Fiche 0:Un dictionnaire miniature des termes arabes et Français pour TCS
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- Viols : la spirale infernale de la «tournante» – Libération
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», ajoute la jeune fille. Lohan est, quant à lui, plus indécis. « Mon avis est plutôt mitigé, je dirais que ça peut être une bonne chose, car les maths sont importantes et avoir un certain nombre de connaissances mathématiques peut être utile. Mais, j'ai peur que le retour des maths serve surtout à nous apprendre des choses pour notre culture générale, au détriment d'une réelle utilité au quotidien. Série mathématique tronc commun au. »
Laura, elle, n'est pas favorable à cette mesure. « Je suis plutôt contre les maths dans le tronc commun. Mes amis au lycée sont complètement paniqué à l'idée de cette mesure et je les comprends, car les spécialités demandent beaucoup de travail et ont un fort coefficient, puis certains ont des difficultés dans cette matière ce qui les désavantage surtout que pour la plupart, les maths ne font pas partie de leurs projets professionnels. » La jeune femme n'est pas la seule à être défavorable à cette idée, Louane partage son opinion. La jeune fille, en classe de première, suit les spécialités HGGSP, SES et HLP.
Évidemment, ce changement de calendrier changerait tout. Les syndicats d'enseignants et des chefs d'établissements sont vent debout contre une application dès septembre 2022. Selon eux, le délai est beaucoup trop court, les moyens des établissements sont répartis depuis longtemps et il est très probable que de nombreux lycées manquent de professeurs de mathématiques. Que pensent les lycéens du retour des maths dans le tronc commun ?. Les élèves de seconde doivent faire ces jours-ci leurs choix de spécialités pour l'année prochaine et personne ne peut leur dire s'ils auront des maths dans les enseignements communs. Les associations de professeurs et sociétés savantes ont redit leur opposition ferme à la proposition de programme, publiée il y a deux semaines. Elles évoquent un " catalogue sans cohérence globale ", une quantité de thèmes abordés " inadaptée " et un traitement qui montre la " méconnaissance profonde des rédacteurs ". Prolongez votre lecture autour de ce sujet
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Arrêtés puis mis en examen, les dix-huit garçons dont elle a pu donner les noms ont nié ou minimisé. Si Nina enchaînait les rapports sexuels avec une quinzaine de types, c'était «par plaisir», «parce que c'était une pute». «Tout le monde savait» que Stéphanie et Nina participaient à des «tournantes», ont précisé la plupart. Elles étaient «consentantes»: «La fille, si elle est là, c'est qu'elle est d'accord. » Après le procès, Nina voudrait reprendre une formation pour devenir maître-chien. «Des gros chiens, sourit-elle. Des bergers allemands, des rottweillers. » Elle a insisté pour que l'on publie sa photo avec l'article parce qu'elle veut dire «aux autres victimes» qu'il ne faut plus avoir peur. «Ce n'est pas à moi de me cacher, c'est à eux. » Parmi ses premières «victoires», il y a le fait de réussir à reprendre seule les transports en commun. Viols : la spirale infernale de la «tournante» – Libération. Et à soutenir le regard des accusés, lorsqu'elle les croise à Fontenay. Pour eux, elle a longtemps éprouvé de la haine. Le sentiment, dit-elle, a évolué.
Viols : La Spirale Infernale De La «Tournante» – Libération
Le lendemain, le groupe l'attend au pied de son immeuble. Elle est emmenée dans un appartement où elle est frappée et violée par plusieurs garçons d'une autre bande. Même supplice les jours suivants. Certains la violent à plusieurs en même temps. Elle pleure, elle vomit. Un des meneurs lui écrase une cigarette au-dessus de la poitrine. Nina a «tellement peur» qu'elle pense qu'elle ne sera «jamais capable» de confier son calvaire. Femme prise en tournantes. Sa mère lui pose des questions, la voyant se laver «huit, dix fois par jour». Mais Nina se tait. Ses tortionnaires lui ont «promis» d'incendier son appartement et de s'en prendre à son frère et à sa mère si elle parle. Les viols continuent tous les jours, pendant environ six mois. Une fois, Nina entend parler d'une autre fille, Stéphanie (1), que ses violeurs «font tourner» dans les caves. Stéphanie est également partie civile au procès qui s'ouvre mardi, pour des faits commis par quatre des accusés. Elle non plus ne voulait pas porter plainte, «par peur». Les deux jeunes filles habitent toujours dans la cité de Fontenay, où elles croisent les accusés.
Certains me tenaient, d'autres rigolaient"
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"Ils ont refait leur vie, mais ils ont détruit la nôtre il y a 10 ans" "Le plus virulent de tous les mis en cause" Il n'était pas l'un des leaders des tournantes "organisées" dans la cité de Fontenay-sous-Bois, mais sans aucun doute le plus violent. Mahamadou Doucouré, également soupçonné du meurtre de son ex-petite amie et de l'enlèvement de son fils, est l'une des figures centrales de ce procès. C'est à cause d'un énième accès de violence que l'affaire des tournantes a éclaté et que l'une des victimes s'est décidée à parler. "Même après la fin des viols, il me frappait dès qu'il me voyait que je rentre du travail ou que je sois avec quelqu'un. Puis, il sonnait chez ma mère en la suppliant de ne pas porter plainte", raconte-t-elle dans Le Parisien. >> Lire l'article du Parisien: Mahamadou, figure centrale et brutale des tournantes de Fontenay
"Elles ne se font pas grande illusion" 13 ans après les faits, Nina et Stéphanie vont faire face à leurs bourreaux.