Cinquième Français Exercice fondamental: Étudier le voyage et l'aventure dans un extrait de Vendredi ou la Vie sauvage de Michel Tournier Après avoir lu le texte suivant, répondre aux questions qui permettront de l'étudier. Vendredi ou la vie sauvage « Trois longues pirogues à flotteurs et balanciers étaient tirées sur le sable sec. Une quarantaine d'hommes faisaient cercle debout autour d'un feu d'où montait un torrent de fumée lourde, épaisse et blanche. Robinson reconnut à la longue-vue des Araucans du type costinos, redoutables Indiens de la côte du Chili. Ce peuple avait tenu en échec les envahisseurs incas, puis il avait infligé de sanglantes défaites aux conquistadores espagnols. Petits, trapus, ils étaient vêtus d'un grossier tablier de cuir. Leur visage large aux yeux extraordinairement écartés, était rendu plus bizarre encore par l'habitude qu'ils avaient de s'épiler complètement les sourcils. Ils avaient tous une chevelure noire, très longue, qu'ils secouaient fièrement à toute occasion.
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Qu'est‑ce qui a changé? b) Selon vous, Robinson se considère-t-il toujours comme le propriétaire de la nature? Justifiez votre réponse. Qu'est-ce que Robinson a appris de son immersion dans la nature? Utilisation des cookies Lors de votre navigation sur ce site, des cookies nécessaires au bon fonctionnement et exemptés de consentement sont déposés.
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Objectif: je comprends la signification de la notion de civilisation …
Robinson a compris qu'il devenait fou et que le bateau qu'il avait cru voir arriver n'était qu'une hallucination. Il décide alors de se reprendre en main et de civiliser son île. Qu'est-ce que Le mot "civilisation" vous évoque? QU'EST-CE QUE LE MOT « SAUVAGERIE » VOUS ÉVOQUE? Un indien Nambikwara du Brésil
Extraits de Vendredi ou la vie sauvage Durant les semaines qui suivirent, Robinson explora l'île méthodiquement et tâcha de repérer les sources et les abris naturels, les meilleurs emplacements pour la pêche, les coins à noix de coco et à ananas. Il établit son dépôt général dans la grotte qui s'ouvrait dans le massif rocheux du centre de l'île. Il y transporta tout ce qu'il put arracher à l'épave qui avait résisté par chance aux tempêtes des mois précédents. Quelques pistes de lecture …
À votre avis, pourquoi Robinson Crusoë ressent-il le besoin d'écrire un journal de bord? Le travail de Robinson Crusoë vous paraît-il difficile?
Chapitre 2: le réveil du naufragé
Lorsque Robinson reprit connaissance se réveilla, il était couché,
la figure dans le sable. Une vague déferla sur la grève le sable
mouillée et vint lui lécher les pieds. Il se laissa rouler sur
le dos. Des mouettes noires et blanches tournoyaient volaient en rond dans
le ciel redevenu bleu après la tempête. Robinson s'assit
avec effort et ressentit une vive forte douleur à l'épaule gauche. La plage était jonchée était couverte, était pleine de poissons morts, de coquillages
brisés cassés et d'algues noires rejetés par les flots les vagues, la mer. À l'ouest, une
falaise rocheuse s'avançait dans la mer et se prolongeait se continuait
par une chaîne de récifs rochers. C'était là que se dressait la
silhouette la forme de La Virginie avec ses mâts arrachés et ses
cordages flottant dans le vent. Robinson se leva et fit quelques pas. Il n'était pas
blessé, mais son épaule contusionnée douloureuse continuait à lui faire
mal. Comme le soleil commençait à brûler, il se fit une
sorte de bonnet en roulant de grandes feuilles qui
croissaient poussaient au bord du rivage du bord de mer.
C'était une hallucination, un produit de son cerveau malade
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Il découvrit l'entrée d'une grotte, ombragée
par à l'ombre de un cèdre géant; mais il n'y fit que quelques pas, parce
qu'elle était trop profonde pour pouvoir être explorée examinée, visitée ce
jour-là. Il préféra escalader les rochers, afin d' embrasser voir
une vaste étendue du regard. C'est ainsi, debout sur le
sommet du plus haut rocher, qu'il constata que la mer
cernait entourait, enfermait de tous côtés la terre où il se trouvait et qu'aucune
trace d'habitation n'était visible: il était donc sur une île
déserte. Il s'expliqua ainsi l'immobilité du bouc qu'il avait
assommé. Les animaux sauvages qui n'ont jamais vu
l'homme ne fuient pas à son approche. Au contraire, ils
l'observent avec curiosité. Robinson était accablé épuisé, écrasé de tristesse et de fatigue. En
errant passant au pied du grand rocher, il découvrit une espèce
d'ananas sauvage qu'il découpa avec son couteau de poche
et qu'il mangea. Puis il se glissa sous une pierre et
s'endormit.