Le changement des prises se fait par portion càd sur chaque prise le commutateur shunt 1, 2 ou trois portion d'enroulement pour avoir la tension correspondante. je ne sais pas la différence par rapport à un commutateur standard connu voila un schéma de principe Ulairi Energie marine Nombre de messages: 206 Date d'inscription: 06/03/2012 Age: 52 Localisation: France Sujet: Re: Commutateurs de réglage des prises transformateur Jeu 29 Déc 2016 - 9:07 candela a écrit: date de 1988 (ou 1989 avec couverture "GEC ALSTHOM"). Ma version est celle de 1988. Et effectivement, il n'y a pas eu tant d'évolution que cela dans ce domaine, raison pour laquelle je garde précieusement ce guide! Commutateur de réglage transformateur de courant. Triste de voir ce qu'est devenu ALSTOM maintenant... candela Energie solaire Nombre de messages: 498 Date d'inscription: 09/03/2013 Age: 74 Localisation: Dijon Sujet: Re: Commutateurs de réglage des prises transformateur Ven 30 Déc 2016 - 10:25 Bonjour, La différence ne tient pas au commutateur, mais au bobinage du transfo.
Comment contrôler chaque élément du transformateur? Traversées et Bornes porcelaine Tension appliquée: vérification de la tenue diélectrique de l'isolant (porcelaine) entre le conducteur et la bride (masse). Tangente delta: détermination de la capacité et du facteur de dissipation des isolants du transformateur. Transformateur à changement de prise en charge. Cela permet d'en déduire la qualité de l'isolation de la traversée. Décharges partielles: estimation de l'amplitude et du taux de DP ayant lieu au sein du corps isolant de la traversée. Analyse d'huile: l'analyse d'huile des transformateurs condensateurs de type OIP permet de vérifier un défaut d'isolement interne. 1 Changeur de prises Rapport de transformation: vérification du bon raccordement de la nappe de réglage et de la concordance position électrique / position indiquée par le changeur de prises. Visigraphe / Résistance dynamique: vérification de l'absence de coupure lors du passage du changeur de prises en charge. Centrage / Synchronisation du commutateur: vérification du bon centrage du commutateur hors tension sur ses contacts ainsi que la synchronisation des trois phases (si commande triphasée).
Essai d'échauffement: estimation des gradients (échauffements) des enroulements en régime établi. 8 Géométrie des enroulements FRA (Analyse de Réponse en Fréquence): permet d'avoir une empreinte (signature) de la géométrie des enroulements pour suivi du transformateur. Commutateur de réglage transformateur d'isolement. Détection possible de déformation ou déplacement des enroulements à l'aide d'une comparaison à une mesure antérieure, d'un transformateur frère ou bien entre phase. Essai en court-circuit: mesure de l'impédance/la tension de court-circuit (Ucc/Zcc), en basse tension ou non, permettant à l'exploitant de régler les valeurs de ses protections et/ou de détecter d'éventuelles déformations des bobinages ou problèmes de conception en comparant la valeur à celle plaquée. Essais aux chocs: permet de connaitre la propagation des ondes des chocs au sein des enroulements. 9 Isolation entre spires Tension induite: vérification de la tenue diélectrique de l'isolation entre spires au sein de tous les enroulements. Essais aux chocs: vérification de la tenue diélectrique de l'isolation entre spires aux chocs de foudre et de manœuvre.
Le réacteur transporte tout le courant lorsque seul l'un des commutateurs est fermé. Les contacts glissants sont tellement attachés à la findu réacteur qui en fait un avant les autres pauses et en fonctionnement normal, les deux contacts touchent le même plot de filetage. Habituellement, le taraudage est situé à mi-chemin entre le dernier tour de l'enroulement pour empêcher les surtensions d'entrer dans les éléments de contrôle du rapport de charge.
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Cela concerne essentiellement les transformateurs de puissance (la limite est floue, mais en tout cas >5MVA) munis d'un commutateur hors tension. Quelques explications dans un ouvrage édité par la CEM en 1982 "Le Transformateur de puissance" Bobinage prises Le problème consiste à éviter au maximum les dissymétries, les déséquilibres en cas de court-cicuit etc. Transformateur du commutateur de réglage de tension de charge du testeur (HYKC-2000) - Chine Instrument de test. Cela n'a habituellement pas cours pour les transfos de distribution: le bobinage est généralement en longues couches(tr immergés) ou par des méthodes créant des "mini-galettes" dans un bobinage continu* (tr secs enrobés). Pour ces transfos, il faut éviter un trop grand nombre de sorties intermédiaires (et donc de prises) qui fragilisent le bobinage. Par expérience, cinq prises est la maximum raisonnable dans ce cas. Cordialement *avec un bobinage enrobé il faut éviter les "longues couches" trop ordonnées qui conduisent à certain endroits à des tensions entre couches beaucoup trop élevées (jusqu'à 3500V pour U1 20 kV) pour un isolant solide.
Mais, son évolution, par rapport aux catapultes ou balistes romaines, était d'utiliser la force centrifuge, grâce à une fronde pouvant contenir des boulets, pierres ou mitraille de galets et pierraille. Le fléau de lancer était relié à quatre ou six grosses cordes permettant aux « servants » d'actionner l'engin avec beaucoup de force. Les cadences étaient redoutables, approchant en flot continu un tir à la minute. Référence MA07, Prix: 36, 95 €
Dimensions une fois montée (L x l x h): 30 x 15 x 54 cm, (27 pièces)
La bricole est une machine de défense dérivée de la pierrière et plus puissante que cette dernière. Référence MA08, Prix: 40, 95 €
Dimensions une fois monté (L x l x h): 29 x 16 x 19 cm, (43 pièces)
Arme redoutable destinée à ébranler et à faire des brèches dans les murailles les plus épaisses. Référence MA09, Prix: 52, 95 €
Dimensions une fois monté (L x l x h): 37 x 15 x 30 cm, (34 pièces)
Machine de guerre destinée à l'attaque. Cet engin était très utilisé par les romains. Référence MA10, Prix: 52, 95 €
Dimensions une fois monté (L x l x h): 33 x 15 x 25 cm, (32 pièces)
Machine de guerre destinée à l'attaque.
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Baliste (arme)
Bélier (arme) C
Catapulte M
Mangonneau O
Onagre (engin) T
Tour de siège
Trébuchet
Machine De Guerre Du Moyen Age 9 Lettres
Son principal défaut
était que les charges de terres et de pierres dans la huche du
cointrepoids finissaient toujours par se déplacer, entrainant
à-coups et vibrations, néfastes pour la charpente et
nuisant à la précision de son tir. Cette machine a
été utilisée jusqu'au XV° siècle. Trébuchet:
l'amélioration par rapport au modèle
précédent résidait dans le contrepoids mobile. Cette machine pouvait envoyer des boulets de plus de 100 Kg à
plus de 200m avec une grande précision. La cadence était
de 1 à 2 tirs par heure. Couillard:
l'amélioration apportée par ce modèle était
due à la simplicité de conception introduite par les deux
charges mobiles. Plus petit que les précédents, il
permettait tout de même 10 coups par heure, était
précis et avait un nombre nettement réduit de servants. Couillard - miniature d'époque:
Malgré l'introduction de l'artillerie à poudre, ces
engins resteront utilisés jusqu'au XVI° siècle, en concurrence avec les
canons. Bélier:
cet engin permettait de défoncer les portes des forteresses ou
les parties des remparts les moins bien protégés.
). Les
procédés de pointage sont des plus primitifs. Fauconneau:
Au
début du XVI° siècle l'artillerie avait raison des
anciennes fortifications. Bouches à feux utilisées lors d'un siège vers la fin du moyen-age - miniature d'époque:
=> L'artillerie de la Renaissance au second Empire
Sources: Cours de fortification - Ecole militaire de l'artillerie - 1912
Les machines de guerre au moyen-âge - Renaud Beffeyte - Editions Ouest France