Entre les deux guerres, de 1910 à 1930, un souffle de moderniste souffle sur le monde de l'art. Les designers de l'époque ont également créé de nouvelles choses en s'inspirant du cubisme, dans les lignes droites du mobilier Louis XVI. À cette époque alors, les meubles courbés typiques de l'Art nouveau avaient perdu leur entrain, car les ébénistes se laissaient séduire par les formes géométriques et les volumes massifs. Buffet anglais Art déco des années 30 en chêne | Selency. C'est ainsi que les buffets art déco ont vu le jour. Mais ce qui est étonnant, c'est que plusieurs générations plus tard, ce style a refait surface, meubles vintages ou design moderne, suivant les modèles. Les bahuts et enfilades des siècles derniers sont de nouveau dans nos intérieurs modernes. Les différents buffets art déco des années 30 Dans les années 30, le style fonctionnaliste avait été délaissé au profit des bahuts et buffets plus géométriques. Au service des aristocrates et des nouveaux bourgeois, les ébénistes de renom de l'époque ont créé de jolis meubles beaucoup plus raffinés et de haut de gamme conçus avec des matières encore plus nobles.
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Buffet Art Déco Annee 30 Ans
Chuong - l'année dernière
Vendeur très réactif et cherchant à satisfaire votre besoin. livraison à domicile très rapide
Emma - l'année dernière
Merci au vendeur pour sa gentillesse et sa rapidité. je le recommande. Sébastien - l'année dernière
Objet parfaitement conforme
Fabre - l'année dernière
Service impeccable et produit d'une qualité rare. Françoise - l'année dernière
Produit et état conformes
Marie Chris - l'année dernière
Isabelle - il y a 2 ans
Un envoi plus que rapide et une coiffeuse conforme à la description. Buffet art déco annee 30 mai. PATRICE - il y a 2 ans
Sait très bien encaisser rapidement l'argent
Emily - il y a 2 ans
Very good communication and beautiful rug
Hervé - il y a 2 ans
Je lui ai exprimé ma satisfaction. Anne-Paule - il y a 2 ans
Armoire conforme à mes attentes: je pense toutefois qu'un cirage ou un entretien complet de mon armoire aurait pu être effectué… cela aurait gommé les quelques imperfections, puisque je l'ai fait à mon niveau...
Anne-Paule - il y a 3 ans
Armoire conforme à mes attentes: je pense toutefois qu'un cirage ou un entretien complet de mon armoire aurait pu être effectué…cela aurait gommé les quelques imperfections, puisque je l'ai fait à mon niveau...
Genevieve - il y a 3 ans
De la commande à la réception, tout a été parfait.
340 €
Description
Dimensions
Livraison
Buffet des années 30 Art Déco de style buffet parisien. Petit buffet / console style art déco années 30-40 – Makawa. il a été peint en gris foncé (Off black du nuancier Farrow and Ball). Le plateau a été poncé et laissé en bois naturel. Poignées récentes. Dimensions: L 130 x H 100 x P 46
Etagère intérieure amovible non réglable
Dimensions intérieures: L 107 x H 27/30 x P 39
46 × 130 × 100 cm
Le Lude: 30 € Paris 18ème: 30 € Paris et banlieue proche (en bas de l'immeuble): 30 € Banlieue — 92, 93, 94 (en bas de l'immeuble): 40 € Banlieue — 78 et 95 (en bas de l'immeuble): 50 € France (hors Corse): à partir de 50€
Rupture de stock
La folie de la musique de Rossini balaye joyeusement cette production de l'Italienne à Alger, captée en 2018 au Festival de Salzbourg et retransmise au cinéma, portée par une mise en scène ingénieuse et le feu d'une distribution extra-ordinaire. Le rideau s'ouvre à peine sur la scène de Salzbourg que déjà (même dans la salle de cinéma) se fait sentir l'énergie bouillonnante qui électrise cette Italienne à Alger. Dès l'ouverture, Jean-Christophe Spinosi est le premier conducteur de l'emportement rossinien, investissant son orchestre, l' Ensemble Matheus, tant par le geste que les expressions de visage. Particulièrement soucieux de ses chanteurs, il mesure avec soin l'enthousiasme de cette musique, complexe par ses détails. Festival de Salzbourg : Cecilia Bartoli enflamme L'Italienne à Alger. La mise en scène de Moshe Leiser et Patrice Caurier épouse les contours et les nuances de la musique et propose, dans la direction d'acteurs et l'exploration des tours comiques, une transposition à la scène de la subtilité et de la facétie sensuelle de Rossini. L'intemporel machisme est exacerbé par le déplacement de l'intrigue au XXIe siècle, peint par les couleurs locales et éclatantes des rues d'Alger et de l'appartement de Mustafà, à présent riche dealer dont les sbires en survêt' assurent le recel d'écrans de télévision.
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Ils ont pris le parti de l'actualisation souriante: l'Algérie des décors de Christian Fenouillat évoque les banlieues fatiguées d'Alger (antennes paraboliques sur façades lézardées, balcons enrubannés de tous les tissus bariolés du monde arabo-musulman) comme les costumes d'Agostino Cavalca (joggings hyper colorés, casquettes et sneakers, maillots de foot – le costume de Kaimakan sera d'un rose bonbon particulièrement seyant) renvoient au réalisme de l'au delà de la Méditerranée. La direction d'acteurs osera la franche rigolade, pour jouer des poncifs sur le monde arabe comme sur l'univers de la péninsule: les prisonniers italiens mangent des spaghetti préparés par Mamma Cecilia, tandis que les sbires de Mustafa fument le narguilé façon caillera désœuvrée. C'est limite vulgaire, mais sans y tomber vraiment; cela fonctionne à merveille car c'est enlevé, sans un moment de baisse de tension dans la narration, et c'est emmené par un Ildar Abdrazakov déchaîné, ventru à souhait, aux mines de patibulaire d'opérette ( che muso! L italienne a alger salzburg university. )
et à la dynamique corporelle inépuisable. C'est tout autant exalté par une Bartoli enjouée qui, comme lui, s'amuse autant qu'elle amuse. Œillades et grimaces, aguichante robe rouge à fleurs, elle a tout pour faire tourner les têtes des spectateurs comme des supposés Algériens (le Philharmonia Chor Wien, excellent de chant comme de jeu). L italienne a alger salzbourg. Bref, on rigole à voir le numéro de la prima donna irrésistible et conquérante, nue dans son bain de mousse, en contrepoint du fameux bain d'Anita Ekberg à la Fontaine de Trevi projeté sur l' aria d'Haly (excellent José Coca Loza), ce qui en dit long sur l'imaginaire frustré de la société qu'Isabella vient quelque peu bousculer. Car au delà du rire, l'analyse n'est pas fausse, bien au contraire, et l'œuvre, avec ses 205 ans d'âge, reste d'une actualité confondante, qui sous le couvert du divertissement interroge toujours le machisme, la rouerie et les différences de culture de sociétés qui, pour être voisines, restent encore bien étrangères l'une à l'autre.