Au total, 3 ans de boulot pour faire de la 310 V6 une voiture de course, et recourir enfin. Après le Val de Boutonne, fin mars (11 ème au scratch), il prendra ici son second départ, aux côtés de l'excellent « porschiste » Pierrick Chauvel, pour une fois reconverti navigo. Philippe Ancelin sera bien là, en VHC, mais sur une autre monture; une Porsche Carrera (de 1974)
Si les anciens Cadillon (père & grand-père) seront absents, la relève sera assurée par Laura qui pilotera la 205 GTI de papa Bruno. Avec Laura Pajaud au book, on aura là un équipage 100% féminin en VHC, ce qui est rarissime. Enfin, au rayon des autos éprises de sobriété et d'authenticité, on aura plaisir à retrouver la BMW 1600 Ti de Michaël Bricou & Philippe Boucard (que l'on ne voit que trop rarement avec 1 à 2 rallyes par an) et qui sera alignée dans la catégorie Classic. Rallye du printemps de bords 2018 2019. Du côté des bolides plus récents (AJ1/AJ2, entre 1982 et 1990), la belle italienne de « Papy » Michel, une Fiat Ritmo de 1984, voudra briller. Quid de nos petites françaises pour le contrarier?...
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Rallye Du Printemps De Bords 2018 Pdf
Oublié l'habituel duo d'épreuves composant le Printemps de Bords; on passait cette fois-ci (19-20 mai 2018) à un tiercé avec obstacles, mais à l'ordre parfaitement établi. C'est sous un « grand bô » soleil et sur un terrain aussi sec que ferme que 92 des 103 équipages engagés se présentaient tout guillerets ce dimanche matin, pour en découdre, chacun dans sa catégorie, chacun avec ses ambitions du jour. Si tout se passait bien, on toucherait en fin de journée le tiercé dans l'ordre. Mais reprenons les choses chronologiquement. [Poit.-Charentes] Rallye du Printemps de Bords 2018 - 19/20 mai [R] - Coupe de France - Forum-Rallye. Ils étaient tout d'abord 15 présents (sur 17 engagés) sur cette 10ème édition VHC, bien décidés à réveiller dès 8h00 tapantes le cœur du village de Bords encore endormi. Le podium de départ accueillait ensuite 72 « modernes » (sur les 82 de la liste) du 22ème Printemps de Bords. Cette fête locale du sport auto s'offrait un tomber de rideau sympathique avec les tous premiers tours de roues, à vitesse maîtrisée, des 5 autos du 1er Printemps VHRS. 10, 22 et as; Bords se déclinait désormais puissance 3!
Pour les autres, il faudrait se contenter des accessits. Le duel entamé tourne court en VHC
La première des 3 boucles ravissait tous ceux qui attendaient l'empoignade toute aussi amicale que sportive entre l'expérimenté Bruno MAINGUET, dit « Nono le pirate », et le fougueux Philippe ANCELIN doté de l'arme fatale, M3. 2s3 dans la une, puis 1s0 dans la deux; tels étaient les écarts que Nono et son A310 toute jaune collaient à Philippe et à sa « deutsche blanche berline ». Abandon pour l'A310 V6 de Bruno MAINGUET & Thierry BONAVENT
Dans un bel esprit de respect mutuel et d'amitié, les duellistes fraternisaient chaleureusement à l'heure de la pause café et des croissants offerts aux concurrents, à l'ombre de l'église St-Vivien. Et ce n'était pas les 3s3 qui allaient jeter la discorde entre deux hommes qui se connaissent bien et s'apprécient. [Poit.-Charentes] Rallye du Printemps de Bords 2018 - 19/20 mai [R] - Page 4 - Coupe de France - Forum-Rallye. Moins puissante l'Alpine avait cependant tout à craindre de la suite des évènements... et surtout de la M3, dès lors que son « gentleman driver » en maitriserait mieux les atouts.
Il est évident que chaque espèce a un impact très important pour nous et ceci sur tous les plans. Sans ces espèces sauvages la planète ne serait pas habitable, nous dépendons de la biodiversité pour l'eau, la nourriture ou les loisirs. » Le rapport Planète Vivante, en même temps qu'il alerte sur la surexploitation des ressources, met en évidence l'importance de la nature pour l'économie mondiale, comme l'explique Adriana Trocea. « La nature nous fournit des emplois et nous offre des services. A l'échelle globale, on parle de services pour 125 trillions de dollars par an. Les pollinisateurs par exemple ont un impact énorme sur la production agricole. Mais leurs populations sont en déclin, il nous faudrait intervenir. Par exemple, les agriculteurs des Etats-Unis ont investi presque 300 millions de dollars l'année dernière pour installer des ruches dans les vergers d'amandiers pour la pollinisation des fleurs. La pression est énorme pour toutes les espèces. L'activité humaine a affecté de manière significative les habitats et les ressources naturelles.
Rapport Planète Vivante 2018 2
Tout en soulignant l'étendue et l'impact de l'activité humaine sur la nature, le Rapport Planète Vivante 2018 met également l'accent sur l'importance et la valeur de la nature pour la santé et le bien-être des personnes, mais aussi pour nos sociétés et nos économies. À l'échelle mondiale, la nature fournit des services d'une valeur d'environ 125 milliards de dollars par an, tout en contribuant à garantir un apport d'air frais, d'eau propre, de nourriture, d'énergie, de médicaments et d'autres produits et matières. Plus près de nous, dans la région de l'Océan Indien Occidental, la valeur économique des divers services rendus par les écosystèmes marins et côtiers sont estimés à quelques 20 milliards de dollars par an. La biodiversité est « l'infrastructure » qui soutient notre société et notre développement. Il est encore temps d'inverser la courbe de la perte de la biodiversité. Pour cela, le WWF propose l'établissement d'une feuille de route pour la biodiversité pour 2020-2050. En 2020, les dirigeants doivent examiner les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), de l'Accord de Paris sur le climat et de la convention sur la diversité biologique (CBD).
Pourtant, malgré tous les signaux que la planète s'évertue à nous envoyer, nous continuons à détruire le vivant. Le mépris flagrant de l'environnement enraciné dans notre modèle économique actuel, abîme chaque jour un peu plus le monde sauvage. Lire le rapport Lire la synthèse
Les chiffres sont là, accablants. Selon l'IPV (Indice Planète Vivante), entre 1970 et 2016, la taille moyenne des populations de vertébrés sauvages a décliné de 68%. Autrement dit, en moins d'un demi siècle, les effectifs de plus de 20 000 populations de mammifères, d'oiseaux, d'amphibiens, de reptiles et de poissons ont chuté des deux tiers! En cause la destruction de l'environnement - comme la déforestation, l'agriculture non soutenable et le commerce illégal d'espèces sauvages. L'Indice Planète Vivante montre qu'entre 1970 et 2016 la taille moyenne des populations de vertébrés sauvages a chuté de 68%. Pourtant, les décideurs ne semblent pas avoir pris conscience de la gravité de la situation. Ni les accords de politique internationale ni les signaux d'alarme lancés par les scientifiques n'ont permis d'enrayer l'appauvrissement de la biodiversité.