Annoncé presque en dernière minute, Disconnected a l'honneur et le plaisir d'ouvrir pour Judas Priest. Autant dire que certains doivent les jalouser tant cette opportunité permet aux Français de toucher un vaste public, même si le backdrop fait ridiculement petit sur cette scène dépouillée au possible. Profitant d'une demi-heure de scène, Ivan et sa bande, pardon, Adrian Martinot et sa bande (oui, c'est son projet après tout) se donnent à fond et le vocaliste ne se gêne jamais pour communiquer sa joie et son émotion au public: dès la fin du premier titre Ivan prend le temps d'expliquer: « on revient d'une tournée avec Tremonti, et là, on est les mecs les plus chanceux du monde ». Plus tard: »vous pouvez pas imaginer comme on kiffe d'être là! » Tu m'étonnes…. Le public, qu'il remercie pour son accueil, son soutien au Metal français et son ouverture d'esprit, Disconnected n'ayant que « peu en commun avec Judas Priest » – c'est un peu vite oublier que les Metal Gods ont connu leur période thrash et extrême – est conquis.
Judas Priest 27 Janvier 2015
1 an après la sortie de leur dernier opus Firepower et d'une tournée mondiale en 2018 – dont un passage exclusif au Hellfest – Judas Priest revient dans notre bonne vieille capitale pour un unique show français (le premier de la tournée 2019). Ainsi, les pionniers du Heavy Metal sont-ils toujours en forme? Spoiler: OH QUE OUI! Après plus de 3h30 d'attente dans le froid parisien (et quel froid! ), 19h sonne l'entrée sur scène de Disconnected, un groupe de metal français qui assurera la première partie. Le chanteur remercie la production de leur avoir offert cette précieuse opportunité. Est-ce un tour de force de la production ou le choix de Judas Priest de les programmer? Aucune idée, en tout cas, ils sont bien présents et démarrent les hostilités. Le groupe, rapidement s'est mis le public dans la poche en le faisant chanter et pogoter. Un style de metal – modern metal, comme ils se définissent eux-mêmes – assez proche de In Flames avec tantôt du screaming et tantôt du chant clair. Quelques samples sont utilisés, pour surement coller le plus possible à l'album d'origine White Colossus.
Judas Priest 27 Janvier 2011
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Judas Priest en concert à Lisbonne le 2 juillet dernier. — RM3/
69 année érotique… et de la naissance de Judas Priest. A presque 50 printemps, la retraite ça ne sera pas pour maintenant pour le groupe britannique. Et après avoir enflammé la première soirée du Hellfest le 22 juin, les pionniers du heavy metal refont un crochet par la France, et se produiront au zénith de Paris le dimanche 27 janvier 2019. Les places sont en vente ce vendredi 13 juillet à partir de 10 heures. A Clisson (Loire-Atlantique), leur prestation a été remarquée. Les vieux métaleux ne sont pas non plus en préretraite, comme nombre de leurs camarades de promotion 1960-1970. Ils ont même un album à défendre, « Firepower » sorti en mars dernier. >>> Ce spectacle est à réserver sur la plateforme de notre partenaire, Carrefour Spectacles
Du cuir, des clous, des écussons, de la veste en jean bleu ciel, des solos de guitare totalement déments et une voix qui s'élève de la terre jusqu'au ciel.
Groove grisant et chant syncopé, c'est un plaisir à entendre. Judas Priest enchaîne sur le fougueux « The Green Manalishi (With the Two Prong Crown) ». « Night Comes Down » est une ballade elle aussi rarement jouée, qui permet au Priest de lever (un peu) le pied. Retour à l'actualité avec un quatrième extrait du nouvel album, le morceau « Guardians - Rising From Ruins ». Un superbe titre épique, sur lequel Scott Travis fait des merveilles à la batterie. Un morceau qui nous rappelle les recherches sonores du mal-aimé album « Nostradamus » (que nous apprécions pourtant tout particulièrement). L'enchaînement des morceaux est impeccable, la montée en intensité du concert est indéniable, même la ballade « Night Comes Down » n'a pas réussi à baisser le niveau d'énergie. A ce stade du concert Judas Priest a d'ores et déjà convaincu, tout en prenant le risque de ne pas délivrer ses classiques les plus connus. La suite du concert se recentre dorénavant sur une série de titres qui sont tous des références du genre.
Étape 1. Ouvrez l'application Paramètres en appuyant sur les fenêtres + je touches du clavier. Étape 2. Cliquez sur le Personnalisation catégorie dans la barre latérale gauche dans les paramètres Windows. Étape 3. Sur le côté opposé de Personnalisation, clique sur le Démarrer languette. Étape 4. Maintenant, tournez l'interrupteur à bascule sur Au ou Désactivé place à côté de Afficher les applications les plus utilisées option. Si vous tournez la bascule sur Au position, vous pouvez voir le Plus utilisé applications sur le Le menu Démarrer. Pour masquer les applications les plus utilisées dans le menu Démarrer, désactivez le commutateur à côté de Afficher les applications les plus utilisées option. Comment activer ou désactiver les applications les plus utilisées dans le menu Démarrer via la stratégie de groupe? Effectuez les étapes suivantes pour activer ou désactiver l'entrée des applications les plus utilisées dans le menu Démarrer de Windows 11: –
Étape 1. Ouvrez l'éditeur de stratégie de groupe local.
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Étape 1: Tapez le mot "start" dans le champ de recherche dans le coin inférieur gauche de l'écran. Étape 2: choisissez l'option Démarrer les paramètres dans la liste des résultats de la recherche. Étape 3: cliquez sur le bouton sous Afficher les applications les plus utilisées pour l'activer. J'ai activé cette option dans l'image ci-dessous. Maintenant, lorsque vous ouvrez le menu Démarrer, il y aura une section la plus utilisée où vous pourrez trouver plus facilement les applications que vous utilisez régulièrement. Avez-vous l'impression que votre souris se déplace trop lentement ou trop rapidement? Ce guide vous montrera comment modifier la vitesse du pointeur de la souris dans Windows 10 si vous souhaitez régler cette vitesse.
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Lorsqu'une application est ouverte, par défaut dans macOS, l'application fait un petit saut dans le Dock pour indiquer qu'elle s'ouvre. C'est un effet que nous pouvons activer ou désactiver. La première chose à faire est d'aller dans les Préférences Système. Maintenant dans la section Dock et barre de menus. Activez ou désactivez l'icône Animate lors de l'ouverture d'applications. Comment supprimer le point qui apparaît sous les applications du Mac Dock? Si vous voyez un petit point sous les applications dans le Dock de votre Mac, cela signifie que l'application est ouverte. Mais si c'est quelque chose que vous n'aimez pas, vous pouvez facilement le désactiver. Allez dans les Préférences Système. Désactivez Afficher les indicateurs d'application ouverte. Voici les meilleures astuces pour « personnaliser » le Mac Dock. Il existe de nombreux ajustements pour tout faire exactement comme vous l'aimez et gagner en productivité.
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L'un des endroits les plus importants de macOS est le Dock, une barre inférieure unique aux Mac où nous trouvons nos applications préférées. Le Dock est dans macOS depuis de nombreuses années et c'est un outil essentiel et personnalisable à maîtriser. Nous allons vous expliquer tout ce que vous devez savoir sur le Mac Dock. Personnalisation, options, changements de position et de nombreuses astuces cachées. La maîtrise du Dock est essentielle pour maîtriser macOS. Qu'est-ce que le Dock sur Mac? Le Dock est arrivé sur Mac avec la version Mac OS X, et était une adaptation du même outil utilisé par les ordinateurs de la société NEXT, fondée par Steve Jobs. Apple a acheté NEXT au milieu des années 1990, et Steve Jobs, ses ingénieurs et son système d'exploitation ont été à la base des Mac suivants. Le Dock est une fonctionnalité très pertinente de l'interface utilisateur graphique macOS. Il est utilisé pour lancer des applications, basculer entre des applications actives, fermer des applications ou voir celles qui sont ouvertes.
Ainsi, on pourrait même imaginer qu'à terme, Google Maps -ou un autre logiciel de cartographie- devienne l'écran d'accueil de la majorité des smarpthones. Les avantages d'une application de cartographie dotée de fonctionnalités GPS semblent si évidents qu'on peut comprendre pourquoi Apple a cherché à inventer sa propre application, " Maps"... Avec le résultat catastrophique que l'on sait. La firme de Mountain View vient de lancer la dernière version de son logiciel de cartographie, qui offrirait encore "plus de personnalisation". Si celui-ci offre une nouvelle fonctionnalité bluffante (le "fondu enchaînés" ou "morphing" des photos de lieux célèbres connus prises par des touristes, qui donne l'impression d'un film, voir un exemple ici), il souffre en revanche d'un temps d'affichage bien trop long par rapport à l'ancienne version, et semble aussi plus dépouillé mais moins intuitif. Le mieux étant l'ennemi du bien, sans doute Google Maps devrait songer à rester simple pour continuer à s'imposer comme le "navigateur par défaut" de beaucoup de smartphones.