Préface: Tu es Maître de l'histoire. Choisis comment tu vas me baiser, et rends toi au paragraphe portant le numéro de ton choix. Tes désirs sont des... Participant à une édition spéciale de l'émission Seul et tout Nus situé au Nicaragua en saison sèche. Étant un enseignant en arts martiaux de 26 ans... Je connais Xavier depuis quelques semaines. Nous avons fait connaissance sur un site de rencontre libertin. Nos fantasmes étaient à peu près identiques et je...
- Recette du fumbwa saint
Son téton pointait vers moi, je me précipitais dessus et me mit à le mordiller. Elle gémit de plus belle. Je continuais de caresser l'autre sein à travers le maillot tout en jouant avec ma langue sur celui que j'avais en bouche. D'un geste, je glissais ma main à l'intérieur du bonnet et fit ressortir le sein et son téton gonflé par l'excitation. Je pris alors les seins dans mes mains et me mit à frotter le visage entre. J'avais l'impression d'être dans un rêve! Je les caressais, les léchais, les titillais; ma mère, elle, fermait les yeux et gémissait. Puis, emportais par la ferveur de l'i****te, j'entrepris de glisser ma main vers son sexe. Elle l'attrapa, ouvrit les yeux et me lança "pas pour aujourd'hui mon grand, peut-être une autre fois, mais pas maintenant". Elle souriait comme jamais je ne l'avais vu. Elle regarda vers le bas de mon short et murmura dans le creux de mon oreille "tu bandes encore mon grand, t'aimerais te soulager sur eux? " Oh mon dieu, ma mère me proposait d'éjaculer sur ses sublimes seins!!
Je me surprend à écrire sur un site de femmes mais quand j'ai lu tous ces témoignages, j'ai eu envie de faire part de mon expérience. Merci à toutes et je suis ouvert à toutes critiques. Cédric
Photo d'illustration
L'image des seins de ma mère est restée gravée dans ma tête à vie. Et puis le temps a passé mais j'avais toujours ce fantasme et la vision de ses seins en tête. Tout a basculé un soir de saint valentin. J'avais invité ma copine de l'époque au resto et on s'est disputé en allant la reconduire chez elle ce soir-là et on s'est quittés. J'étais effondré tellement je l'aimais cette nana. Et puis, je suis rentré chez moi, j'étais mal dans ma peau. Je suis monté dans ma chambre, ma mère dormait dans la sienne. Je me suis mis au lit et j'ai commencé à chialer. Mes pleurs ont réveillés ma mère qui est venue voir ce que j'avais. Elle s'est assise sur mon lit et on a commencé à parler de ce qui s'était passé. Je lui ai dit que j'étais en manque d'amour, que je n'avais pas de chance avec les filles. Et puis, en voyant sa chemise de nuit qui n'était pas complètement fermée sur le haut, j'ai repensé à ses fabuleux seins et surtout à ses énormes têtons. Alors, je me suis dit que c'était peut être le moment de tenter quelque chose.
"Oui, si ça te dérange pas. " "Grand bêta, si je te le propose c'est que ça ne me gêne pas! " Elle se mit à genoux et commença à baisser mon maillot. "Eh bien mon grand, je vois que maman fait de l'effet, aller je vais te donner un coup de mains" Elle empoigna mon sexe, qui soit dit en passant est de taille normal, et débuta un lent vas et viens. Je regardais ma mère agir de manière attentive à ses gestes, ses seins rebondissaient et tremblaient à chaque mouvement. Elle frotta alors mon gland contre sa poitrine, allant des tétons jusqu'aux flancs. La peau était aussi douce que le geste, puis elle arrêta se mouvement entre ses deux attributs et enserra mon pénis contre ses seins. Elle me regarda dans les yeux, je compris tout de suite ce qu'elle voulait dire. Je commençais à bouger du bassin de manière saccadée jusqu'à ce que les premières gouttes de sperme coulent. A ce moment là je me retins d'envoyer ma semence et ma mère, comme si nos pensées ne faisaient qu'une, me présenta ses atouts charnels.
Le « fumbwa » ou « koko ». Photo: Voix d'Exils
Consommée en Afrique centrale, cette plante est appelée fumbwa en République Démocratique du Congo (RDC) et koko en République du Congo (RC). A l'origine, le fumbwa était consommé seulement par les Bakongos, une ethnie vivant dans l'ouest de la RDC, la RC et l' Angola. Un peu gay dans les coings...: Fumbwa : feuilles mijotées au beurre de cacahuètes (Congo). Mais, au fil des temps, il s'est imposé et il est actuellement consommé par les autres ethnies de ces trois pays qui apprécient son goût délicieux et son apport nutritionnel. Il est disponible dans les magasins africains, antillais, indiens et turcs. Recette du « fumbwa » ou « koko »
Pour 4 personnes
Temps de préparation: 1 heure
Ingrédients:
1 sachet de fumbwa ou koko de 100 grammes
250 g de pâte d'arachide
1 poisson fumé ou séché de 400 grammes
2 gros oignons
2 gousses d'ail
1 feuille de laurier
1 cube de bouillon de légumes
3 tomates
3 cuillères d'huile de palme
Sel, piment, ciboulette
Préparation:
Faire tremper le fumbwa dans beaucoup d'eau pendant une heure puis laver et égoutter.
Recette Du Fumbwa Saint
Le Fumbwa ou koko est un plat à la base consommé par les « BaKongo » peuple situé à l'ouest du Congo. Mais il fait partie de la cuisine du Congo-Kinshasa et du Congo-Brazzaville, bien qu'ils s'agissent de deux pays différents. Il est traditionnellement préparé avec le Gnetum africanum, une plante autochtone, du genre Gnetum. La plante est également connue sous d'autres noms dans divers pays africains. Si vous ne pouvez pas vous la procurer, vous pouvez la remplacer par des pousses d'épinards, des feuilles de cocoyam (taro), chou vert, chou frisé ou des feuilles de citrouille finement hachées. Recette du fumbwa par. J'ai utilisé des épinards surgelés car c'est vraiment pratique. La Recette Pour 4 personnes 1 kg d'épinards, ici surgelés 1 grosse aubergine (si vous pouvez vous procurer des aubergines vertes congolaises, il en faudrait deux, car elles sont beaucoup plus petites) 1 poivron vert 1 gros oignon 1 gros bouquet de ciboulette (ou oignon vert) 1 bouillon-cube de légumes Sel et poivre Gingembre en poudre Huile d'arachide (la recette originale est faite avec de l'huile de palme) Une poignée de cacahuètes grillées (facultatif) 1 Pelez et émincez l'oignon puis, faites-le revenir revenir dans une sauteuse avec 2 cuillères à soupe d'huile.
Accueil
Opinion
Cameroun - Cuisine. La recette de L'okok ou Fumbwa
Plat typique des Bétis, tribu de la région du centre du Cameroun, l'okok (aussi appelé fumbwa) est fait à base de feuilles Gnetum découpées très finement, bouillies avec du beurre de cacahuètes et du jus de noix de palme. Il se mange accompagné de tubercules. ADS
Préparation: 15 minutes
Cuisson: 20 minutes
Ingrédients
250g de feuilles d'Okok découpées finement
400g de suc de noix de palme
300g de pate d'arachides grillées
500ml d'eau
sel
2 cuillères à soupe de sucre
Préparation
Préparez vos feuilles d'okok et réservez
Versez le suc de noix de palme, l'eau et le sel. Laissez cuire pendant 5 à 10 minutes. Ajoutez la pâte d'arachide et le sucre. Remuez de temps en temps pour que le mélange n'attache au fond de la marmite. Recette du fumbwa la. Lorsque l'huile apparait au-dessus de votre préparation, ajoutez peu à peu l'okok sans cesser de remuer. Laissez mijoter à feu doux pendant 2 min et retirez du feu. C'est prêt! Servez avec les tubercules de manioc ou avec du bâton de manioc.