he-s et Noir-e-s vivaient dans des espaces séparés ou réservés. Fille noire, elle a connu avec ses sœurs et son frère la ségrégation et la déségrégation. VideoSexeGratuite.com: Mere Au Foyer Nue Vidéos et films pornos gratuits. C'est dire qu'elle a été très tôt confrontée à la problématique de la race dans le Sud ségrégué où elle vivait, tout en faisant l'expérience d'une certaine violence liée à la structure patriarcale de sa famille (Eva Thiébaud, In Slate, 19/12/2016).
Elle est d'abord scolarisée dans une école de campagne réservée aux enfants noirs, mais où l'équipe enseignante, dévouée à la cause noire, est très investie dans des pratiques pédagogiques. Après le déménagement de ses parents en ville et la mise en œuvre de la déségrégation, notamment sur le plan scolaire, elle fréquente le lycée de Hopkinville, où les enseignants et les élèves sont majoritairement blancs. Elle est là confrontée au racisme. Mere au foyer ne supporte. Son diplôme de fin d'études en poche, elle rejoint, grâce à une bourse – elle est une élève particulièrement brillante – la prestigieuse université de Stanford en Californie pour une licence d'anglais en 1973, puis une maîtrise, toujours en anglais, à l'université de Wisconsin. A Stanford, elle est l'une des seules femmes noires d'origine populaire, de surcroît la seule d'origine rurale. Inscrite en études de genre, elle éprouve les limites de cet enseignement où on ne parle jamais de race et où les femmes noires sont absentes dans les contenus des cours.
Marcel DUCHAMP (1887-1968), Paysage fautif, 1946,
liquide séminal sur satin noir tendu sur un cadre en bois, 21x17 cm,
Toyama (Japon), Museum of Modern Art. Oeuvre faite avec son sperme et secrètement cachée dans une édition de la Boîte en valise,
réservée et offerte à une femme aimée: la sculptrice brésilienne Maria Martins. Marcel DUCHAMP (1887-1968), Prière de toucher, 1947,
sein en caoutchouc mousse (latex), collé sur velours noir sur carton,
41, 8x34, 7x7, 1 cm. Marcel DUCHAMP (1887-1968), F euille de vigne femelle, 1950,
plâtre galvanisé, 8, 5x13x11, 5 cm, Londres, Tate Gallery. Deux épreuves d'artiste et dix exemplaires peints par Man Ray. Marcel DUCHAMP (1887-1968), Objet-dard, 1951,
plâtre galvanisé avec incrustation d'un filet de plomb, 7, 8x19, 7x9 cm. Des répliques en bronze ont été réalisées en 1962. Marcel DUCHAMP (1887-1968), With my Tongue in my Cheek, 1959,
expression anglaise équivalente à "se mordre la langue pour ne pas rire",
plâtre, crayon sur papier, monté sur bois, 25x15x5, 1 cm, Paris, MNAM,
autoportrait de profil et moulage en plâtre de la joue avec des points de crayon pour indiquer les poils de barbe,
dessin et relief (évocation du mythe de Dibutade).
Marcel Duchamp Paysage Fautif Du
Système D, Jacques Caumont et Françoise Le Penven, Fayard, 2010. Un échec matrimonial. Le cœur de la mariée mise à nu par son célibataire même, de Sarazin-Levassor Lydie, Les presses du réel, 2004. Duchamp, A biography, de Tomkins Calvin, New York, Henry Holt, 1996. L'Empreinte, de Georges Didi-Huberman, Paris, Éd. du Centre-Pompidou,
1997. CET ARTICLE FAIT PARTIE D'UN DOSSIER EN TROIS PARTIES: « Duchamp: «une horreur presque maladive de tout poil» »; « Marcel, martyr de l'amour? »; « Jules et Jim: une histoire vraie » EN SAVOIR PLUS: « Art contemporain, le scandale comme moteur? » NOTES (1) Alain Boton a grandi à Clichy sous bois. Devenu voyou, puis alcoolique, il a fait une cure de désintoxication «sûrement plus utile qu'un doctorat de sémiologie», dit-il, pour étudier Duchamp c'est-à-dire la question de l'identité. Après quoi, il a été embauché au Centre Pompidou… La suite de l'histoire, ce chercheur sans baccalauréat la raconte dans une autobiographie: Duchamp d'une vie. (2) Selon Francis Naumann, Duchamp et
Maria ont eu une liaison de 1946 à 1950, l'année où Martins est définitivement
retournée au Brésil (Source: Étant Donnés: 1° Maria Martins, 2°
Marcel Duchamp, de Naumann Francis, Paris, L'Echoppe, 2004).
Marcel Duchamp Paysage Fautif Dans
Marcel DUCHAMP (1887-1968), Sculpture morte, 1959,
fruits et légumes en massepain (préparation culinaire), insectes, papier monté sur bois, dans une boîte en verre, 33, 8x22, 5x9, 9 cm, Paris, MNAM,
un autoportrait arcimboldesque dans une boîte-reliquaire. Marcel DUCHAMP (1887-1968), Torture morte, 1959,
mouches artificielles collées sur plâtre peint (moulage du pied de l'artiste),
boîte en bois et verre, 29, 5x13, 4x10, 3 cm, Paris, MNAM. Marcel DUCHAMP (1887-1968), Rasée L. H. O. Q., 1965,
carte à jouer en couleur sur invitation imprimée, 21x13, 8 cm, New York, MoMA. Dernière des différentes versions de l'oeuvre réalisée pour un carton d'invitation (multiple),
cette version renvoie à toutes les autres et notamment à la première version iconoclaste de 1919 mettant en question, dans un jeu freudien, l'identité sexuelle de la Joconde, et à travers elle celle de Léonard de Vinci et celle de l'artiste lui-même (Rrose Sélavy). Cette version "rasée" efface en quelque sorte les ajouts dessinés de moustache et de bouc de 1919 et, par rebond fait voir l'original de La Joconde, comme une version "sans barbe".
Détacher dans l'architecture (une bibliothèque) la fonction (conserver – consulter) de la matérialité (béton, pierre, bois) pour envisager une prise en charge par le vivant de la transmission d'un message aux lecteurs futurs témoigne d'une souplesse conceptuelle largement facilitée par les hypothèses scientifiques et artistiques (Kac) de ces dernières années. Si nous avons été capables de le penser, d'autres avant nous sont probablement arrivés aux mêmes conclusions. Ce projet s'inscrit dans la série des « spotters », observant désespérément le monde dans le but d'y découvrir des signes intelligibles ou le témoignage d'une intelligence; soit que celle-ci cherche à se faire connaître ou bien que son anonymat ait été trahi par des témoignages discrets d'existence. Il s'agit de tenter de décoder l'ADN d'un cafard pour vérifier si des messages abandonnés par une civilisation qui nous aurait précédés n'y seraient pas cachés. Le programme d'analyse des séquences de l'ADN pourrait s'inspirer des programmes utilisés dans le décryptage des signaux de l'espace (SETI).