3 Principe d'iodométrie L'eau de javel représente un mélange de deux ions Cl - et ClO −. Les hypochlorites « ions C l O − » contenus dans l'eau de javel possèdent les propriétés blanchissantes et s'appellent chlorures décolorants. Calcul chlore actif un. La quantité du chlore actif dans l'eau de javel est déterminée par le nombre de gramme de chlore contenu en hypochlorites. L'ion hypochlorite est un oxydant énergétique qui réagit dans le milieu acide selon le couple oxydant/réducteur: C l O − + 2H + +2é à C l - + H 2 O Son équivalent gramme est égal à: E C l O − = m I C l O − /2 Où m I C l O − est la masse ionique de ClO −. Le dosage du chlore actif est basé sur la méthode iodométrique dont le schéma de la réaction est le suivant: a) C lO − + I − + H + à I 2 + C l - + H 2 O b) I 2 + Na 2 S 2 O 3 à Na 2 S 4 O 6 + Na I Premièrement, on fait agir l'iodure de potassium (KI) sur les hypochlorites ( C l O −), ensuite on titre l'iode libre obtenu par du thiosulfate de sodium (2Na+, S 2 O 3 2-). D'après le tirage on calcule la normalité et la quantité du chlore actif dans l'eau de javel.
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Soyons clair et concret, plutôt que de parler de confusion
Si on met 1 litre de javel à 2. 6% dans 10 m3 de flotte (qui ne contient pas encore de chlore). Quel est alors le taux de chlore? Selon moi, il est un rien supérieur à 2, 6 PPM (ou g/m3). Est-ce exact ou pas? IODOMETRIE Degré chlorométrique. Car si j'ai bien compris Laulau, il ne serait que de 1, 785 PPM. Sur l'étiquette il y a le pourcentage d'hypochlorite de sodium (ici 10, 8) et le pourcentage de chlore libre (ici 10, 3). On multiplie le pourcentage d'hypochlorite de sodium par 0, 9525 pour avoir le pourcentage en chlore libre. On ne s'intéresse qu'à l'atome Cl dans la javel (NaOCl). Masse molaire du NaOCl = 74, 442
Masse molaire du Cl = 35, 45
Or les teneurs en chlore libre sont toujours comparées au chlore gazeux, Cl2. (35, 42 * 2) / 74, 442 = 0, 9525
Il faut aussi tenir compte de la densité des liquides car nos concentrations sont exprimées en mg/L, plus le pourcentage d'hypochlorite est élevé, plus la densité l'est aussi. Alors, industriellement l'eau de Javel est fabriquée en faisant barboter du dichlore (Cl2) dans de la soude (Na+ + HO-).
II. Mode opératoire: A l'aide d'une pipette graduée, introduire dans un bécher 7ml de la solution de KI (0, 1N). Ajouter au mélange obtenu, à l'aide de la pipette, 5ml d'eau de javel. Introduire 5 ml d'une solution de H 2 SO 4 Titrer ensuite la solution par le thiosulfate de sodium (Na 2 S 2 O 3) à 0, 1N Au moment où le titrage est presque terminé (couleur jaune paillé de la solution), ajouter quelques gouttes d'amidon. Calcul ppm pour une solution de javel à 2.6% | Piscines Filtration. Continuer le titrage jusqu'à la disparition de la teinte bleue par suite de l'addition d'une goutte en excès. Noter le volume de Na 2 S 2 O 3 dépensé au titrage et vérifier la précision du titrage en ajoutant à la solution une goutte d'amidon. Répéter encore une fois le même titrage. III. Travail à réaliser Essais Volume de thiosulfate de sodium versé Essai n°1 Essai n°2 Ecrire les équations de la réaction. Calculer la normalité, la molarité et la concentration pondérale de C l O − Expliquer le rôle de l'amidon. A partir de l'équation du dosage, indiquer la relation entre nI 2 et n thiosulfate.
Il compte actuellement près de 200 000 habitants pour une superficie de 16 800 km². Plus de la moitié de la population est âgée de moins de 18 ans. Avec la mise en œuvre effective de la décentralisation au Mali en 1999 et l'avènement des collectivités territoriales, le cercle de Kéniéba compte désormais 12 communes rurales, et un conseil de cercle, pour environ 200 villages. La décentralisation confère désormais au conseil de cercle de Kéniéba la responsabilité du développement socioéconomique des communautés du territoire. 1) Points forts:
Le cercle est un territoire très riche qui recèle d'énormes atouts et potentialités dont:
La disponibilité de terres arables propices au développement de l'agriculture
La bonne pluviométrie: 900 à 1200 mm de pluies par an
La jeunesse de la population
La densité et la diversité des ressources naturelles (faune, flore) et minières (or, diamant, argent, bauxite, uranium) etc. La richesse et la diversité du potentiel en arboriculture, qui font du cercle de Kéniéba l'un des plus gros producteurs potentiels d'agrumes, de mangues et de banane de la région de Kayes
Dans le domaine de l'agriculture, malgré l'utilisation par les paysans d'équipements rudimentaires, le cercle produit des cultures vivrières dont le mil, le maïs, le sorgho le fonio, et aussi des cultures de rente comme l'arachide, le coton etc.
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« Le souterrain est un domaine qui requiert des compétences un peu scientifiques. Les orpailleurs ont cette technique de couper les bois, de les mettre sous terre, mais en période hivernale, ce n'est pas facile d'exploiter les mines souterraines parce que cela amène des éboulements. Malheureusement quand ça arrive, c'est toujours des victimes. C'est une pratique qui doit être déconseillée et abandonnée en cette saison. Tant qu'il pleut, on n'a pas la maitrise du sol », Cheick Oumar Camara, 1er vice-président du Conseil de cercle de Kéniéba. Impact économique
Le Mali est troisième producteur d'or en Afrique mais son exploitation profite peu aux populations. Pour un secteur qui génère environ 11. 000 emplois, les grandes sociétés minières sont les premières bénéficiaires. « L'or appartient aux multinationales, c'est elles qui font l'exploration, c'est elles qui font les investissements pour l'exploitation. L'Etat malien a très peu de participation dans les compagnies minières donc les bénéfices qui sont générés aussi, l'Etat ne peut que se limiter aux recettes fiscales et non fiscales qui dérivent de l'exploitation de l'or », souligne l'économiste Modibo Mao Makalou.
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« Le Cercle de Kéniéba riche en ressources naturelles, fait l'objet de convoitise par les multinationales pour l'extraction des minerais. Mais allez savoir dans quelles conditions ». Ces propos de Cheick Oumar Camara, Premier vice président du Conseil de cercle de Kéniéba, traduit aujourd'hui, la préoccupation des habitants de ce cercle du Mali qui peine à gouter aux délices du développement, malgré que son sous sol est un scandale géologique. Le 25 mai 2014, la conférence débat grand public, organisée par l'Association des ressortissants et amis de la commune de Faléa (ARACEF), en partenariat avec la Fondation Rosa Luxemburg, a été une belle occasion pour les chefs de villages et des habitants du cercle de crier leur désarrois. En plus des sites d'orpaillage qui pullulent un peu partout dans les communes et villages et la multitude d'entreprises d'extraction minières, dont certaines sont des multinationales, le Cercle de Kéniéba a toujours l'aspect d'une zone qui a signé un long bail avec la misère et la pauvreté.
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Les compagnies ont, par exemple, le pouvoir de faire partir les villageois des terroirs qu'ils exploitent, et même parfois de « déguerpir » les villages, ce qui conduit à un important recul des capacités de productions vivrières. Elles recrutent du personnel, mais peu sur le territoire du Cercle, plutôt à l'étranger. En même temps, leur venue suscite un afflux de population qui modifie le tissu social. Elles se targuent d'actions de développement local (construction d'écoles, de puits…) mais les collectivités locales se plaignent souvent de l'absence de concertation véritable. Par ailleurs, la prévalence de l'activité d'orpaillage traditionnel dans la plaine handicape fortement le développement d'une agriculture de subsistance. Le développement de l'orpaillage traditionnel met le cercle de Kéniéba en situation de déficit céréalier malgré les énormes potentialités du secteur. En effet, cette activité exerce une forte attractivité sur les populations au détriment de l'activité agricole, elle « mange » aussi des surfaces de terres arables, et elle contribue à la déscolarisation de nombreux enfants employés sur ces sites.
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Superficie: 35. 250 km2
Population: 434. 379 habitants (2009)
Communes (carte ou liste): Badia, Bendougouba, Benkadi Founia, Boudofo, Bougaribaya, Dindenko, Djidian, Djougoun, Gadougou 1 et 2, Guémoukouraba, Kassaro, Kita, Kita-Nord, Kita-Ouest, Kobri, Kokofata, Kotouba, Koulou, Kourounnikoto, Madina, Makano, Namala Guimba, Niantanso, Saboula, Sébékoro, Séféto-Nord, Séféto-Ouest, Senko, Sirakoro, Souransan-Tomoto, Tambaga et Toukoto. Coopération décentralisée:
Kita est jumelée avec Marly-le-Roi (France);
Toukoto est jumelée avec La Mézière (France)
La Fédération: Fédération des Associations du Cercle de Kita en France (FAC)
Contact: FAC / KITA
06 RUE JEAN PERRIN 94200 IVRY SUR SEINE
06 16 53 26 91
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Et de poursuivre: « l'or ne bénéficie pas à la population. Cela est dû à une défaillance criarde au niveau de la politique minière. Les mines qui sont sur un territoire donnent quelques assistances, de l'eau potable, des routes… mais cela n'est pas suffisant. » Selon l'économiste, la solution c'est qu' « il faut un fonds souverain national pour que les recettes de l'or puissent y aller et que l'Etat en tant que puissance publique puisse entreprendre les investissements publics nécessaires. Il ne faut pas s'attendre à ce que les compagnies publiques, les multinationales de surcroît viennent développer le pays, surtout au niveau des services sociaux de base. Cela est du ressort de l'Etat ». Pour l'ancien député de Kéniéba Mamadou Salif Diallo, l'impact de l'or reste positif dans l'immédiat. « En 2009 à Kéniéba, il n'y avait que deux villas, aujourd'hui en 2020 la ville se développe. Au moins dans chaque famille, il y a une moto. D'autres ont des voitures, des panneaux solaires sur les toits.
Elles voient leur espace vital se rétrécir comme une peau de chagrin. On n'assiste à une intensification de la délivrance de différents types de permis miniers à des opérateurs privés modernes provenant de l'étranger ou d'autres régions du Mali, et ce, sans la moindre information communiquée à ceux qui vivent et produisent depuis fort longtemps sur les lieux. A telle enseigne que les communautés résidentes vivent dans la crainte quotidienne de la réduction drastique des espaces où elles habitent, mènent leurs activités traditionnelles d'orpaillage, de production agricole, d'élevage, de chasse, de pêche et d'approvisionnement en eau pour la consommation domestique et d'abreuvage de leurs animaux. Bien pire: la menace d'être chassées de leurs terres ancestrales ou contaminés par la pollution du fleuve dont les eaux sont souillées par le cyanure, le mercure et autres produits dangereux, planent sur leurs têtes et suscitent chez elles le désarroi, l'incompréhension, un sentiment d'injustice inacceptable et de colère sourde.