Le secteur famille accueil les familles, parents et enfants, adultes, grands parents…Toute la famille de 0 à 99 ans. Il propose des temps de rencontres, d'échanges et de convivialités animés par Julie, la référente famille. Le secteur famille du centre social Sainte Élisabeth travail avec les habitants du quartier de la Blancarde afin de construire ensemble des propositions de sorties, des temps forts ou des temps de partage. Le secteur famille propose:
Les petits déjeuner du lundi:
Deux lundis matins par mois venez échanger autour d'un café afin de connaître le programme mais aussi construire celui ensemble, pour être au plus prés de vos envies d'agir et de découvrir. Dynamique femmes:
Projet « le premier pas ». Projet autour de la valorisation de soi, le bien être, et l'estime de soi. Secteur famille centre social européen. Projet vacances en famille. Action d'autofinancement autour de la création de repas de quartier, de soirée, d'animation de temps festifs
Dynamique culturelles:
Permanence culture du cœur deux fois par mois.
Secteur Famille Centre Social Program
Après 19 ans passés au Centre socioculturel, Sandrine Gautier, notre référente famille, s'envole vers de nouveaux horizons. L'occasion de revenir sur l'émergence du secteur famille/adultes et sur ses souvenirs au sein de l'association. La naissance des actions familles
C'est en 2008 qu'est né ce secteur, avec le projet Côté Parents. À l'époque responsable du Centre de loisirs, Sandrine échangeait énormément avec les parents. Elle s'est vite rendu compte qu'ils se posaient beaucoup de questions sur la parentalité. Le bureau de l'association et la CAF ont donné un écho favorable à ce nouveau projet, en lien avec les aspirations du moment. "Cela venait conforter l'idée que l'association devait aller pus loin que la proposition de services". La toute première soirée Côté Parents: une intervention du CDIFF sur les caprices des enfants. Secteur famille centre social program. "Elle a cartonné! " se souvient l'animatrice. Sa formation en DEJEPS a permis de concrétiser le projet, puisque que "Côté Parents" était le sujet de son mémoire.
Pendant de nombreuses années, Côté Parents et La Parenthèse ont évolué en parallèle, avec des temps d'échanges et de partage pour les familles et les adultes, en journée, en soirée ou durant les vacances. Les parents de très jeunes enfants ont également été invités à participer à la "P'tite Bulle" durant 2 ans. La Parenthèse
De grands projets qui ont marqué la référente famille
En 10 ans, de nombreux projets ont vu le jour en partenariat avec des acteurs du territoire. "La MSA, la CPAM, la Carsat, l'association Familles Rurales, la résidence du Perquoi, le Gué Perray, les mairies, les écoles, les assistantes sociales… c'est tout un travail de réseau qui s'est construit au fil des années" raconte Sandrine. Elle se souvient notamment du travail sur l'estime de soi, mené avec l'espace Emploi Formation de la Communauté de Communes, ou encore des ateliers sur les accords toltèques qui l'ont marqué. SECTEUR FAMILLE - Centre Social de la Haute Sarthe (Oisseau-Le-Petit - Canton de St Paterne - 72). "Les ateliers cuisine menés avec la banque alimentaire m'ont aussi énormément apporté. Malgré les difficultés de chacun, la priorité était au partage et à l'échange".
On considérait que ce n'était pas joli à voir et que ça faisait peur. » Un paradigme toujours d'actualité selon Marie-Hélène Lahaye, militante féministe, auteure du blog Marie accouche là et du livre « Accouchement. Les femmes méritent mieux » (éd. Michalon): « Un vrai accouchement, ça n'existe ni dans la littérature ni au cinéma. C'est toujours une séquence dramatique ou comique, avec une femme allongée sur le dos qui pousse. Marie Accouche Là - YouTube. » Un flou artistique qui remonterait, par ailleurs, à la médicalisation de l'accouchement. Sexisme, brutalités, actes non consentis... beaucoup de femmes ont aujourd'hui le sentiment qu'on leur a « volé » ce moment particulier. Pour Marie-Hélène Lahaye, l'enjeu sur les réseaux sociaux est avant tout de leur permettre de se réapproprier la naissance de leur enfant: « Elles racontent souvent leur accouchement du point de vue des médecins - 'Lorsque je suis arrivée à la clinique, j'étais dilatée à 3, puis à 5, puis il était 11 heures et on m'a mis un monitoring. ' Cette capacité à témoigner autrement, c'est une façon de reprendre le pouvoir sur leur corps et de contrecarrer le discours médical dominant.
Blog Marie Accouche La Suite Du Billet
Le Collège National des Sages-femmes (CNSF) "préconise que la patiente asymtomatique puisse retirer son masque lors du travail et des efforts expulsifs. " Et de préciser: "Le personnel soignant devra être équipé de masques FFP2, de charlotte, de lunettes de protection et de surblouse à usage unique (équipement pour acte à haut risque de contamination). Blog marie accouche là du. Cet équipement sera à mettre en place avant le retrait du masque par la patiente. Il sera à retirer et éliminer avant toute sortie de la salle de naissance. " "La naissance est un événement intime majeur au cours duquel le choix des femmes doit être respecté, nous rappelle de son côté le Conseil National de l'ordre des sages-femmes. Indéniablement, le port du masque pendant l'accouchement, particulièrement pendant l'expulsion – qui représente un effort physique intense – est en effet une immense contrainte pour les femmes: elles doivent être entendues. Le CNGOF recommande le port du masque pendant les efforts expulsifs mais précise qu'il ne peut être imposé, donnant ainsi la possibilité aux femmes de le refuser.
"J'ai accouché avec le masque, vous verrez tout se passera bien et vous serez concentrée sur la venue de votre bébé.. de courage", rassure ainsi une internaute sur Twitter. "Personnellement, je redoutais beaucoup le port du masque pendant l'accouchement mais finalement il ne m'a pas gênée (il faut dire qu'en une poussée ma fille était dehors! ), confie une autre sur Facebook. Alors que doivent faire les mères en salle d'accouchement? "On ne peut absolument pas leur imposer, ce n'est pas dans la Loi! Celles qui veulent l'arracher pendant l'accouchement le peuvent, tout comme elles peuvent le refuser dès le départ", martèle la porte-parole de StopVOG. "Les femmes doivent cesser d'être trop 'gentilles' et ne pas se sacrifier pour les autres. C'est un moment exceptionnel, elles sont libres de faire ce qu'elles veulent", ajoute Marie-Hélène Lahaye. Blog marie accouche là paris. Et les soignants? Le Dr de Sarcus, chef de service de la maternité de Nanterre, a évoqué la possibilité pour eux d'exercer leur droit de retrait.
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Respect des femmes qui accouchent: bientôt toutes patientes partenaires? Alors que de plus en plus de femmes dénoncent les violences obstétricales, qui se sont renforcées pendant la pandémie du covid-19 (voir notamment Conjoint interdit, masque, déclenchement: l'explosion des violences obstétricales), de bonnes initiatives voient le jour dans certaines maternités.
Le Collège national des Gynécologues et Obstétriciens français (CNGOF) a lui aussi déclaré que les pères doivent pouvoir être présents lors de l'accouchement. Certaines maternités, y compris dans le Grand Est, au cœur du foyer de la contamination, ont mis en place une organisation permettant la présence d'un·e proche lors de la naissance. C'est par exemple le cas du Dr Philippe Deruelle qui considère que refuser la présence du père est « une solution de facilité ». Interdire la présence du père est une mesure autoritaire et disproportionnée Pourtant, balayant d'un revers de la main toutes les recommandations officielles et tous les principes de bientraitance des femmes, de nombreuses maternités ont décidé, de façon autoritaire, bête et méchante d'éjecter les pères hors de leurs murs. Le blog de Marie-Hélène Lahaye | Le Club de Mediapart. « Nous sommes en guerre », affirment-elles pour justifier l'inacceptable. Des sages-femmes soutiennent mordicus qu'elles ne veulent pas multiplier les contacts avec les gens, comme justification pour exclure les accompagnant·es.
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Conjoint interdit, masque, déclenchement: l'explosion des violences obstétricales
3 août 2020 Par
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La pandémie de covid-19 a aggravé les violences obstétricales lors des accouchements. Une enquête menée pendant la pandémie a mis en lumière une aggravation des violences faites aux femmes dans les maternités. Trois formes de violences se sont ajoutées aux violences obstétricales systémiques: l'interdiction du conjoint, l'obligation du port du masque et une augmentation des déclenchements. Coronavirus: l'urgence de soutenir l'accouchement à domicile
Depuis le début du confinement, les demandes d'accouchement à domicile explosent. Les femmes craignent de donner naissance dans un lieu qui concentre les malades et réduit leur accompagnement. Elles sont confrontées au manque de sages-femmes pouvant les accompagner à la maison. Réseaux sociaux | Marie accouche là. Pour des raisons idéologiques, les pouvoirs publics se sont attaqué depuis des décennies à ces sages-femmes. Quand on est en guerre, on n'accouche pas sur le front
Picasso, Guernica © Picasso
Je m'étais promise de rester très modérée en cette période de crise sanitaire mondiale, par respect pour les soignants mis à rude épreuve dans des conditions très difficiles.
Même si la probabilité de complications est très faible, accoucher seule présente un risque plus élevé que lorsqu'une femme est accompagnée par une sage-femme qui peut détecter tout risque à un stade précoce, envisager un transfert et poser les gestes d'urgence. Les séquelles sur les femmes et leur partenaire Forcer les femmes à accoucher seules en maternité puis débuter sa vie avec son nouveau-né dans une situation de confinement aura des conséquences dramatiques sur beaucoup de femmes. Le premier risque est celui de la dépression du post-partum. Les témoignages de femmes l'ayant vécue convergent pour mettre en évidence deux causes à cette dépression: un accouchement qui se passe mal et un immense sentiment de solitude. Blog marie accouche la suite du billet. Comment imaginer qu'après cette épreuve difficile à la maternité, une jeune mère puisse trouver le soutien indéfectible de son conjoint dont elle a besoin, alors que celui-ci aura lui-même été exclu de la naissance? Comment le jeune père peut-il pleinement intégrer son nouveau rôle et comprendre ce que sa conjointe a vécu s'il n'a pas pu accueillir son enfant?