The Covers!, c'est également une exposition événement. Depuis « Vinyl, disques et pochettes d'artistes » organisée en 2010 à la Maison Rouge à partir de la collection de Guy Schraenen, qui mettait à l'honneur de grands noms de l'Art Contemporain peu d'expositions importantes ont consacré cet objet de collection. En 2015, l'exposition « Hip-hop, du Bronx aux rues arabes » organisée à l'institut du Monde Arabe présentait une sélection de pochettes réalisées par des artistes issus de la culture urbaine avec notamment la collection d'Afrika Bombaataa, fondateur de l'Universal Zulu Nation musicien et pilier du Hip-Hop. Georges Lang : presque 50 ans de radio rock célébrés - Rolling Stone. Cette approche ciblée a eu le mérite de mettre en lumière la richesse de production musicale Hip-Hop ainsi que la forte implication des artistes graphistes et graffeurs. L'exposition à Pau se veut, elle, plus généraliste. Présentant des univers musicaux et des styles variés, elle donne à voir le bouillonnement créatif de plusieurs générations d'artistes, dont certains sont aujourd'hui célèbres: Keith Haring, Shepard Fairey (Obey) ou Banksy.
Sous Pochette Vinylengine
Cette grande leçon d'écriture conclut le LP d'une manière magistrale. An American Dream
Notons à nouveau la participation du producteur John A. Rivers aux claviers et la pochette avec variation du logo sur trame de roses noires, en poster dans la version vinyle originale. Le rappeur indien Sidhu Moose Wala tué par balle à 28 ans - Rolling Stone. Considéré par beaucoup comme le meilleur album de Love And Rockets, ce second disque, appuyé par des concerts décapants, apportera au trio une reconnaissance critique et publique, notamment au Canada et aux États-Unis, à en rendre jaloux une Diva comme Peter Murphy. Enfin, Love And Rockets n'ayant jamais négligé ses Singles, l'on vous conseille de jeter une oreille ou deux sur leurs faces B, souvent en bonus CD: Inside The Outside, Holyday On the Moon ou cette belle cover du Pink Floyd période Syd Barrett …
Love And Rockets – Lucifer Sam (Pink Floyd) – (1986)
A suivre…
Bruno Polaroïd
Sous Pochette Vinyles
Les noms de ceux qui avaient perdu leur protection ont ensuite été divulgués, les critiques affirmant que cette mesure avait rendu ces personnes vulnérables aux attaques. Moose Wala figure sur la liste des 122 hommes politiques dont les équipes de gardes du corps ont été retirées ou réduites ce week-end. Des responsables des forces de l'ordre du Pendjab ont confirmé que Moose Wala avait toujours accès à deux gardes de sécurité armés, mais qu'il avait choisi de ne pas voyager sous protection policière dimanche. La foule s'est rassemblée à l'hôpital de Mansa où Moose Wala avait été transporté après la fusillade, et des manifestations contre le gouvernement de l'État ont éclaté. Sous pochette vinyle. « Profondément choqué et attristé par le meurtre d'un leader prometteur du Congrès et d'un artiste talentueux, Sidhu Moosewala, a tweeté Rahul Gandhi, le leader de l'un des plus grands partis politiques indiens, après l'annonce de la mort de Moose Wala. Mes sincères condoléances à ses proches et à ses fans du monde entier ».
Ash multiplie les trouvailles sur sa Fender. Le gus, admirateur de Mick Ronson, n'a jamais voulu être un guitar hero, juste un musicien différent. Il s'éclate sur les riffs de Life In Larelay, épilogue de la première face ou multiplie les arpèges dissonants sur le vénéneux et sexy Love Me. Love Me
Les trois réussissent même à citer pêle-mêle Rockabilly frénétique, chants Folk, délire Psyché et humour absurde dans le fameux Yin And Yang (The Flowerpot Man). On salue d'ailleurs la performance de la rythmique des frangins Haskins, excellente sur tous les morceaux comme toujours. Sous pochette vinylengine. A voir aussi dans la vidéo, l'apparition des Bubblemen, un vieux fantasme de Daniel Ash …
Yin And Yang (The Flowerpot Man)
Enfin, alors que le gang commence à tourner aux States, ils se fendent d'une ultime pépite douce amère sur les espoirs et désillusions du Rêve Américain. Le titre à tiroirs dominé par la 12 cordes de Ash, présente une intro mélancolique, suivi d'une accélération inattendue et d'un final en majesté avec chœurs.