Sur le seuil de Sa maison - SL41-2 (AELF/Anonyme/Mame Le C) B. P. 30012 - 44370 VARADES t
SUR LE SEUIL DE SA MAISON,
NOTRE PÈRE T'ATTEND. ET LES BRAS DE DIEU
S'OUVRIRONT POUR TOI. 1
Quand les portes de la vie s'ouvriront devant nous,
Dans la paix de Dieu nous te reverrons. 2
Par le sang de Jésus-Christ, par sa mort sur la croix,
Le pardon de Dieu te délivrera. 3
L'eau vive qui t'a donné la vie lavera ton regard,
Et tes yeux verront le salut de Dieu. 4
Quand viendra le dernier jour, à l'appel du Seigneur
Tu te lèveras et tu marcheras. 5
Comme à ton premier matin brillera le soleil,
Et tu entreras dans la joie de Dieu.
- Sur le seuil de sa maison paroles pdf to word
Sur Le Seuil De Sa Maison Paroles Pdf To Word
La lecture attentive du texte de ce chant nous montre qu'il ne parle pas tant du lieu où va le défunt que de ce que devient le défunt, de ce qu'il éprouve, de ce qui lui arrive. Le lieu où la personne est accueillie après la mort est la maison du Père. Maison déjà mentionnée par Jésus dans l'évangile selon saint Jean: « Dans la maison de mon Père, beaucoup peuvent trouver leur demeure… » (14, 2). Dans le chant, comme dans l'évangile, aucun autre élément n'est donné concernant cette maison, mais l'attention se porte sur le Père qui habite cette maison et qui accueille « à bras ouverts »: « … notre Père t'attend, et les bras de Dieu s'ouvriront pour toi. » Dans le deuxième couplet, la mention des « portes de la vie » est plus une indication de passage, de transformation, qu'une indication de lieu. Les proches du défunt qui chantent imaginent le moment où eux-mêmes, passés par la mort à leur tour, reverront la personne aimée. L'expression « les portes de la vie » est métaphorique et symbolique: elle indique un changement d'état ou de condition.
Le Christ
de Pâques est l'incarnation définitive de la miséricorde, son signe vivant: signe du salut à la fois historique et eschatologique. Dans le même esprit, la liturgie du temps pascal met sur nos lèvres les paroles du Psaume: Misericordias Domini in aeternum cantabo, «Je chanterai sans fin les miséricordes du Seigneur» 100. Jean-Paul II