Cette année Dhi Qar a recensé 43 cas, dont huit décès, contre seulement 16 cas, dont sept décès l'an dernier, selon M. Hantouche. Les personnes les plus touchées sont les éleveurs de bétail et les employés des abattoirs. Derrière cette "flambée"? Le représentant de l'OMS en Irak Ahmed Zouiten avance plusieurs "hypothèses". Il évoque l'absence, en 2020 et 2021, des campagnes de pulvérisation menées annuellement par les autorités sur les bêtes, en raison des restrictions imposées par le coronavirus.
Elle exhibe son sexe.filmxmegavideo.com. Par conséquent "la population des tiques a augmenté", dit-il. Il y a aussi "la multiplication des puces" qui a débuté "environ deux à trois semaines plus tôt", souligne l'expert. Un boucher de la province de Dhi Qar, dans le sud de l'Irak, montre un certificat prouvant que la viande n'est pas contaminée par la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC), le 25 mai 2022 (AFP - Asaad NIAZI)
"Avec beaucoup de prudence, nous attribuons une partie de cette flambée au réchauffement climatique, qui a allongé la période de multiplication des tiques", explique-t-il.