[ZR-7 Moteur] Problème Claquement Haut Moteur Kawasaki ZR7-S
Démarré par MoLaNouille, 30 Janvier 2011 à 15:57:34
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Bonjour à Tous! J'ai fais des recherches sur différents Forum mais je n'arrive pas à trouver une réponse concrète à mon Problème. J'ai eu plusieurs pistes mais je souhaiterai un avis précis de votre part avant d'engager les travaux. Je viens d'acheter une Zr7-s et j'ai un bruit de claquement au niveau du haut-moteur gauche audible au ralenti et quand je donne un petit coup d'accélérateur, je l'entends en face de décélération. J'ai roulé un peu avec, et ce bruit disparait quand je roule. L'ancien propriétaire m'as dit que c'était normal et que ca l'avait toujours fait. Mais je préfère prendre mes précautions. Pour infos: Kawasaki ZR7-s toute d'origine Année 2002 18 300 km Merci pour d'avance pour vos réponses! Salut! Ca fait des petits tic tic tic ou ça tape? Moteur kawasaki zr7 for sale. timstripes
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Tu penses au pastillage? Ouep t'as surement un jeu ou deux qui doivent être hors côte en échappement.
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Bien équipée, on trouve sur cette machine une jauge à essence, de la place pour un U sous la selle, des crochets d'arrimage, une béquille centrale... Mais quel dommage que l'élégant réglage de chaîne par excentrique ait disparu. La ZR-7 est une très bonne affaire. Certains lui trouveront un manque de charisme, beaucoup apprécieront son coté simple et ludique. Les voyageurs opteront pour la version S, munie d'un gracieux et protecteur tête de fourche. Moteur kawasaki zr7 2020. M.
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000Km pour un jeu de soupapes ça me paraît quand même peu. Est-ce que c'est l'échappement d'origine? Oui tout est d'origine! Donc pour résumer, probablement jeu de Soupapes? après faut savoir que le zr7 est assez bruyant au niveau de la distrib'... quand j'ai eu le mien, je me suis inquiété de ses bruits moteur, j'ai tout vérifiez et rien, tout bon!!! Kawasaki 750 ZR-7 N 2004 - Fiche moto - Motoplanete. si tu connait quelqu'un qui a un zr7, pour comparer les bruits avec toi... Le soupapes bougent plus sur un jeune moteur non? le temps des rodages etc... J'ai souvent entendu dire que le premier contrôle était important car c'est là que les jeux bougent le plus vite. Ce qui parait logique effectivement. Sujets Similaires (5)
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Modifications apportées
Saute-vent, roulettes, silencieux (scorpion), tapis de réservoir. - Petit clignos AV
bavette AR coupée. - Romain C. PDR, garde boue arrière, mini-clignotants, petite plaque, échappement
et à venir sabot, TDF, écopes de radiateur cross et peinture sport. - Gil F. Pare carter. bientot selle confort. - Nicolas M. Saut de vent, protège carter et guidon. - Alexandre D. Un petit saut-de-vent. - Patrice G. Saute vent, top case. - Philippe. Pare carter, saute vent, porte bagage. - Franck B. Selle perso, bulle haute, pare-carters. - Georges G. Double optique, tapis reservoir, retro, clignotants, passage de roue, leche roue. - Hugues D. Pot, freins, cligno, prevision filtres et durites. - Fred D. Selle perso, echappement homologué et non homologué, puissance phare. - Damien L. MOTEUR - KAWASAKI ZR7 - Moto et loisirs. Passage de roue, echappement, kit dynojet, garde boue. - Dominique R. Saute vent, passage de roue, garde boue, echappement. - Pascal D. Echappement, garde boue, saut de vent. Passage de roue, sabot, tete de fourche, selle perso, peinture perso, echappement devil, guidon plat, jantes polie, retro, poigné, durit avia, eclairage vert.
Les accélérations sont également améliorées par le système K-tric qui optimise l'allumage. Dans les bas et moyens régimes, que ce soit en conduite ou sur les courbes de puissance, la Kawa est largement gagnante. Pour accompagner ce moteur, la partie-cycle se révèle à la hauteur. La machine est maniable, le train avant précis, la tenue de route enthousiamante... Les virages s'enchainent naturellement et le rythme s'accélere progressivement. En plus de supporter vos bottes, les repose-pieds servent de garde-fous. Trop d'angle et ça frotte; mais il faut déjà avoir sérieusement attaquer. KAWASAKI ZR-7 (2000 à 2004) - Votre essai - Maxitest Scooter - Moto Station. A ce niveau, prudence sur les route esquintées, car l'arrière peut devenir joueur, dans le mauvais sens du terme. Calmez-vous. Empoignez les freins, qui se montrent progressifs et d'une puissance sûre. L'arrière est plus timide. Une balade sereine met en avant de très bonnes qualités de la ZR-7. Un rien penché sur l'avant, le pilote est installé naturellement, dans un confort très correct. Se faufiler en ville est un jeu d'enfant.
Les Années
Auteur
Annie Ernaux
Pays
France
Genre
Roman
Éditeur
Gallimard
Collection
Blanche
Nombre de pages
256
ISBN
9782070779222
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Les Années est un roman d' Annie Ernaux publié en 2008 aux éditions Gallimard. Le livre a obtenu le prix Marguerite-Duras [ 1], le prix François-Mauriac de la région Aquitaine [ 2], le prix de la langue française [ 3] et le prix Strega européen. Il était également en lice dans les dix ouvrages sélectionnés pour le prix France Culture- Télérama 2008 [ 4], et pour le prix des Lecteurs du Télégramme 2009 [ 5]. Résumé [ modifier | modifier le code]
Le roman oscille entre des descriptions de photos décrivant l'autrice, prises entre 1941 et 2006, et une peinture de l'époque à laquelle ces photos ont été prises à travers les souvenirs qui se sont gravés dans l'esprit de l'autrice, choisis pour leur pertinence sociologique. Le roman brasse 60 ans d'histoire commune avec le récit de l'existence unique de l'autrice, mais l'autrice met à distance celle qu'elle fut par l'usage de la troisième personne.
Les générations se croisent et se distinguent par leur vécu, leur éducation, leur langage, leurs goûts et leurs valeurs. Les enfants ne parlent plus comme leurs parents qui souvent peinent à comprendre ce « langage rebutant d'initiés ». La présence des femmes semble prendre plus d'importance que celle des hommes et les milieux sociaux s'imposent dans leurs signes distinctifs. A ce propos Annie Ernaux brosse un tableau peu flatteur de son milieu d'origine, milieu populaire caractérisé essentiellement par le manque de finesse, d'hygiène et de bonnes manières. Les voix sont portantes, les comportements vulgaires, et les anecdotes souvent salaces « manger en faisant du bruit et en laissant voir la métamorphose des aliments dans la bouche ouverte, s'essuyer les lèvres avec un morceau de pain, saucer l'assiette si soigneusement qu'elle pourrait être rangée sans lavage, taper la cuiller dans le fond du bol, s'étirer à la fin du dîner ». C'est autour de la table notamment que s'affirme le clivage entre les mondes et les affinités (cette notion de transfuge dont l'auteur use pour expliquer son changement de situation sociale) « Malgré soi, on remarquait les façons de saucer l'assiette, secouer la tasse pour faire fondre le sucre, de dire avec respect « quelqu'un de haut placé » et l'on apercevait d'un seul coup le milieu familial de l'extérieur, comme un monde clos qui n'était plus le nôtre ».
Ce début est très caractéristique de l'écriture d'Annie Ernaux, ce que l'on appelle « l'écriture blanche ». Les phrases sont simples, brèves, avec peu d'adjectifs ou de propositions subordonnées, la narratrice préférant l'énumération et des structures épurées du style S+V+ complément. C'est un moyen pour A. Ernaux, comme elle l'a expliqué dans de nombreux entretiens, de mettre l'émotion à distance. Elle cherche à approcher une vérité dans son écriture autobiographique, et souhaite éviter le danger de l'émotion et de la subjectivité. Les premières lignes du texte se basent sur une série de verbes à l'imparfait retraçant les activités de l'adolescente dans un rythme ternaire (« travaillais/ écoutais/ lisais »). Il s'agit d'un imparfait d'habitude faisant surgir une vie d'adolescente qui étudie. La chute de la première phrase marque un premier éloignement entre la jeune fille et ses parents. En ce qui la concerne, le ct circonstanciel de lieu est « toujours dans ma chambre ». Par contre, en ce qui concerne les lieux, ceux qui sont communs à ses parents et à elle, deux compléments circonstanciels de lieu « à table » et « à la maison ».
C'est un récit qui n'est pas à la première personne, mais qui parle d'une femme, Annie Ernaux, située dans un contexte historique, social, politique. L'auteur ne dit jamais «je» (sauf à la fin) mais «elle», «on», «nous» en un récit collectif d'une époque de profonde métamorphose. «Ce qui compte pour elle, c'est au contraire de saisir cette durée qui constitue son passage sur terre à une époque donnée, ce temps qui l'a traversée, ce monde qu'elle a enregistré rien qu'en vivant. » La suite après la publicité A l'origine, un tableau, une image qui dit tout le livre: on y voit une femme, une femme à la poitrine nue et, derrière elle, une enfilade de portes entrebâillées. Le titre était Anniversaire et le tableau est de Dorothea Tanning. «Les Années», ce sont de multiples thèmes abordés à travers le temps qui passe, un temps qui relie celui de l'immédiate après-guerre à la veille de l'élection présidentielle de Nicolas Sarkozy. Entre les deux, 12 images (qu'on ne verra pas) mais qui seront les marqueurs d'une époque – d'Annie Ernaux bébé, à Annie Ernaux en «femme mûre» en passant par la jeune fille studieuse, l'étudiante, l'épouse, la mère de famille, la professeure, l'amante et – bien que ne parlant pas de ses propres livres – «l'écrivain».
En étant avec ce jeune homme, elle retrouve sa propre jeunesse et revit son propre passé. C'est son roman le plus proustien, ce jeune homme, qui consiste à faire resurgir son passé par l'expérience, par le corps, par la chair. C'est absolument vertigineux ce qu'elle parvient à faire, dans le fait de superposer tous ces différents "moi", ses différents états, ses différentes époques, avec des questions qui se rapportent fondamentalement au transfuge de classe, sur la relation qu'on a avec quelqu'un qui n'est pas de notre milieu". Le livre
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"Le Jeune homme" et "Cahier" d'Annie Ernaux
Par Jérôme Garcin
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Chaque décennie est ainsi campée à travers la description d'un repas de fête (parfois deux), qu'il s'agisse du déjeuner du dimanche ou du dîner de fête (voir corpus choisi plus bas). Ce repas joue avant tout un rôle de révélateur, il souligne les différences et les similitudes entre les générations (celles des grands-parents par rapport à celle des parents et puis de leurs enfants), les sexes (hommes et femmes) et les milieux sociaux (origine populaire, classe moyenne, bourgeoisie). Les souvenirs remontent à la surface, livrent quelques morceaux du passé, et refont l'histoire. Les images bruyantes des plats qui se succèdent, des personnes qui s'interpellent, d'anecdotes qui fusent, présentent un aspect similaire – comme une sorte de superpositions de clichés rattachant l'individu à son époque. Néanmoins, elles n'en montrent pas moins un caractère très spécifique selon le groupe ou la décennie considérée. Le repas, ponctué par le cérémoniel défilé des plats, rapproche ou éloigne selon les humeurs, les moments et les thèmes abordés.