Malheureusement, notre administrateur subit un autre piratage. Il suppose que le pirate a pu passer le routeur et les firewalls en
soumettant des requêtes sur des ports autorisés. Il a très bien pu
envoyer un exploit sur un serveur web ou de messagerie
vulnérable. 10. 3. Le deuxième
niveau de sécurisation
Alors, pour se protéger, il intercale une sonde NDIS (voir
Section 4. 3, « Les systèmes de détection d'intrusion
(HIDS/NIDS) ») entre le firewall et le réseau local et
dans la DMZ. Si un pirate venait à envoyer des requêtes suspectes
ou des exploits connus, les NIDS préviendraient du risque
d'intrusion (de l'intérieur ou de l'extérieur). Le manager NDIS se
situera dans le réseau local. Il dédie toujours une seule machine pour un seul service. Il met
régulierement à jour les logiciels, et s'informe sur les nouvelles
failles de sécurité. Ceci constitue un niveau acceptable permettant de résister à des
nombreuses attaques. Architecture securise informatique dans. 10. 4. Les niveaux
plus élevés
Nous allons nous appuyer dans cette section sur l'architecture
précédente.
- Architecture securise informatique mon
- Architecture sécurisée informatique et internet
Le besoin de contrôle: quel contrôle votre client veut-il avoir sur ce qui se passe sur son réseau? Vous allez découvrir tout de suite qu'il existe de nombreuses architectures vous permettant de répondre aux besoins de votre client. L'architecture simple (couche réseau et transport) C'est l'architecture que vous avez déjà pu voir lors du premier chapitre. Le firewall est simplement positionné entre le LAN et le WAN. C'est l'architecture la plus connue et la plus utilisée: On filtre au niveau des adresses IP (couche 3) et des ports TCP/UDP (couche 4). Les enjeux de sécurité pour votre architecture informatique. On autorise les règles définies dans la politique de sécurité. Cette solution est peu coûteuse, un hardware peu puissant combiné à un firewall open source est suffisant. Il faut que l'administrateur cloud et infrastructure ait une bonne connaissance des règles à appliquer. Elle ne permet pas de filtrage sur les services tels que HTTP ou FTP (il est impossible d'empêcher du peer-to-peer par exemple). Je vous conseille d'utiliser cette architecture lorsque le client ne possède pas de serveur interne ouvert sur l'extérieur.
Robert Kneschke - Fotolia
La préparation à la cybersécurité nécessite une architecture de sécurité robuste. L'expert Peter Sullivan explique quelles briques de base sont essentielles à cela. Etre préparé à répondre aux incidents de sécurité est un état que chaque entreprise doit s'efforcer d'atteindre. Dans la première partie de cette série sur la préparation à la cybersécurité, un ensemble de sept objectifs fondamentaux a été détaillé. La seconde partie a été consacrée au premier élément de cette liste: le plan de cybersécurité. Précédemment, l'architecture de sécurité de l'information a été décrite comme une architecture de sécurité permettant de contrôler le réseau supportant les communications locales, étendues et distantes, d'en comprendre le fonctionnement, et d'en assurer la surveillance. L'architecture est la façon dont les composants d'une chose s'organisent. Architecture sécurisée informatique et internet. S'agissant d'un système d'information en réseau, l'objectif est d'organiser et d'exploiter ce système de manière à pouvoir le contrôler le système et à détecter des activités inattendues, indésirables et malveillantes.
Pour cette raison, et pour la majorité des utilisateurs, la « meilleure » approche sera sans doute le modèle problem-driven, avec pour attente que la tâche à venir se concentre sur le contrôle des flux d'informations et l'accès aux ressources. Actuellement, si les architectures de sécurité et de conformité abordent ces points, elles ne reflètent aucune norme unique en termes de mise en œuvre. En d'autres termes, les utilisateurs devront élaborer ce chaînon manquant à leur propre initiative. Recommandations pour les architectures des systèmes d’information sensibles ou Diffusion Restreinte | Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information. Les principaux éditeurs de logiciels (IBM, Microsoft et Oracle) sont tous en mesure de livrer les outils nécessaires à cette fin. Toutefois, leur efficacité quant à l'optimisation pratique desdits outils varie d'un compte à l'autre. Mais mieux vaut commencer dès maintenant, car les choses n'iront pas en se simplifiant. Pour approfondir sur Gestion de la sécurité (SIEM, SOAR, SOC)
Apache Camel, Mule ESB, Spring: bien choisir son framework d'intégration
Par: Twain Taylor
Quelle gouvernance de la cybersécurité pour anticiper les risques et protéger son entreprise?