Toutes les heures de prières de Sevran pour aujourdhui. le 29 Chawal 1443, 31/05/2022.
- Heure de prière à sevran
- Fiche d'arrêt cass crim 8 janvier 2003
- Cass crim 8 janvier 2003 en
Heure De Prière À Sevran
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Sommaire Faits procédure prétentions des parties problème de droit solution Extraits [... ] Fiche d'arrêt - Cass. crim janvier 2003 L'arrêt de rejet de la chambre criminelle de la cour de cassation, en date du 8 janvier 2003, est relatif à l'existence de la complicité en l'absence d'infraction principale punissable. [... ] [... ] La personne qui a placé les stupéfiants dans les pneus a été condamnée du chef de complicité des délits d'exportation, détention et transport de produits stupéfiants commis par le conducteur les 24 septembre 1998 et 20 octobre 1998 et a été relaxée pour les faits du 20 novembre 1998. ] La question de droit qui se pose est de savoir si, bien qu'en présence d'un acte matériel punissable et de l'intention de participer à l'infraction mais en l'absence de preuve de l'intention de l'auteur principal, une personne peut être condamnée pour complicité. La chambre criminelle de la cour de cassation approuve la décision de la cour d'appel en soutenant que « dès lors que l'existence d'un fait principal punissable, soit l'exportation illicite de stupéfiants, a été souverainement constatée par la cour d'appel, la relaxe en faveur du conducteur n'exclut pas la culpabilité du complice.
Fiche D'arrêt Cass Crim 8 Janvier 2003
Résumé du document Fiche de jurisprudence succincte pour l'arrêt de la chambre criminelle de la Cour de Cassation rendu le 8 janvier 2003 L'existence d'un fait principal punissable exclu t il la culpabilité d'un complice? Extraits [... ] Fiche de jurisprudence Crim janvier 2003 Faits: Yannick Deville a effectué des transferts de stupéfiants de France vers l'Angleterre sous les conseils avisés de Ali Hamli. Les 24 septembre 20 octobre et 20 novembre 1998. Procédure: La Cour d'appel de Douai a par un arrêt du 27 septembre 2001 condamné pour complicité d'infraction Ali Hamli à 4 ans d'emprisonnement avec un an de sursis. L'infraction étant été commise par yannick Deville. En revanche la cour d'appel a relaxé ce dernier pour les fais du 20 novembre 1998, pour élément intentionnel manquant. [... ] [... ] Puis que la cour d'appel a violé la procédure, car elle a inculpé Ali Hamli pour des qualifications qui n'étaient pas initialement retenues contre lui. Et que cela n'a pas permis de laisser le temps à celui ci de préparer une bonne défense.
Cass Crim 8 Janvier 2003 En
Ainsi, dans un arrêt du 4 mars 1998, la Chambre criminelle de la cour de cassation avait rappelé que « la complicité n'est caractérisée qu'autant qu'il y a un fait principal punissable dont l'existence est établie en tous ses éléments ». Or toutes les infractions supposent un élément moral. C'est du reste l'objet de l'article 121-3 du Code pénal. Or, en l'espèce, l'auteur principal est relaxé non pour une cause personnelle et touchante à l'imputabilité, mais « pour absence d'intention coupable », ce qui n'empêche pas la condamnation du complice. La culpabilité de l'auteur principal est ici donc considérée comme indifférente. Cette conception avait été autrefois défendue par certains auteurs, qui proposaient de réprimer la complicité dès lors que les faits accomplis par l'auteur présentaient « la figure d'une infraction à la loi pénale », sans nécessairement en caractériser tous ses éléments. Cette analyse, reprise par une doctrine plus moderne peut s'appuyer sur certaines décisions qui ont considéré que « la culpabilité du complice est indépendante de celle de l'auteur principal » dans un arrêt de la cour de cassation criminelle du 2 juin 1916.
La Cour de cassation rejette le pourvoi au motif que dès lors que l'existence d'un fait principal punissable a été souverainement constatée par la Cour d'appel, la relaxe de l'auteur principal du fait qu'il ne connaissait pas la nature du produit transporté, n'exclut pas la culpabilité d'un complice. Dans ce contexte, il apparaît que l'existence d'un fait principal punissable n'est plus une condition essentielle à la complicité et que les juges consacrent l'extension de la notion de complicité (II). [... ] [... ] L'acte de complicité est détaché de l'acte principal, il y a bien sûr un lien entre les deux, mais ce lien n'est pas étroit. La complicité apparaît donc comme un fait autonome et il est donc possible de se contenter d'un fait matériel qui, en soi, correspond à une infraction, mais sans exiger que l'infraction soit commise. Il n'y a pas nécessairement besoin de la réalisation complète de l'infraction. En connaissant la nature de l'objet transporté (la drogue) et en ayant mis en relation l'auteur et l'acheteur de l'objet, le prévenu s'est volontairement rendu complice de toute l'opération. ]