« Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28) Chers frères et sœurs, 1. Les paroles que Jésus prononce: « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28) indiquent le mystérieux chemin de la grâce qui se révèle aux simples et qui offre un soulagement à ceux qui peinent et qui sont fatigués. Ces mots expriment la solidarité du Fils de l'homme, Jésus-Christ, face à une humanité affligée et souffrante. Que de personnes souffrent dans leur corps et dans leur esprit! Il appelle tous les hommes à aller vers lui, « v enez à moi », et il leur promet soulagement et repos. « Quand Jésus dit cela, il a face à lui les personnes qu'il rencontre chaque jour sur les routes de Galilée: tant de gens simples, pauvres, malades, pécheurs, exclus par le poids de la loi et du système social oppressif … Ces personnes l'ont sans cesse poursuivi pour écouter sa parole – une parole qui donnait l'espérance » ( Angélus, 6 juillet 2014).
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Publié le 29 avril 2020 Mercredi, 3 e Semaine du Temps Pascal Homélie du Père Alexandre de Bucy [button link= »#lecture » class= »abcd »]Lire l'Évangile[/button] « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ». Ces paroles de Jésus, je les prononce souvent ces jours-ci. Lundi après-midi, j'étais à l'hôpital d'Argenteuil, au chevet de malades du COVID-19, qui désiraient recevoir le sacrement des malades. Revêtu d'une blouse, d'un tablier, d'une charlotte, de lunettes protectrices, de gants, je ne pouvais emporter avec moi que l'huile des malades et des photocopies de la prière d'onction, à jeter en quittant chaque chambre. En présence des malades, ce sont ces paroles qui me sont venues à la bouche. Les mains vides, je ne pouvais donner que ce que le Seigneur me confiait: son huile, signe de sa force contre le mal, et ces paroles, témoins de sa paix. J'ai vu de mes yeux combien le Seigneur apaisait chacun. Mardi après-midi, j'étais à l'église de St-Gratien, pour les obsèques de M. Jean-Claude Anne, la 48 e célébration d'obsèques sur notre groupement paroissial, depuis le début du confinement le 15 mars dernier.
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9 décembre 2020 -
Sainte Léocadie
L'évangile du jour
« Venez à moi, vous tous qui peinez »
(Mt 11, 28-30)
En ce temps-là, Jésus prit la parole: « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Méditer avec les Carmes
"Vous qui peinez et qui êtes surchargés"... Jésus, en disant cela, s'adressait en premier lieu à tous ceux qui étaient écrasés et blessés par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, à tous ceux qui pliaient sous le poids des épreuves. Et là, chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellé. Car les épreuves sont notre lot à tous, au moins à certaines heures ou à certains tournants de la vie: Epreuves de santé, épreuves de famille, épreuves dans la réalisation de nous-mêmes et, pour les consacrés, épreuves de la vie communautaire.
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Méditation de l'évangile du jeudi 15 juillet
Venez à Moi, et Je referai vos forces. Il connaît le poids de nos misères, mais, attelé avec Lui au même joug, comme deux bœufs de travail, aucun fardeau ne nous pèsera, grâce à cette merveilleuse amitié d'un Dieu qui, devenu homme, tire avec nous sur le terrible quotidien..
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11, 28-30. En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit:
Venez à moi,
vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug,
devenez mes disciples,
car je suis doux et humble de cœur,
et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter,
et mon fardeau, léger. »
C'est près de Jésus et près du Père que nous trouverons, à l'intérieur, l'explication de notre destinée, toujours si dramatique, devant la souffrance et la mort. Devant nos détresses, son cœur lui dicte un ordre, un de ces impératifs de tendresse dont Il a le secret: « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.
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Et il est vrai que devant la souffrance, il n'y a souvent pas d'explication, pas de mots à dire. Et parfois pas de consolation possible. Mais la souffrance peut parfois nous aider à nous rapprocher de Dieu. Devant ce mystère de la souffrance, l'homme se trouve face à face avec son impuissance, avec sa faiblesse. Il se retrouve aussi avec le besoin de quelqu'un d'autre, quelqu'un qui puisse lui venir en aide. Et cela peut être un chemin vers Dieu. Qui serait tellement fort au point de ne jamais avoir besoin de personne? Serait-il vraiment humain? Devant cette faiblesse de l'homme, Jésus nous lance son appel: « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau. » La souffrance peut être un chemin vers Dieu. Victor Hugo écrit dans Les Misérables: « La pupille se dilate dans la nuit et finit par y trouver du jour, de même que l'âme se dilate dans le malheur et finit par y trouver Dieu. »
2. Jésus nous rejoint dans notre souffrance, et il nous propose le repos. Le vrai repos, la paix de notre âme.
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Il ne nous ôtera pas notre croix, il la portera avec nous. Car c'est lui, le repos que nous cherchons. Aller vers le Christ, lui donner de notre temps, le rencontrer chaque jour dans la prière, se familiariser avec sa parole, redécouvrir sans crainte son pardon, c'est se sentir aimé et consolé par lui. Alors, en ce mois de juillet qui est un temps de vacances où nous recherchons le repos loin de ce qui fatigue le corps, «n'oublions pas de chercher le vrai repos dans le Seigneur. »
«Que la Vierge Marie notre Mère nous aide, elle qui prend toujours soin de nous quand nous sommes fatigués et opprimés, et nous accompagne vers Jésus. »
09-07-2017 source: Radio Vatican
Et ce sont ces paroles que nous avons écouté avec ses amis au moment où nous disions adieu à cet homme qui a connu tant d'épreuves. Chaque jour, à moi-même et à ceux et celles qui sont parfois épuisé par le confinement, l'isolement, la culpabilité, l'inquiétude du lendemain, le poids de la vie, la charge des enfants, les conditions de travail pour certains, ou l'incertitude sur la reprise du travail pour d'autres, je redis souvent ces mêmes paroles. Ecoutons ces paroles, déposons nos fardeaux devant Dieu et accueillons la paix profonde du cœur que Dieu nous donne. « Prenez sur vous mon joug, (…), mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». En commentant ce texte, saint Augustin voit dans ce joug, facile à porter et léger, le bras du père prodigue qui se pose sur l'épaule du fils qui a dilapidé tout son héritage, une main qui pardonne, qui relève, et qui invite à la joie du festin. Cette main de Dieu renouvelle en profondeur la paix dans nos cœurs. C'est aussi la main des soignants qui prennent soin et guérissent, la main de nos proches qui consolent et expriment leur amour, la main de tous les travailleurs qui bâtissent et développent un monde pour tous, la main des éducateurs, qui montrent la bonne route et encouragent, la main des prêtres, qui bénissent et donnent le Seigneur.