J'imagine sans peine ce qu'elle ressent…
Elle revient pour m'apporter mon verre et spontanément s'agenouille devant moi. Elle apprend vite! Ça confirme mon intention d'accélérer son apprentissage. Je bois tranquillement mon verre en lui ordonnant des déplacements dans le seul but de permettre aux boules de faire leur œuvre. La rougeur de plus en plus vive en haut de ses seins me confirme leur efficacité…
Je décide de calmer le jeu. Xtoires. Pendant qu'elle ramène le verre vide, j'attrape une paire de menottes en acier. Quand je reviens, elle est déjà à sa place, en position d'attente. Je la félicite de son asservissement, en lui caressant les cheveux puis lui ordonne de se redresser, j'attache ses mains dans le dos, ce qui a pour effet de faire ressortir sa poitrine. Je m'installe confortablement et je lui dis:
— Je veux voir comment tu te débrouilles avec une bite dans la bouche. Viens me sucer! Elle m'adresse un regard perdu tandis que je redresse un sourcil interrogateur, puis comprenant la raison de son désarroi je dis d'un air amusé:
— Tu as une bouche!
«Il M'a Forcée À Faire Certaines Choses» | Slate.Fr
C'est cinq jours après notre dernière exhibition que Karen a reçu une enveloppe. Dedans elle a trouvé une photo d'elle, entourée de messieurs, bittes à la main, faisant la queue pour se faire sucer, et un simple petit mot: « Samedi, 21 h, sur ce même parking »
Le samedi suivant à 21h nous étions sur le parking et nous avons attendu. Et là, surprise, André, l'ex beau-père de Karen est arrivé. Il avait la même voiture que celle de la photo. Soumise une femme mariée infidèle – Récits et Fantasmes de Soumise. Nous avons vite compris ce qu'il nous demanderait. Effectivement, il nous a demandé de renoncer par écrit à la pension alimentaire de Georges sinon il ferait déclarer Karen: mère indigne. Nous lui avons demandé de nous donner un délai de réflexion et qu'il n'aurait qu'à passer à la maison pour mettre cela en place. Il était indécis, d'après lui, ni Georges ni la belle mère n'étaient au courant mais il ne voulait pas privé Clara de sa mère. Nous nous sommes donnés rendez-vous pour le lundi suivant chez nous pour tout mettre par écrit. Le lundi, André est arrivé et nous nous sommes installés autour d'un apéritif.
J'avais installé la caméra avec le son. Ainsi, maintenant, avec tout ce que nous avions enregistré, nous étions plus que à égalité. Nous avions une arme de défense. Un fois André partit, Karen encore toute excitée, m'a dit qu'elle ne serait pas contre le garder de temps en temps pour passer une bonne soirée. Il n'était pas désagréable, bel homme et surtout bien monté et performant:
« ¬ je l'ai bien sucé dix minutes et il n'a pas jouit. Et pourtant je sentait bien qu'il était très excité, t'as vu le calibre? Il rentrait bien et il allait jusqu'au fond le salop. J'avoue que dans le ventre je devrais le sentir comme il faut. «Il m'a forcée à faire certaines choses» | Slate.fr. A mon avis ce doit être un bon coup. Et Mireille ne doit pas le satisfaire complètement. Je vais m'en occuper. En plus avec le film on est tranquille, on arrêtera quand on voudra. C'est ainsi qu'André est resté un des amants de Karen pendant plus d'un an ce qui nous avait amené à quelques trios très jouissifs. Mais un incident lui avait fait passer pas très loin d'être pris en défaut par Mireille qui est devenue méfiante alors il a préféré de lui même d'arrêter la liaison a part quelques pipes bis-annuelles, sans plus.
Xtoires
Il glisse un de ses doigts entre mes lèvres et le fait remonter vers mon clitoris. Comme avec mes tétons avant, il joue avec. Ma respiration devient plus forte, mon rythme cardiaque s'accélère. Je sens le désir monter en moi. Je sens ses doigts entrer dans mon vagin. Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir. Ils font déplacer les boules de métal dans ma chatte, je suis prête à exploser quand il les enlève. Il recommence à me pénétrer d'abord avec deux doigts, puis un troisième pendant que son pouce caresse mon clitoris. Je me crispe un peu quand je sens le quatrième doigt rejoindre ses frères mais Hadrien continue de caresser mon clitoris si bien que je me détends et me laisse faire. Je finis par demander grâce à mon maître et le supplie de me laisser jouir. Cruellement il me l'interdit. Il retire sa main et un instant je panique à l'idée qu'il s'arrête et me laisse frustrée de mon plaisir. Je suis presque en pleur lorsque je sens mes lèvres s'écarter encore plus si cela était possible.
J'ai eu la force de dire la vérité à la mère et à la sœur de J., lors de la remise de mes prestations d'emploi. Elles m'ont crues et je n'avais jamais vu sa mère aussi bouleversée. Elle était très en colère et attristée. Elle m'a dit: « Je vais ramasser mon fils et t'aurais du aller porter plainte ». Cela m'a extrêmement surprise, mais a-t-elle changé d'opinion après avoir entendu la version de son fils? Je le saurai sans doute jamais. Bref, je suis encore vivante maintenant. Un mois plus tard, j'ai rencontré un homme merveilleux, j'ai retourné aux études et un emploi d'été dans mon domaine s'est offert à moi, plus payant que le dernier emploi. Les flashbacks, les cauchemars, la culpabilité et la peur qu'il viole une autre fille resteront toujours. Mais il ne faut pas laisser ses conséquences détruire des vies. Il faut s'en servir pour les embellir. This Girl
Dessin au feutre noir: une femme aux longs cheveux noirs, recroquevillée en position foetale, une main sur le front, les yeux fermés.
Soumise Une Femme Mariée Infidèle – Récits Et Fantasmes De Soumise
L'Apprentissage – L'asservissement (Partie 3) par Corto
***
Hadrien
Je suis surpris du plaisir à peine dissimulé que Sophie a pris à lécher sa propre cyprine dans un asservissement total. Il se pourrait que j'ai mal évalué sa perversité latente. Je vais probablement revoir mes projets pour la suite de ce week-end. Je vais en parler à Jean et France. Ils ont guidé mes premiers pas de dominant et leur avis est toujours judicieux. C'est avec un sourire en coin que je m'installe dans le fauteuil et commande à ma jolie soumise asservie d'aller me servir mon verre de cognac. Elle se déplace d'une démarche mal assurée, visiblement surprise par la sensation que lui procure les boules de Geisha 1. La table sur laquelle France a posé le cognac est suffisamment basse pour que Sophie en se penchant exhibe sa chatte. Je lui ordonne d'écarter ses cuisses que je puisse profiter au maximum du spectacle et vérifier son asservissement. Je choisis volontairement des mots humiliants pour la tester. Elle rougit.
Je réussis à me relever et à monter sur lui pour ne pas me sentir dominée. J'ai fait quelques mouvements de va-et-vient sans trop savoir pourquoi et j'ai arrêté brusquement lorsqu'il m'a demandé si j'étais intéressée à faire l'anal. Je lui ai dit un gros NON, j'ai ajouté: « Je pense que ta queue est molle, on va arrêter ça là ». Je tente de me retirer pour cesser le rapport sexuel. m'agrippe avec ses bras solidement et par surprise, pour me plaquer violemment sur son lit pour revenir à la position initiale. Il était de nouveau sur moi, il me dit: « T'aimes ça la violence, toi ». J'ai commencé à trembler, je ne pouvais pas croire que cela m'arrivait. Ma patronne à l'époque disait toujours: « Mon fils est tellement gentil ». Peut-être pour elle c'est le Pape, mais pour moi c'est le pire détritus que j'ai rencontré. Après, il tient mes mains très serrés, il me lèche l'oreille pendant cinq minutes, dix minutes, je ne sais plus. J'avais l'impression de me noyer. Je lui disais: « As-tu bientôt fini » et je le suppliais de ne pas éjaculer à l'intérieur de moi pour ne pas tomber enceinte.