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Les Marches Des Esclaves Guadeloupe 2
Le port de Pêche Sur ce ponton accostait les esclaves destinés à la vente, qui au fur et à mesure est devenu un port de pêche. Selon les historiens, il a été emprunté par les amis d'Ignace, figure de la Révolution de Guadeloupe, alors qu'ils regagnaient la Basse-Terre pour aller rejoindre Louis Delgrès et ses compagnons en 1802. L'ancienne Prison Inscrit au titre des monuments historiques en 1991, cet ancien bâtiment se trouve non loin des Marches des esclaves à 200 mètres. En retrait de la route, sur la droite, cet édifice est envahi par un figuier maudit, immense arbre aux énormes racines, qui enserrent les murs et trône fièrement au milieu de l'édifice. Les Marches des Esclaves – Petit Canal – 2Tastics. Le Site de Duval Ce vaste terrain, est un lieu riche en histoire du passé sucrier de l'ancien bourg du Mancenillier, il y abrita une usine à sucre où vinrent travailler des originaires des îles anglophones de la région, Ste Lucie, Dominique, Antigue et St Martin. Au nord de Duval, à l'habitation Grognon, Gwongnon, en créole, on peut voir les ruines d'un logement construit pour les accueillir, kaz a anglé; ce même type de logement existe aussi à l'Habitation Lubeth.
À Pointe-à-Pitre, le Mémorial ACTe propose une exposition permanente sur ce commerce international qui a abouti au violent déracinement de millions d'hommes et de femmes. / Aurélien Brusini/ Une exposition aménagée sous des voûtes affiche une volonté toute politique: raviver la fierté de cette jeunesse avec des héros auxquels elle peut s'identifier. Les marches des esclaves guadeloupe 2. « Avant, il y avait dans la population l'idée que c'était le fort de la colonisation », explique Odile Broussillon, directrice générale adjointe de l'éducation, de la culture, du sport et du tourisme au conseil départemental. « Maintenant, c'est notre patrimoine, poursuit-elle. On rend hommage à des Guadeloupéens qui ont fait preuve de courage. » Le site est intégré à un itinéraire qui court à travers tout l'archipel: « la Route de l'esclave » a été développée pour valoriser et conserver des vestiges liés à l'esclavage, en reprenant un concept porté par l'Unesco depuis 1994. Sucrerie, poterie, cimetières ou « habitations », exploitations agricoles, 18 sites ont été retenus sur 70 pressentis, en fonction de leur intérêt et de leur accessibilité.