Je comprends aujourd'hui que je suis impuissante et que la seule chose qui puisse me sauver est de lâcher prise parce qu'il va me falloir toutes mes forces et bien plus pour résister à la vague qui va se retirer, pour me soustraire de ce lien mortel. Je tente de lâcher prise de tout mon être, de toute mon âme. Ce qui fait encore obstacle, c'est de « vouloir » le faire plutôt que de croire et d'agir. Là, je n'aurais plus peur! Sous la montagne d'eau, je pourrais voir le ciel et me libérer, enfin! Sabrina La reproduction intégrale de mon écrit est autorisée. Cependant, mon nom complet ainsi que le lien actif de la page du site internet ou/et est obligatoire. Vous remerciant de votre compréhension ainsi que de l'intérêt porté à mon travail, Geneviève Schmit. Site portail pour les victimes de PN Geneviève Schmit, coaching thérapeutique... © Geneviève Schmit, experte dans l'accompagnement des victimes de manipulateurs pervers narcissiques.. J'aurais grand plaisir à lire vos interventions sur le Facebook qui vous est dédié: Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse
Je Suis Classe
Lorsque nous sommes revenus à l'hôtel, qui a été préservé de l'horreur de ce qui venait de se passer, nous avons raconté notre histoire aux personnes restées au bord de la piscine. Il y eut des rires…Personne ne nous a cru… Aujourd'hui, je vis à nouveau un tsunami. Un Tsunami intérieur et dont je suis la seule victime. Une victime silencieuse, dont les dégâts ne touchent que ma propre personne physique et mon intégrité mentale. Un tsunami que personne d'autre que moi ne vit, personne ne voit et dont toutes pourraient rire et ne pas le croire parce que le colosse est mon mari. Je me trouve juste au moment où je suis dans la masse d'eau constitué pas la vague. Mon esprit est projeté aux quatre coins de ma boîte crânienne par la versatilité de son comportement, de ses paroles. J'ai essayé à plusieurs reprises de sortir la tête de l'eau pour ne recevoir que des mots qui blessent, heurtent, humilient, dénigrent, menaces de manière voilées et qui use de chantages violents. Lorsque je dis « sortir la tête de l'eau », j'essayais vainement de comprendre, de me remettre en cause, de m'interroger sur ce qui pourrait générer un tel comportement chez la personne que j'aimais et à qui je donnais toute ma confiance, sans jamais avoir de réponse.
Je Suis Colosse Du
Tout s'est joué sur la partie vélo (40 km) où Fabien Bosson a pris les commandes sur ce parcours à bosses où sans cesse il fallait relancer. Avec (45'' d'avance au km10) il contrôlait la situation par sa stratégie. Quatre minutes d'avance à la transition 2, Fabien Bosson avait course gagnée, Florent Vincent dû se résoudre à conserver sa deuxième place. C'est la première fois que je me retrouve devant détaille Fabien, « Il vaut mieux être chasseur qu'être chassé! J'avais un peu d'appréhension, on relève un peu le pied pour ne pas se mettre dans le rouge, rester dans le plaisir et contrôler, sur quelque chose de performant. Je suis satisfait de ma course, il me manquait peut-être un peu d'adversité ». Le triathlète rêve sans doute d'un Trail long à définir pour une autre transition. Sidonie Triboulet, l'étoile qui monte
Elle avait échoué sur le Championnat duathlon court de Hell-Bourg, déçue par des crevaisons à répétitions sur ce parcours. L'étudiante en Staps et vainqueure du Triathlon le Mur en 2021 devant Adélie Jadot et Fleur Bizzoto avait le sourire en tranches papaye sur l'espace du Colosse.
Sa grande taille l'oblige parfois à combattre à genoux. Sa réputation est telle qu'elle déborde et excite l'orgueil des lutteurs de la France entière. Jean-Pierre est plus célèbre que les brosses et les bonnets de Lavaur! Pascal Dessaint Mais pourquoi finalement plus « le bon Jean-Pierre », que par exemple Jules Léotard, souvent décrit comme l'inventeur du trapèze volant, et inhumé dans l'illustre cimetière toulousain de Terre-Cabade? Peut-être parce que Dessaint comme tous les auteurs de polars a un penchant pour les êtres cabossés, hors-normes. « Qui peut savoir sa souffrance? Qui peut savoir son chagrin » s'interroge l'écrivain. Et au docteur qui fait du « colosse » le centre d'une de ses études, Dessaint expédie tel un uppercut une citation d'Anatole France: « Quand on a trop souffert, on ne pense plus. La stupidité, c'est le coup de grâce de la misère ». Il ne s'agit pas d'un homme fantastique. C'est un homme, d'abord! L'auteur évalue le règne de Mazas à huit ans, de quoi devenir « riche pour un paysan de l'époque, mais il reste un paysan ».