488 000 €
Prix de vente
Située à Albertville, cette maison atypique et écologique de 129 m² environ prend place sur une parcelle de 601 m² et dispose d'une belle vue dégagée sur les montagnes environnantes. Cette villa bénéficie d'une construction particulièrement soignée en poteau-poutre, avec des matériaux naturels et économiques en énergie. Elle profite d'une isolation passive par le toit, les murs et le sol. Le premier niveau se compose d'une entrée, d'une cuisine ouverte et aménagée, d'une grande pièce de vie chaleureuse avec son poêle à bois qui réchauffera les soirées d'hiver. L'accès à l'étage se fait par un escalier qui dessert un grand palier, ainsi que trois chambres, une salle d'eau et un bureau. Vente maison écologique st. Ce bien est agrémenté d'un agréable jardin propice au repos où il fait bon de profiter de la vue sur les montagnes. Calme, charme, nature et bien-être sont les maîtres mots qui illustrent parfaitement l'atmosphère de ce lieu. À proximité du centre-ville des commerces et des écoles.
Vente Maison Écologique St
Extras: Construction neuve - tous commerces à proximité
terrain très vallonné (700-1300m) - campagne montagneuse (>1300m) - vue panoramique - vue sur les Pyrénées
dépendances/granges? maison en pierre (nature)
grand jardin - 2 sources et petit ruisseau? forêt avec arbres anciens, prés et verger? isolée, petit route jusqu? Vente maison écologique les. à la maison, parking. Localisation: près de Massat
Orientation: plein sud: vue panoramique
Situation: Paysage de montagne au milieu d'une nature merveilleuse et intacte. Voisins: 500 m
Ecole: 2 km
Commerces: 2 km, petite ville: 2 km
Grand ville: Toulouse
mer: non
montagne: oui
Terrain: 3 ha de prairies, bois et jardins autour de la maison - grand jardin de fruits et légumes clôturé, verger. Rez-de-chaussée: Grand studio indépendant avec entrée séparée, salle de bains et toilettes à compost. Peut être utilisé comme studio de yoga, de danse ou de musique. Plâtre de chaux et de chanvre, sols en châtaigniers. Entrée séparée avec buanderie, toilettes à compost et escalier menant au 1er étage.
Maison écologique en pleine nature avec vue magnifique sur l plus... Alleinlage Lage: in der Nähe von Massat
Raymond VII, fils et successeur du précédent duc de Toulouse, rassemble les résistants cathares. Il échoue, menant au traité de Paris en 1209. Il cède alors au roi de France la partie orientale de son fief. Une chasse de l'Inquisition contre les Cathares et les Templiers
Hommes enchaînés et brûlés comme hérétiques par l'Inquisition pontificale pouvant représenter des Cathares du Languedoc
Cathares et Templiers partagent de nombreux thèmes comme la chasteté et la fidélité à la foi. Ces deux entités nient l'humanité de Jésus. Menant à la défiance de l'Eglise. Ils sont tous deux traqués par l'Inquisition, dont le but est de combattre l'hérésie. Dès 1233, de nombreux cathares sont jugés. Leur dogme leur interdit de mentir, facilitant ainsi le travail des Inquisiteurs. Ils capitulent à Montségur le 16 mars 1244. Ils sont faits prisonniers et près de 200 d'entre eux sont alors brûlés vifs. Guilhem Bélibaste, dernier « parfait » cathare occitan connu, est brûlé au pied du château de Villerouge-Termenès.
Les Cathares Et Les Templiers Series
Les templiers et les Cathares sont-ils la meme chose
les Templiers sont des moines-soldats reconnus par l'église catholique avec une règle, ils vont devenir riches car ils gérent les biens des pèlerins qui vont en Terre Sainte. Ils construisent des commanderies partout en France et en Europe. leur richesse va attirer le Roi de France et le pape, ils vont être accusés de tous les maux pour être poursuivis, condamnés et surtout confisquer leurs biens. Les rescapés ont rejoint l'ordre des Hospitaliers. les Cathares, ne sont pas du tout reconnus par l'église catholique qui par leur théorie manichéenne les califie d'hérétiques. L'inquisition et ses bûchers viendra à bout de ces "bonshommes" qui s'ils vivaient un idéal de pauvreté évangélique réel, avait une théologie totalement opposée à celle de l'église catho. Ils furent très populaire dans la région du sud-ouest, Toulouse-Albi-Lavaur et dans l'Aude. Montségur, fut l'un des derniers où retranchés ils furent assiégés, et brûlés. Des Nobles venus du Nord, vinrent dans le Sud, dont Simon de Monford tristement célèbre qui déclara en assiègeant Béziers: "Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens!
Les Cathares Et Les Templiers Et Les
L'enceinte extérieure, construite par les ingénieurs royaux vers la fin du XIIIe siècle, est cependant encore sur pied et constituée de six tours semi-circulaires. Altitude: 96 mètres. © svignes, Wikimedia Commons, CC by-sa 3. 0 Le château de Montségur et la fin des cathares Le château de Montségur (Ariège) fut implanté à l'emplacement de l'ancien village fortifié où se trouvait la résistance cathare. Il a subi de nombreux sièges au cours du début du XIIIe siècle. La lutte contre les cathares s'est achevée par la chute de cette forteresse en 1244. Altitude: 1. 207 mètres. © bonacherajf, Flickr, CC by-nc-nd 2. 0 Les quatre châteaux de Lastours Les châteaux de Lastours, qui signifie en occitan « les tours », sont quatre petits châteaux cathares situés sur un éperon rocheux au-dessus du village de Lastours (Aude), au cœur de la montagne Noire. Cabaret, Surdespine, Quertinheux et Tour Régine dominent ainsi les torrents de l'Orbiel et du Grézilhou, encaissés dans la vallée. Ces forteresses contrôlaient l'accès à la montagne Noire.
Les Cathares Et Les Templiers 8
Altitude: 470 mètres. © jameswberk, Flickr, CC by-nc-nd 2. 0 Les vestiges du château de Termes Qui pourrait aujourd'hui imaginer que les vestiges situés au-dessus du village de Termes, dans l'Aude, sont ceux du château d'une des plus grandes seigneuries médiévales du Languedoc? Jugée imprenable, le château de Termes tenait une place stratégique importante et était l'un des « cinq fils de Carcassonne ». Cette forteresse fut d'ailleurs un refuge pour de nombreux cathares. En 1210, elle résista quatre mois au siège des croisés commandés par Simon de Montfort. © Mantis Xxl, Flickr, CC by-nc-nd 2. 0 Le château de Villerouge-Termenès, au cœur d'un village médiéval Implanté au milieu du village médiéval de Villerouge, situé au sud de Carcassonne, le château de Villerouge-Termenès (Aude) impose le respect. C'est ici que le dernier « Bon Homme » cathare, Guilhem Bélibaste, fut brûlé vif le 24 août 1321. Cette forteresse a joué un rôle important durant les croisades contre les albigeois (cathares).
A l'issue de ces sièges longs et éprouvants, les croisés victorieux offraient la vie sauve aux hérétiques acceptant de renier leur foi, mais ils étaient bien peu nombreux. Par le fer, le feu et le sang, la croisade continuait, mais l'enjeu devenait chaque jour plus clair, il s'agissait pour les seigneurs du Nord de maîtriser le Midi. Le comte de Toulouse et le roi d'Aragon finirent par s'en inquiéter et, en 1213, ils unirent leurs forces pour attaquer Simon de Montfort au château de Muret. L'assaut tourna court malgré l'avantage numérique, Pierre d'Aragon fut tué, et Raymond VI dut se replier dans sa ville de Toulouse qui fut par la suite investie par l'armée de Simon de Montfort. Mais le peuple gardait une fidélité profonde et préférait aller au bûcher en chantant plutôt que de renier sa foi. Lorsque Raymond VI et son fils Raymond VII revinrent d'Angleterre où ils s'étaient réfugiés, ils furent accueillis avec beaucoup d'enthousiasme. Une émeute populaire avait chassé les chevaliers français de la ville de Toulouse.
Après la répression, ils se contentaient de dissimuler une ceinture noire sous leurs vêtements ordinaires. Déclaration de guerre pour endiguer cette déferlante
L'assassinat de son légat amena le pape à lever une croisade contre les hérétiques. Le roi de France, Philippe Auguste, répondit à l'appel et laissa ses plus puissants vassaux, le duc de Bourgogne, les comtes de Montfort et de Saint-Pol prendre la tête de l'armée. Ce sont 300 000 croisés qui descendirent dans la vallée du Rhône. Le comte de Toulouse, Raymond VI, soupçonné d'avoir encouragé le meurtre du légat, s'était rallié à l'Église et s'était croisé contre ses propres sujets. L'armée des croisés mit le siège sur la ville de Béziers, une ville solidement fortifiée. Cependant les habitants, forts de ce sentiment de sécurité, assaillirent les campements qui se tenaient aux pieds des murailles. Les ribauds (mercenaires et chevaliers recrutés pour l'expédition) profitèrent que les portes des remparts étaient ouvertes pour se frayer un chemin à l'intérieur de la cité et pour y faire pénétrer ensuite une partie de l'armée.