Vous avez raison, Madame, je n'en abuserai pas, et je ne vous en aimerai pas moins. Vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais une femme ait donnée à son mari. Analyse:
I) Un aveu incroyable
A. Des circonstances tout à fait romanesques
- La retraite à Coulommiers (Mme de Clèves s'est retirée à la campagne par crainte de rendre publics ses sentiments pour M. de Nemours: « m'éloigner de la Cour », « je veux éviter les périls », « me retirer de la Cour »). - L'incompréhension de M. de Clèves (qui ne comprend pas pourquoi sa femme, à son âge, veut se retirer, et croit qu'elle cherche à l'éviter: il provoque l'aveu en la pressant de lui répondre). - La dissimulation de M. de Nemours (qui s'est égaré à la chasse et qui, comme par hasard, est parvenu jusqu'au pavillon du jardin de la demeure de campagne de M. et de Mme de Clèves: il entend l'aveu que fait Madame de Clèves à son mari). B. La Princesse de Clèves, l’aveu étude linéaire et grammaire. Un aveu héroïque
- L'originalité de la conduite de Mme de Clèves (« un aveu que l'on a jamais fait à son mari », « m'en donne la force », « quelque dangereux que soit le parti que je prends », « songez que pour faire ce que je fais », « un procédé comme le vôtre »).
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- Un « procédé » bien reçu (« ayez pitié de moi vous-même [... ], j'en suis digne; et pardonnez », « la confiance et la sincérité que vous avez pour moi sont d'un prix infini », « vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais aie une femme ait donnée à son mari »). B. La souffrance de Mme de Clèves
- La solitude et le manque d'expérience (sa mère étant morte, elle n'a personne à qui se confier; elle est très jeune, environ 17 ans: « les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge »). - La tentation renouvelée (M. de Nemours étant un familier de son mari, elle le voit sans cesse à la Cour et doit continuellement le fuir et se surveiller, c'est pourquoi elle refuse de révéler son nom peu après). Scène de l aveu princesse de clèves resume. - Un amour impossible (Mme de Clèves a été élevée dans le respect du mariage et a elle-même accepté M. de Clèves pour époux: faire cet aveu, c'est se condamner à ne jamais pourvoir aimer M. de Nemours − situation qui sera encore plus vraie après la mort de son mari, dont elle se sent coupable).
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- La noblesse de Mme de Clèves (« je le prends avec joie pour me conserver digne d'être à vous », « il faut avoir plus d'amitié et plus d'estime pour un mari », « vous me paraissez plus digne d'estime et d'admiration que tout ce qu'il y a jamais eu de femmes au monde », « il est trop noble pour ne me pas donner une sûreté entière »). - L'innocence de Mme de Clèves (« l'innocence de ma conduite et de mes intentions », « je n'ai jamais donné nulle marque de faiblesse », « je ne vous déplairai jamais par mes actions »). C. Un aveu classique (= à lire entre les lignes)
- Des sentiments euphémisés (« il est vrai que j'ai des raisons », « si j'ai des sentiments qui vous déplaisent ») [une autre manière de dire: « j'en aime un autre »]. Charles Howell III fait un aveu honnête à propos de Tiger Woods : “Il était meilleur que moi en tout”. - La recherche d'un guide spirituel et moral pour lutter contre la passion (« si j'avais encore Mme de Chartres pour aider à me conduire », « conduisez-moi »). II) Une scène pathétique
A. Une demande de clémence réciproque
- L'humilité de Mme de Clèves (« en se jetant à ses genoux », « faire relever sa femme », « à ses genoux le visage couvert de larmes », « l'embrassant en la relevant »).
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La princesse demande au mari de l'aider à lutter contre sa passion: "si j'avais encore Mme de Chartres pour aider à me conduire", "conduisez-moi". IV Une mise en scène pathétique
Les personnages se comportent de façon pathétique dans cette scène, ils sont sujets à de fortes émotions. La Princesse de Clèves : scène de l'aveu (Commentaire composé). La princesse se montre très modeste et repentante. Elle est présentée comme une figure qui prie et demande pardon: "en se jetant à ses genoux", "faire relever sa femme", "à ses genoux le visage couvert de larmes", "l'embrassant en la relevant". Le thème de la pitié et du pardon domine le texte: "ayez pitié de moi vous-même [... ], j'en suis digne; et pardonnez", "la confiance et la sincérité que vous avez pour moi sont d'un prix infini", "vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais une femme ait donnée à son mari". On peut comparer cette scène à une scène religieuse: "quand il la vit à ses genoux le visage couvert de larmes et d'une beauté si admirable, il pensa mourir de douleur".
Il semble qu'un Howell jeune et naïf continuerait à penser qu'il gagnerait contre son coéquipier, dont la réputation et le calibre n'avaient commencé à faire surface qu'à ce moment-là. À sa grande consternation, un jeune Tiger Woods allait lui montrer comment perdre à plus qu'une simple partie de golf. Lorsqu'on lui a demandé ce que cela faisait de voir Tiger Woods continuer à réaliser tout ce qu'il avait, Howell a déclaré: «Alors j'ai déménagé à Orlando dès la sortie de l'université. Et l'une des raisons de déménager ici était d'être autour de Tiger Woods. Scène de l aveu princesse de clèves es la scene du bal. Et, vous savez, c'était le gars. Je me suis dit que si je devais faire ça en tant que pro, traînons peut-être le meilleur pour le faire. Howell a choisi d'apprendre des meilleurs au lieu d'essayer de battre les meilleurs; une décision assez intelligente, tout bien considéré. Charles poursuit également en disant: "En pratiquant avec lui et en jouant avec lui à la maison et tout cela, il était clair qu'il était meilleur que moi en tout. "