Yoga du son & Chants du monde
Avec Isabelle Canova, chanteuse et professeure de chant. Enseignante à l'école de musique de Plouay où elle anime entre autres des ensembles vocaux et co-fondatrice du collectif « Vocal Bardak », elle vous propose un moment polyphonique convivial autour de circle songs et l'apprentissage de chants du monde. « La joie profonde du coeur est une boussole qui nous indique le chemin de la vie » Anjezë Gonxhe Bojaxhiu.
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Yoga Du Centre
Le respect des gestes barrières est demandé à l'ensemble des participants: port du masque (ne les oubliez pas), utilisation du gel hydroalcoolique, distanciation... Produits récemment ajoutés:
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Photo de Galina Barskaya
Le pendant naturel de l'écoute active (la première clé de la bhakti) consiste à exprimer ses pensées, ses sentiments et ses émotions par la parole. Les deux font la paire, et la réciprocité des échanges qui en découlent donne lieu à une communication ouverte. Lorsque l'écoute porte sur le Divin, le Divin nous parle directement. Cycle de base - YOGA du SON. Et lorsque la parole est dirigée vers le Divin, elle devient chant, bouclant ainsi la boucle d'une communication non seulement ouverte, mais sublime et transcendante. Le Divin parle au bhakta, et le bhakta lui répond. Dans le cadre du bhakti-yoga, l'écoute et le chant sont codifiés de manière à maximiser l'impact des vibrations spirituelles modulées par le yogi. L'émission et la réception du son se font systématiquement écho dans un ballet continu, et élèvent spontanément l'âme au niveau absolu. Les bhaktas tirent parti de cette deuxième clé de la bhakti en entonnant des mantras composés de noms du Divin, ou à la gloire de l'Absolu dans sa forme personnelle.
Assurer la sécurité des personnes âgées en EHPAD et des résidents handicapés des MAS et FAM tout en leur garantissant le respect de la vie privée et la liberté d'aller et venir revient à vouloir concilier l'inconciliable. C'est pourtant ce qu'imposent les textes. Un dispositif anti-fugue pour les patients souffrant d'Alzheimer. Ainsi, l'article L. 311-3 du Code de l'Action Sociale et des Familles (CASF) dispose que
« L'exercice des droits et libertés individuels est garanti à toute personne prise en charge par des établissements et services sociaux et médico-sociaux. Dans le respect des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, lui sont assurés:
1° Le respect de sa dignité, de son intégrité, de sa vie privée, de son intimité, de sa sécurité et de son droit à aller et venir librement […] »
Naturellement, nul ne songerait à priver un résident des droits fondamentaux ainsi énumérés. Le droit à la liberté d'aller et venir, par exemple, est également garanti à l'article 5 de la Convention européenne des Droits de l'Homme et à l'article 8 de la Charte des Droits et Libertés de la personne accueillie.
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Néanmoins, en pratique, les soignants doivent au quotidien arbitrer entre sécurité / liberté d'aller et venir et entre sécurité / respect de la vie privée. L'équilibre est des plus ardus et les questions soulevées des plus concrètes: faut-il enfermer en permanence un résident atteint de la maladie d'Alzheimer pour le protéger? Peut-on surveiller 24h/24 un résident au nom de sa sécurité? Quelle dose de risque est jugée acceptable? Fugue maison de retraite film. La position de la Justice est également placée sous le sceau de l'équilibre. Le raisonnement est le suivant: face à des droits fondamentaux de même valeur, ceux-ci doivent être conciliés. Le droit à la sécurité, le droit d'aller et venir librement –autrement appelé la sûreté- et le droit à l'intimité de la vie privée ne sont donc pas absolus. Par conséquent, l'obligation de sécurité à la charge de l'établissement médico-social ne peut être qu'une obligation de moyens. L'EHPAD, la MAS ou le FAM sont tenus de tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité des résidents, mais leur responsabilité ne peut être mise en jeu qu'en cas de faute dans la surveillance du résident.
A cause de la maladie qui leur retire petit à petit la mémoire, ces personnes peuvent, comme un enfant qui voudrait découvrir le monde qui l'entoure, suivre leur instinct, en voulant retrouver la maison dans laquelle ils ont passé une partie de leur enfance ou leur enfance complète. Ils ont la volonté de se rendre dans un endroit bien précis; mais cela peut leur porter préjudice et ils peuvent se perdre dans cet environnement qu'ils ne connaissent pas. Fugue maison de retraite. Il existe bien heureusement des solutions afin d'éviter les « fugues » des personnes malades, ou encore si elles ont tout de même lieu que celles-ci mettent en grand danger la personne. Les aidants travaillant dans les maisons médicalisées et EHPAD sont présents auprès de ces personnes. En effet, les aidants sont là pour parler avec les personnes atteintes de la maladie d' Alzheimer, ils sont à leur écoute. Le but est de les familiariser avec le nouvel environnement dans lequel elles sont. Habituer une personne à son environnement peut effectivement paraître anodin mais pour une personne qui est désorientée, se sentir bien dans son nouveau milieu de vie est essentiel et peut éviter la « fugue ».