Ce–derniers est-il vraiment incompatible avec la liberté? Nous pouvons donc nous demander si nous sommes vraiment libres. Nous verrons tout d'abord que l'homme admet sa liberté. Puis nous montrerons que notre libre-arbitre n'existe pas. Enfin, nous tacherons de montrer que déterminisme et liberté sont finalement conciliables. La liberté de l'homme est une certitude pour celui-ci. Il ne doute pas de sa liberté fondamentale, son libre-arbitre. Comme l'écrit Descartes dans Méditations métaphysiques, « Nous sommes tellement assurés de la liberté et de l'indifférence qui est en nous qu'il n'y a rien que nous connaissons plus clairement ». En effet, Descartes expose la thèse du dualisme ontologique, c'est-à-dire qu'il fait la différence entre deux substances, la matière et l'esprit. Sommes nous libres pour les. La « res extansa », littéralement la chose étendue autrement dit la matière, serais soumis au déterminisme tandis que la « res caugitant », la chose pensante soit l'esprit, ne le serais pas. Tiib
2415 mots | 10 pages
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Cela revient à remettre en cause la soiété dans son ensemble; renier notre système de justice, ce qui augmenterait le nombre d'infractions dès lors que les sentences disparaissent où sont plus clémentes. Donc il le me semble que dans le doute il faut faire comme si la liberté de chacun est entière compte tenu des contraintes (gagner de l'argent... ) sans quoi on ne peut pas vivre ensemble. Je terminerais sur une pensée: A quoi rime la vie dans le cas d'un destin totalement écris où personne ne peut prendre la "moindre bifurcation", la plus infime soit-elle? Sommes nous libres de nos opinions. Sinon a jouer un pièce, cela me semblerais décevant et non de pair avec la beauté de la vie et sa complexité. A la question de 'Zarathoustra2', le 26 septembre 2011 - 06:52, dit:Est-ce important de savoir si nous sommes libres? Est-ce que ça changerait quelque chose dans notre vie de tous les jours d'être libres ou pas libres? Je répondrais: c'est impossible d'y répondre et non c'est pas important en soit, mais ce qui l'est serait de prendre conscience de notre supposé liberté et agir de façon a faire un monde tel qu'on le souhaiterait le voir et non de le subir, car au final toutes les normes établies ne sont pas les seules qui auraient pu voir le jour...
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Actuellement, certains d'entre nous considèrent qu'il y a trop de liberté, parce qu'ils réprouvent le droit à épouser un partenaire du même sexe, à recourir à des méthodes de procréation différentes du modèle « un papa et une maman ». D'autres, au contraire, dénoncent les menaces pesant sur la liberté de la presse, le droit de s'exprimer, de manifester. C'est dire qu'il y a les « libertés » au pluriel, qui renvoient à nos droits, et la « liberté » au sens philosophique et psychologique: la possibilité de poser des actes indépendants, de choisir, de décider pour soi. Sommes nous libres tv. Être libre aujourd'hui, à l'heure du développement personnel et de la psychothérapie, passe par la possibilité de jouir de l'existence, de s'accomplir dans et par son travail – sans se résigner à gagner péniblement son pain, en ayant la sensation de passer à côté de la vie. Nous portons le poids de l'histoire
L'idée que la liberté puisse être une valeur précieuse a commencé à germer avec la philosophie humaniste du XVI e siècle, en particulier avec Montaigne, qui insiste sur la dignité de l'homme, sur les droits fondamentaux de l'individu.
La liberté est un droit inaliénableIl est tellement vrai de penser que nous sommes libres que la loi elle-même reconnaît la liberté pour mieux lagarantir. Selon la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, «la liberté consiste à pouvoir faire tout cequi ne nuit pas à autrui». Ainsi, l'exercice de la liberté est un droit pour cette conception, la liberté est une propriété essentielle de l'homme — « l'homme est né libre » — undroit naturel qui ne peut être supprimé sans que soient supprimées du même coup les qualités de citoyen etd'homme. Perdre sa liberté, c'est prendre sa dignité, son humanité même. L'homme ne peut renoncer à saliberté — ici « l'aliéner » c'est-à-dire la donner ou la vendre — sans s'exclure de l'humanité, c'est-à-dire vivreet être considéré comme « une bête ». C'est en ce sens que la liberté est un droit inaliénable. Près de chez nous. [L'homme est soumis à des contraintes, à des déterminismes. L'idée d'une liberté illimitée est une illusion métaphysique. Notre volonté n'est pas libre mais déterminée par la nature, la société. ]