Jean Bazaine
L'art, avant d'être un instrument de volupté, est une affirmation des droits de l'homme. Jean Bazaine est né à Paris en 1904. Tout en préparant une licence de lettres, il sera l'élève du sculpteur Landowski à l'Ecole des Beaux-arts de Paris. En 1924, il abandonne la sculpture pour la peinture. Dès 1930, le jeune artiste commence à montrer son travail dans des expositions de groupe avec Fautrier, Pougny, Goerg et Gromaire, dont il.... Retour Artistes & Stock
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9 oeuvre(s) actuellement disponible(s)
Placard André... Sérigraphie
DLM n°55-56
Lithographies
DLM n°96-97
Revue Maeght
Catalogue(s) raisonné(s)
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Piste bibliographique & autres
A lire sur l'artiste:
« Jean Bazaine, Vitraux et Mosaïques », Musée du vitrail, Ed. Jean bazaine peintre clothing. Benteli, 1965
« Bazaine », Jean Tardieu et autres, Ed. Maeght, Paris, 1975
« Jean Bazaine, Rétrospective », B. Dorival, Musée des Beaux-Arts Quimper, 1982
« Bazaine: Dessins 1931-1988 », Musée Matisse, Le Cateau-Cambrésis, 1988
« Bazaine », P. Cabanne et autres, Ed. Skira, Genève & CNAP, Paris, 1990
« Bazaine », Claire Stoullig, Ed. Albert Skira, Musée d'Art & d'Histoire, Fribourg, 1996
« Couleurs et mots », entretiens, Ed.
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À partir de 1958 des expositions rétrospectives des peintures de Bazaine sont présentées, en Suisse et aux Pays-Bas, en Allemagne et en Norvège, puis en 1965 à Paris au musée national d'art moderne. Il crée des mosaïques, en 1960 pour le bâtiment de l'Unesco à Paris, en 1961 pour le paquebot France, en 1963 pour la Maison de la Radio. JEAN BAZAINE (1904-2001) - Encyclopædia Universalis. En 1964, Bazaine reçoit le grand prix national des arts et commence à travailler avec le maître-verrier Henri Déchanet à la réalisation, achevée en 1969, des vitraux de l'église Saint-Séverin à Paris. En 1967 il organise avec Alexander Calder une exposition-vente au profit de la Croix-Rouge vietnamienne, une autre en 1968, à laquelle participe notamment Édouard Pignon, en faveur des étudiants. Bazaine publie en 1973 un deuxième livre, Exercice de la peinture et réalise l'année suivante une série de tapisseries, Blasons des douze mois. Après l'opération discutable de la restauration des vitraux de la cathédrale de Chartres, il fonde en 1976 avec Manessier l'« Association pour la défense des vitraux de France ».
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Sur la scène artistique comme ailleurs, on opposa souvent au vainqueur les maigres arguments symboliques qui pouvaient conjurer la honte d'être occupé. Ce retour à la francité qui résistait « abstraitement » à l'épreuve imposée au pays reposait sur des convictions déjà anciennes confortées par quelques siècles d […]
Lire la suite PARIS ÉCOLES DE Écrit par Claire MAINGON • 2 616 mots • 2 médias
Dans le chapitre « La seconde école de Paris »: […]
L'expression « seconde, ou nouvelle, école de Paris » renvoie, quant à elle, à un ensemble d'artistes bien différents. Comprise dans sa définition la plus large, elle se réfère à tout ce que la capitale compta d'artistes indépendants dans les années entourant la Seconde Guerre mondiale, et intègre aussi bien les tendances figuratives réalistes que les expressions picturales abstraites. Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789 - Histoire analysée en images et œuvres d’art | https://histoire-image.org/. Dans un so […]
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Lors de sa première exposition en 1932, Pierre Bonnard lui confie: « je suis content de voir quelqu'un qui travaille dans ma voie, je suis si seul. ». En 1937, il réalise avec Jean Le Moal une peinture murale dans le cadre de l'Exposition internationale de Paris, crée un premier vitrail pour une chapelle privée et fait la connaissance de Jacques Villon avec qui il se liera. En 1939, Bazaine est mobilisé en Lorraine. Chargé en 1941 de la section Arts plastiques à l'organisation Jeune France (infiltrée par les adversaires du régime de Vichy et dissoute dès 1942), Bazaine travaille notamment avec Jean Vilar et Maurice Blanchot. Avec André Lejard il organise ainsi en 1941, malgré les condamnations officielles de l' « art dégénéré », l'exposition « Vingt jeunes peintres de tradition française », première manifestation à Paris de la peinture d'avant-garde sous l'Occupation. Jean bazaine peintre bag. Avec Maurice Estève il entre en 1942 à la Galerie Louis Carré qui exposera aussi Charles Lapicque et Jacques Villon. En 1943, il fait la connaissance de Georges Braque qu'il rencontrera souvent après la Libération.
Sur la toile inachevée, la nudité suggérée sous les vêtements concourt encore à l'idéalisation de la scène à laquelle David n'assista pas, mais qu'il souhaita hisser au rang d'acte universel. Tous les regards convergent vers Bailly, maire de Paris, ébauché sur la toile au crayon blanc, comme l'ensemble des figures encore nues. C'est Bailly, doyen du tiers état, qui répond au marquis de Dreux-Brézé, émissaire du roi: « Je crois que la nation assemblée ne peut pas recevoir d'ordres. Jean bazaine peintre au. » Sur ces dessins à l'anatomie parfaite, héroïque, sont esquissés les habits à la peinture grise, puis les corps sont à nouveau, toujours nus, remodelés à la peinture grise ombrée de bistre. Le grand fragment de la toile inachevée de David présente quatre portraits presque finis: Barnave, Michel Gérard, Dubois-Crancé et Mirabeau. Parmi les personnages ébauchés, on distingue Robespierre, Dom Gerle, l'abbé Grégoire, Rabaud-Saint-Étienne, le docteur Guillotin et Treilhard. Quant au grand dessin d'ensemble, même si plusieurs personnages, dont Bailly, y sont déjà reconnaissables, le livret du Salon de 1791 précisait curieusement que « l'Auteur n'a pas eu l'intention de donner la ressemblance aux membres de l'Assemblée ».