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Foliatec
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Peinture Etrier Or Pass
Il existe plusieurs types de peintures or:
– peinture classique automobile or (avec teinte) (photo 1)
– peinture nacrée Or (sans ajout de teinte) (photo 2)
– peinture Diamond Or: transparente: crée leur aspect or par réflexion de la lumière (photo 3)
– peinture Candy (fond aluminium ou nacré) (photo 4 et 5)
– peinture Gold Premium 8µm: imitation dorure pour pistolet et aérographe, presque aussi fine que la peinture chrome – Exclusivité Stardustcolors
1. 2. 3. 4. 5. Effet OR
Aucune des techniques précédentes ne peut égaler la technique du Candy sur chrome:
Comment peindre un chrome doré? Peinture etrier or pass. Il suffit d'appliquer notre vernis Candy Jaune Or 21 sur la peinture chrome sèche depuis 96h. Les peintures nacrées pour aérographes:
StardustColors propose de nombreuses peintures embouteillées en petit conditionnement spécialement pour l'aérographe. Leur parfaite fluidité et leur dilution spéciale permet de travailler en toute facilité. Les peintures pour aérographe sont de qualité professionnelle et conviennent aussi bien au modélisme, qu'à la peinture tuning.
La peinture de haute qualité, compte tenu de sa grande adhérence (elle est plus spongieuse) peut être appliquée directement sur la surface à peindre sans besoin de ponçage ou d'apprêt préalable. Séchage rapide Le produit cristallise avec la chaleur. Grande résistance aux rayures et aux agressions extérieures. QUANTITÉ NÉCESSAIRE POUR UN ENSEMBLE DE PINCES: Avec 1x Spray, vous n'aurez qu'à peindre les quatre pinces, MAIS si vous choisissez d'acheter deux unités, vous obtiendrez une finition plus résistante et durable. 2x pulvérisations sont recommandées et appliquent de nombreuses mains. PEINTURE ÉTRIER DE FREIN Vernis pour étriers et tambours de frein, 400 ml, or. Couleur: PERLE D'OR REMARQUE: S'il y a une peinture précédente, elle doit être poncée et à pores ouverts.
Tes mains ont saccagé mes trésors les plus rares,
Et mon cœur est captif entre tes mains barbares. Tu secouas au vent du nord tes longs cheveux
Et j'ai dit aussitôt: Je veux ce que tu veux. Mais je te hais pourtant d'être ainsi ton domaine,
Ta serve… Mais je sens que ma révolte est vaine. Je te hais cependant d'avoir subi tes lois,
D'avoir senti mon cœur près de ton cœur sournois…
Et parfois je regrette, en cette splendeur rare
Qu'est pour moi ton amour, la liberté barbare…
Renée Vivien, Dans un coin de violettes, 1910
Renée Vivien A La Femme Aimée De
Stylistiquement proche du sapphisme, Renée Vivien vénère cette dernière, allant jusqu'à la traduire. Cette attirance vive pour la Grèce païenne se ressent dans ses vers: « Re ç ois dans tes vergers un couple féminin / Île mélodieuse et propice aux caresses / Parmi l'asiatique odeur du lourd jasmin / Tu n'as point oublié Psappha ni ses maî tresses » (« En débarquant à Mytilène », À l'heure des mains jointes). Grecque, Vivien l'est également par son amour de la forme et par sa musique parnassienne. Le voyage ne se limite pas chez elle à une dimension physique, puisque c'est le « dernier voyage ». Réalisation complète de la vie, Renée Vivien fait de ce thème une des pierres de voûte de sa production littéraire. Citons par exemple Waterlilies, extrait des Chansons pour mon ombre: « Des morts, o ù les reflets plus beaux que les couleurs / et les échos plus doux que les sons, o ù les fleurs / Sans parfum, sont tissés dans la trame du songe / O ù l'ivresse qui sourd des pavots se prolonge ». Vers 1907, s'approchant de sa fin, Vivien survit entre ses névroses et ses conquêtes féminines.
Renée Vivien A La Femme Aimée Blue
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un rêve oriental
De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. Leurs parfums expirants s'échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s'exhalaient tour à tour
L'agonie et l'amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l'effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j'entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l'ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m'apparus. Et l'esprit assoiffé d'éternel, d'impossible,
D'infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d'émerveillement. Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité. Renée Vivien, Etudes et préludes
Renée Vivien A La Femme Aimée Pics
Enterrée dans le même quartier que celui où elle avait vécu, au cimetière de Passy, sa tombe, située non loin de celle de Natalie Barney, est constamment fleurie, preuve que sa figure et son œuvre continuent de susciter une intense ferveur. Il est possible de lire cette fin de vie difficile dans « Le pur et l'impur » au travers les yeux de Colette, paru en 1932. Au cours de sa brève vie, Renée, qui publia son premier recueil sous le nom de « R. Vivien », nom de plume qui deviendra, au fil de ses publications « René Vivien » pour enfin rester Renée Vivien, fut une poétesse très prolifique qui vint à être connue sous le nom « Muse des violettes », dérivé de son amour pour cette fleur, dont l'obsession (ainsi que pour la couleur violette) est un rappel de Violet Shillito, la bien-aimée de son enfance. Son premier recueil de poèmes, « Études et préludes », parut en 1901. D'autres vers suivront qui rappellent ceux où Baudelaire et Verlaine avaient chanté les amours lesbiennes. Renée Vivien cependant, les avait vécues.
À la Femme aimée Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume, Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain, Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un rêve oriental De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. Leurs parfums expirants s'échappaient de tes doigts En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s'exhalaient tour à tour L'agonie et l'amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes La douceur et l'effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j'entendis les lyres se briser En criant vers le ciel l'ennui fier des poètes Parmi des flots de sons languissamment décrus, Blonde, tu m'apparus. Et l'esprit assoiffé d'éternel, d'impossible, D'infini, je voulus moduler largement Un hymne de magie et d'émerveillement. Mais la strophe monta bégayante et pénible, Reflet naïf, écho puéril, vol heurté, Vers ta Divinité.
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un rêve oriental
De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. Leurs parfums expirants s'échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s'exhalaient tour à tour
L'agonie et l'amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l'effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j'entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l'ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m'apparus. Et l'esprit assoiffé d'éternel, d'impossible,
D'infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d'émerveillement. Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité. Etudes et préludes