4, 8 (9 avis) 1 er cours offert! 5 (24 avis) 1 er cours offert! 5 (37 avis) 1 er cours offert! 4, 9 (13 avis) 1 er cours offert! 5 (28 avis) 1 er cours offert! 5 (14 avis) 1 er cours offert! Le rouge et le noir commentaire a faire. C'est parti Introduction Cet extrait est le début du roman de Stendhal, Le Rouge et le Noir publié en 1830. Le roman est présenté par son auteur comme une « chronique du XIXe siècle » Il raconte l'ascension sociale et la chute d'un jeune homme ambitieux, admirateur de Napoléon, Julien Sorel. Le premier chapitre du roman, intitulé « Une petite ville » s'ouvre sur la description de Verrières. C'est la description géographique et économique de la ville. Plan 1ère partie → la description de Verrières 2ème partie → une analyse critique de la société. La description de Verrières La peinture de la ville La ville est d'abord décrite selon sa situation géographique Nous trouvons des données géographiques précises: « Franche-Comté », « Doubs », « Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est une des branches du Jura », « Mulhouse », « les montagnes qui séparent la France de l'Helvétie » la description est donc réaliste: « s'étendent sur la pente d'une colline », « un torrent qui se précipite de la montagne », « le voyageur », etc.
I) Le portrait d'un démon
L'homme qui vient ouvrir la porte ressemble à un vampire: « un homme pâle, vêtu de noir ». Il fait peur à Julien: « Julien le regarda et aussitôt baissa les yeux. » Il
ressemble à un démon, ce qui est renforcé par l'image du chat, animal associé aux sorcières, et à la couleur verte qui est la couleur du diable: « La pupille saillante et verte de ses yeux
s'arrondissait comme celle d'un chat ». Stendhal : "Le rouge et le Noir" - Commentaire d'oeuvre - Simon999. En effet, dans la littérature les monstres et les démons ont traditionnellement les yeux verts car Lucifer portait une émeraude au doigt lorsqu'il a
été chassé du paradis et précipité dans les flammes de l'enfer. L'homme montre par son attitude et sa physionomie une absence totale de sentiments: « les contours immobiles de ses paupières
annonçaient l'impossibilité de toute sympathie; ses lèvres minces se développaient en demi-cercle sur des dents qui avançaient. » Julien est un jeune homme romantique et passionné, il
est donc terrorisé à l'idée de devenir insensible comme lui s'il reste dans ce lieu maléfique: « Cependant cette physionomie ne montrait pas le crime, mais plutôt cette insensibilité
parfaite qui inspire bien plus de terreur à la jeunesse.
Madame de Rénal est aussi une femme de pouvoir de plusieurs façons, sa relation amoureuse avec Monsieur le ainsi que l'environnement privilège dont elle provient fait d'elle une femme puissante, mais aussi du fait qu'elle exerce une domination sur Julien grâce à son statut. La description physique de Madame de Rénal insiste sur son caractère précieux: « teint si éblouissant », son coté intellectuelle aussi se fait ressentir lors de la description de son personnage avec l'utilisation de l'imparfait montrant une attraction naturelle: « vivacité et la grâce qui lui étaient naturelle » Julien dans cet extrait renverse les codes d'un amant idéal par son origine social « paysan », il est présenté tel un enfant Madame de Rénal fait même allusion à une apparence de fille au premier coup d'œil. Le rouge et le noir commentaire sur la photo. Lorsqu'on parle de Julien Sorel on retrouve le champs lexical de la pitié « pitié », « pauvre créature ». Le lecteur ressent également de la pitié. Cependant la dernière ligne de cet extrait nous informe que le fébrile jeune homme parle le latin ce qui montre que c'est un homme cultivé.
Ce sont des revenus avantageux, que la majorité des individus aurait aisément accepté, sans autres conditions. Il est persuadé que son offre est en corrélation avec la personnalité de Julien, il est d'ailleurs sûr de lui puisqu'il « regardait l'affaire de l'association comme terminée » (L184). De même lorsque Julien refuse l'offre; « sa vocation pour le saint ministère des autels ne lui permettait pas d'accepter » (L185); Fouqué est choqué, il « n'en revient pas » (L186). Le rouge et le noir - Commentaire de texte - merlin.richard. Il tente alors de le faire changer d'avis, lors d'un dialogue où il essaye de s'adapter encore plus à la personnalité de son ami. Il veut lui montrer que son métier est tout à fait convenable et qu'il n'est pas contraire à la vocation de Julien. Il lui dit qu'il « se charge de lui procurer la meilleure cure du pays » (L192) pour le faire entrer au séminaire, car il a tout un réseau de clients estimable: « je fournis du bois à M. le…, le…, M. … » (L193). On comprend qu'il veut, dans un dernier espoir, prouver que son activité le met aussi en relation avec des personnes de haut rang, à qui il « livre son essence de chêne de première qualité » (L194) et que ceux-ci achètent « comme du bois blanc » (L195).
» Même le fauteuil ressemble à un cercueil: « un petit fauteuil en planches de
sapin sans coussin ». Le Rouge et le noir de Stendhal, Le séminaire, chapitre 25 De « Il vit de loin la croix de fer doré sur la porte» à « C'est la violente impression du laid sur u - Site de commentaire-de-francais !. Julien se retrouve ainsi confronté à l'image de sa propre mort: « L'émotion et la terreur de Julien étaient telles, qu'il lui semblait être sur le point de
tomber. » Le séminaire est donc présenté comme un lieu où aucune forme de vie n'est possible, car pour Stendhal l'homme est fait pour l'amour et l'art: « C'est la violente impression
du laid sur une âme faite pour aimer ce qui est beau. »
La Lettre à Schuller est une des nombreuses correspondances que Spinoza eut avec ses contemporains. Cette lettre n° LVIII (58) traite de la liberté, et est en rapport avec la notion de libre arbitre, qu'elle récuse au profit d'une « libre-nécessité ». Ainsi, pour Spinoza, le déterminisme ne s'oppose pas à la liberté, et la liberté n'est pas un « libre décret » de la volonté, mais la connaissance des causes qui nous déterminent nécessairement. Baruch Spinoza : LETTRE LVIII À SCHULLER. Texte original
[A] J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. [B] Dieu, par exemple, existe librement bien que nécessairement parce qu'il existe par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même librement parce qu'il existe par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même et connaît toutes choses librement, parce qu'il suit de la seule nécessité de sa nature que Dieu connaisse toutes choses.
Lettre À Schuller Dans
Lettre XXIV. À MONSIEUR ****,
B. DE SPINOZA. MONSIEUR,
Vous désirez que je marque la différence qu'il y a entre les sentiments de M. Hobbes et les miens sur l a politique. Elle consiste en ce que je conserve toujours dans ma doctrine le droit naturel dans son intégrité, prenant dans chaque État pour mesure du droit du magistrat suprême sur les sujets le degré de puissance ou de supériorité qu'il possède à leur égard. Lettre à schuller avec. Or c'est justement ce qui a toujours lieu dans l'état naturel. Quant à l'argumentation dont je me sers, dans l'Appendice de mes démonstrations géométriques des Principes de Descartes, pour établir qu'on ne peut dire, dans la stricte propriété des termes, que Dieu soit un ou unique, je vous prie de considérer qu'une chose n'est dite une ou unique qu'au regard de l'existence et non de l'essence; car avant de nombrer les choses, il faut les avoir réduites en de certains genres. Par exemple, celui qui tient dans sa main un sesterce et un impérial ne pensera pas au nombre deux, s'il ne peut appeler ces deux objets d'un seul et même nom commun, tel que pièce d'argent ou de monnaie: alors il peut affirmer qu'il a deux pièces d'argent ou de monnaie, puisqu'il appelle également de ce nom le sesterce et l'impérial.
Lettre À Schuller St
Notes et références
J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. Dieu, par exemple, existe librement bien que nécessairement parce qu'il existe par la seule nécessité de sa nature. Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la liberté dans un libre décret mais dans une libre nécessité. Mais descendons aux choses créées qui sont toutes déterminées par des causes extérieures à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. Lettre à schuller st. Et ce qui est vrai de la pierre il faut l'entendre de toute chose singulière, quelle que soit la complexité qu'il vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent être ses aptitudes, parce que toute chose singulière est nécessairement déterminée par une cause extérieure à exister et à agir d'une certaine manière déterminée. Concevez maintenant, si vous voulez bien, que la pierre, tandis qu'elle continue de se mouvoir, pense et sache qu'elle fait effort, autant qu'elle peut, pour se mouvoir.
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Il dit avec Descartes: est libre qui n'est contraint par aucune cause extérieure. Si par « être contraint » il entend « agir contre sa propre volonté », j'accorde que dans certaines actions nous ne sommes nullement contraints et qu'en ce sens nous avons un libre arbitre. Mais si par être contraint il entend agir en vertu d'une nécessité (ainsi que je l'ai expliqué) bien qu'on n'agisse pas contre sa propre volonté, je nie que nous soyons libres en aucune action. Correspondance, « Lettre à Schuller » Baruch Spinoza : fiche et résumé | SchoolMouv. Votre ami objecte que nous pouvons user de notre raison très librement, c'est-à-dire absolument, et il persiste dans cette idée avec assez, pour ne pas dire trop de confiance. Qui, dit-il, pourrait dire, en effet, si ce n'est en allant contre le témoignage de sa propre conscience, que je ne puis pas arrêter en moi-même cette pensée: je veux écrire et je ne veux pas écrire. Je voudrais savoir de quelle conscience il veut parler, en dehors de celle dont j'ai supposé la pierre dotée dans mon exemple de tout à l'heure. Pour moi, certes, si je ne veux pas me trouver en contradiction avec ma conscience, c'est-à-dire avec la raison et l'expérience, si je ne veux pas entretenir les préjugés et l'ignorance, je nie que je puisse arrêter en moi-même avec une puissance absolue cette pensée: je veux écrire et je ne veux pas écrire.
Lettre À Schuller Pour
Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la liberté dans un libre décret mais dans une libre nécessité. [C] Mais descendons aux choses créées qui sont toutes déterminées par des causes extérieures à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. Lettre à Schuller : définition de Lettre à Schuller et synonymes de Lettre à Schuller (français). Pour rendre cela clair et intelligible, concevons une chose très simple: une pierre par exemple reçoit d'une cause extérieure qui la pousse, une certaine quantité de mouvements et, l'impulsion de la cause extérieure venant à cesser, elle continuera à se mouvoir nécessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce qu'elle est nécessaire, mais parce qu'elle doit être définie par l'impulsion d'une cause extérieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut l'entendre de toute chose singulière, quelle que soit la complexité qu'il vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent être ses aptitudes, parce que toute chose singulière est nécessairement déterminée par une cause extérieure à exister et à agir d'une certaine manière déterminée.
Que s'il reconnaît avec Descartes qu'il ne sait pas opérer cette conciliation, alors il est lui-même percé par le trait qu'il a voulu diriger contre moi. Entreprise vaine, car si vous voulez examiner ma manière de penser d'un esprit attentif, vous verrez qu'elle est parfaitement cohérente, etc.