La maison Sonia Rykiel liquidée faute de repreneurs Trois ans après le décès de sa créatrice emblématique, la maison Sonia Rykiel est en liquidation judiciaire. après-midi, après avoir repoussé à trois reprises la date de clôture pour le dépôt des offres, les juges réunis en audience se sont prononcés pour la liquidation judiciaire immédiate, a constaté une journaliste de l'AFP. MODE. Faute de repreneurs, la célèbre maison Sonia Rykiel liquidée. La maison parisienne de prêt-à-porter, en difficultés financières depuis la disparition de sa créatrice emblématique en 2016, avait demandé en avril son placement en redressement 2018, la griffe de Saint-Germain-des-Prés a enregistré 35 millions d'euros de ventes, pour une perte nette de 30 millions d'euros. Elle emploie actuellement 133 salariés - dont 14 à l'atelier, cœur de la création. Lire la suite: Le HuffPost » Encore un fleuron de la mode française qui disparaît. Une grande pensée pour le personnel qui aura tout fait. 😨 C'est une bien triste nouvelle pour le patrimoine culturel Français 😭😭 Combien ça vaut!?
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Paris, 25 juillet 2019 (AFP) – Sonia Rykiel, une maison de prêt-à-porter française réputée pour ses rayures gainées et colorées, a été dissoute jeudi par manque d'acheteurs, trois ans après la mort de son créateur. les cheveux roux brûlants. Après avoir reporté trois fois la date limite de remise des offres, les juges du tribunal de commerce de Paris ont statué en liquidation immédiate, a trouvé un éditeur de l'AFP. Sonia Rykiel – Printemps-Été 2019 – Vêtements pour femmes – Paris – © PixelFormula
La marque de prêt-à-porter parisienne, à l'occasion du décès de son designer emblématique en 2016, sa mise sous séquestre. Au cours des derniers mois, une douzaine d'acheteurs ont manifesté leur intérêt pour la marque. Déstockage sonia rykiel maison du. Trois offres – une partie seulement des activités – ont été publiées: un dossier dirigé par Emmanuel Diemoz, ancien dirigeant de Balmain, une proposition émanant d'un groupe chinois et un autre écrivain d'entrepreneurs du secteur immobilier.
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Les deux frères avaient d'entrée de jeu mis en avant leur volonté de "donner un second souffle" à ce "fleuron du patrimoine français". En 2018, la griffe de Saint-Germain-des-Prés fondée à la fin des années 1960 avait enregistré 35 millions d'euros de ventes, pour une perte nette de 30 millions. Au moment de son placement en redressement judiciaire, elle employait 131 salariés et détenait en propre six boutiques ainsi que quatre "outlets" (magasins de déstockage), et réalisait un peu plus de 50% de ses ventes en France.