VINTAGE FRIDAY. Pour nous, c'est le début d'un voyage au fil de l'eau. Sur un texte de Prévert et la voix de Serge Reggiani, le réalisateur Joris Ivens nous entraîne dans un voyage hypnotique et poétique, une traversée de Paris sur son fleuve à la rencontre de la cité grouillante et de ses habitants. Des quais peuplés par les travailleurs, mais aussi des amoureux: alors que certains s'affairent, les autres regardent couler la Seine. Un Paris ouvrier, celui d'un temps révolu, une cité bruyante et polluée par les nombreuses voitures, une ville qui ne plairait pas aux écolos du XXIe siècle, mais qui a fait le bonheur de notre enfance. Ce documentaire tourné en 1957 est un chef-d'œuvre de poésie qui gagna le Grand Prix du Festival de Cannes 1958 dans la catégorie court métrage. A voir de toute urgence! La Seine a rencontré Paris, un film de Joris Ivens – 1957
Au Fil De La Seine Poésie Rose
AU LONG COURS DE LA SEINE
J'ai vu le long fleuve qui traverse les âges, De courbes en courbes arpenté par les cieux, Et son onde paisible réfléchie en nos yeux Qui du fil de son eau nous invite au voyage. Nonchalamment, le long des chemins de halage, J'ai laissé dériver, des justes milieux, Les pensées affranchies aux mille et un lieux Qui d'un monde sans âme ont tourné la page. J'aime tant ces moments librement embarqués Sur l'antique courant des mystères dévoilés, Ces langoureux émois au long cours de la Seine
Qui du souffle de nos vies brèves riment toujours L'écoulement poétique qui allège nos peines. Dis-nous, belle Sequana, guérirons-nous un jour? Sonnet de Michaël Vinson
Un petit livre pour raconter une vie en poésies...
Par Rédaction Coulommiers
Publié le 25 Avr 21 à 10:22
Un petit livre à découvrir… (©LPB) La vie n'a pas été un long fleuve tranquille pour Hélène Buis. Pourtant elle a trouvé la force d'avancer en faisant des vers… On peut les découvrir dans Recueil d'une vie en poésies. À travers ce Recueil d ' une vie en poésies, Hélène Buis délivre un témoignage bouleversant sur la difficulté de s'en sortir dans le monde actuel, pour elle la vie est un combat. Grâce à l' association Aurore, elle a pu reprendre pied et en guise de remerciement leur dédie le poème « Aurore: un brin d'espoir ». « Alors ce nom, c'est plus que ça, ce n'est pas marche ou crève comme ce monde automatisé, rentabilisé, c'est une élève, du mot Humanité, c'est une association qui vous relève… », écrit avec reconnaissance l'auteure. Des vers sur des ressentis, des mots sur des plaies Les difficultés s'enchaînent pour celle qui écrit depuis qu'elle a 12 ans. Et les soucis avec la justice laissent des traces indélébiles, tout comme les trahisons morales.
» Date limite pour participer: 20 janvier 2017 En savoir + Le cadre: Mise en valeur du patrimoine de Peyrolle Organisé par: L'association « Made in » en partenariat, avec la mairie de Peyrolles. Le thème: « Le vieux Peyrolles en Provence » Date limite pour participer: 30 décembre 2017 En savoir + Le cadre: Concours annuel de l'association Organisé par: L'Association « Tu Connais la Nouvelle? » Le thème: « La place était déserte » Date limite pour participer: 10 janvier 2018 En savoir + Le cadre: Prix Armand Lunel Organisé par: Le P. E. N. -Club de Monaco Le thème: Libre Date limite pour participer: 31 janvier 2018 En savoir + Le cadre: Le Prix de la Nouvelle d'Angers Organisé par: L'association Nouvelles R et la Revue Harfang en partenariat avec la Mairie d'Angers et les éditions Paul&Mike Le thème: Libre Date limite pour participer: 31 janvier 2018 En savoir + Le cadre: Concours de Nouvelles annuel de l'association Organisé par: Les Après-midi de Saint-Flo Le thème: « La chaleur était pesante.
Concours De Nouvelles 2017
La municipalité lance la 6e édition de son concours de nouvelles. Il s'agit d'imaginer et d'écrire une nouvelle avant le 13 septembre 2017. Après lecture et délibération du jury, l'auteur de la meilleure nouvelle se verra décerner le « Prix Neuilly-Plaisance de la nouvelle 2017 », dans chacune des deux catégories: la première pour les adultes avec un thème libre (5 000 à 8 000 signes) et la seconde pour les moins de 18 ans, habitant de la commune, avec pour thème: « Donner une seconde chance à la Planète… » (4 000 à 8 000 signes). Envoyez votre œuvre à:
Concours De Nouvelles 2014 Edition
Comme le dit si joliment Jean Cocteau cité plus haut, faire du cinéma, c'est écrire avec la lumière. La lumière est nécessaire pour créer une image, pour projeter les images en mouvements et pour exprimer une vision du monde, une atmosphère ou une émotion. Elle est donc primordiale dans la composition de l'œuvre cinématographique. La lumière a donc été essentielle dans la technique du noir et blanc. Les progrès de l'éclairage ont rendu possible une grande variété de gris entre le blanc et le noir, comme en témoignent des précurseurs tels que Marcel L'Herbier dans L'argent (1928), puis Jean Cocteau dans La Belle et la Bête (1946), ainsi que les cinéastes du réalisme poétique que sont Jean Renoir et Marcel Carné. Comment ne pas évoquer les sublimes films expressionnistes allemands qui expriment toute cette magie de la lumière, ou encore Orson Welles et ses jeux mythiques d'ombres et de lumière dans des films tels que Citizen Kane (1941) ou La Dame de Shanghai (1947)? Les cinéastes de la Nouvelle Vague se sont aussi emparés de cette palette infinie qu'est la lumière dans les déclinaisons symboliques, dramatiques et esthétiques des blancs et des noirs pour composer des œuvres qui ont marqué l'histoire du cinéma et modifié nos perceptions.
Le Grand Otso Asgeir était tellement grand qu'il eut du mal à passer cette petite porte étroite. J'ai bien cru qu'il ne passerait jamais. Une fois à l'intérieur, je me dirigeai vers la section des livres anciens et trouvai mon grimoire. Dès que je le pris, je sus. Je sentais une magie très particulière qui le protégeait. Mes sœurs avaient compris. Elles avaient lancé un sort de protection sur lui. Nul autre que nous trois ne pouvait le toucher. Je regagnai espoir. La bataille n'était pas encore perdue. Sachant pertinemment cela, je lui tendis le grimoire. Il reçut une telle décharge qu'il fut propulsé à l'autre bout de la cave. Mais je ne pouvais pas m'enfuir, il était trop dangereux, je devais le détruire. Mais sans baguette, je n'étais qu'une simple innocente. Il se releva presque aussitôt et m'ordonna d'enlever cette protection. Il savait que c'était impossible. Il me prit de force par le bras et nous quittâmes cet endroit. Non. Non. Je connaissais beaucoup trop bien le chemin que nous empruntions.