Alors Jésus lui adressa la parole:
« Que veux-tu que je fasse pour toi? »
L'aveugle lui répondit:
« Rabbouni, que je retrouve la vue! »
– « Que veux-tu que je fasse pour toi? »… Une fois dans l'intimité du Maître, Jésus lui pose cette question qui surprend, tant le besoin de l'aveugle est évident. Mais Jésus respecte toujours la liberté de l'homme (cf. Jn 5, 6). Notons que si nous considérons la scène dans la perspective baptismale, la question ne surprend plus, car il faut quel le candidat à l' « Illumination » fasse sa « profession de foi » personnelle. Jésus qui respecte la liberté de l'homme… Jésus qui attend une démarche de l'homme, car la guérison (et forcément le salut! ) est tout sauf magique. Nous retrouvons cette dimension du face à face – du cœur à cœur – dont nous avons parlé au début de notre méditation… Ceux qui font l'expérience des prières de guérison savent que toujours on invite le « demandeur » à exprimer sa demande: « Pour quoi veux-tu qu'on prie pour toi? »
– « Rabbouni, que je retrouve la vue!
Que Veux Tu Que Je Fasse Pour Moi Sur L'annuaire Rendez
Jésus nous pose cette question encore aujourd'hui:
« Que veux-tu que je fasse pour toi? » Luc 18. 41
Aujourd'hui, répondons avec précision à cette question du Seigneur. Notre prière du jour:
Père céleste pardonne-moi toutes les fois où j'ai multiplié les paroles vaines en prière, aujourd'hui, je reviens devant toi et je te demande avec précision (mettez votre besoin. ). Je te remercie d'avance pour Ta réponse, que Ton Nom soit béni. Bonne journée bénie
Iris
30° dimanche T. O. B
Mc. 10, 46-52
Que puis-je faire pour toi? Telle est la question bienveillante que nous posons parfois à une personne dans la peine ou le besoin. La plupart du temps, nous nous entendons répondre: « rien! » tant sa détresse reste son secret, son poids de pauvreté son seul compagnon. Et nous la quittons, déçus, nous reprochant parfois de ne pas avoir su trouver les mots justes pour rejoindre son attente profonde et l'avoir laissée avec son affliction. Aucun soulagement n'a été capable de l'aider. Peut-être au moins, pouvons-nous espérer que notre présence, notre voix a pu lui dire une présence cordiale. Une autre question peut alors prendre le relai: « Que veux-tu que je fasse pour toi? »
La volonté de vivre de la personne est sollicitée. Elle participe et ne se perçoit plus comme assistée par quelqu'un d'autre. Déjà, la voici debout, au moins intérieurement, convoquée à reprendre les rênes de son existence meurtrie parce que quelqu'un a fait appel à ses capacités humaines capables de la mettre en mesure de rebondir.
Que Veux Tu Que Je Fasse Pour Toi
Que veux-tu que je fasse pour toi? ( Mc 10. 51)
Telle fut la question posée par Jésus, le Fils bien-aimé du Père, à l'aveugle
Bartimée qui l'implorait à grands cris au bord d'un chemin de Palestine,
sûr d'être entendu:
« Fils de David, Jésus, aie pitié de moi! » ( Mc 10. 47)
Telle est aussi la question qu'Il pose à chacun de nous quand nous l'invoquons
dans nos moments de désarroi. Pour Bartimée, enfermé dans sa cécité, la réponse fusa spontanément:
« Rabbouni, que je retrouve la vue! » ( Mc 10. 51)
et le Seigneur l'exauça en raison de sa foi sans failles:
« Va, ta foi t'a sauvé. »
« Aussitôt il retrouva la vue et il
suivait Jésus sur le chemin. » ( Mc 10. 52)
Quant à nous, les clairvoyants, n'avons-nous pas tout d'abord à prendre
conscience de notre aveuglement moral lié à notre nature blessée par le
péché qui nous empêche de voir nos véritables déficiences? Ne voulons-nous pas trop souvent suivre nos seules impulsions pour régler
nos comportements et ne nous adresser à Dieu qu'en dernier recours?
Et aussitôt il recouvra la vue et il cheminait à sa suite (Mc 10, 52) … Bartimée (13)
Nous voici devant une finale extraordinaire! Avec la soudaineté que Marc affectionne (cf. la répétition constante de l'adverbe aussitôt 1, 12, 20; 2, 12; 5, 30 etc. ), l'homme guéri de sa cécité emboîte le pas de Jésus. Il se met à le suivre, formule bien connue qui désigne l'attitude du disciple (1, 8; 2, 14). L'art narratif de Marc atteint ici sa perfection. Quel contraste entre la situation initiale de Bartimée (assis, à côté de la route, aveugle et mendiant) et sa situation finale (debout, en marche sur la route, voyant et porteur de la Bonne Nouvelle…). A n'en pas douter, placé à cet endroit où Jésus chemine vers Jérusalem, entraînant ses amis et la foule vers une lumière plus grande sur sa personnalité et sa mission, ce récit est l'illustration de ce que fait le vrai disciple. Il faut se laisser conduire par le Maître à l'illumination de la foi. Déjà la guérison d'un aveugle à Bethsaïde (Mc 8, 22-26) engageait les disciples de Jésus à découvrir en lui le Messie (c 8, 27-30).
Que Veux Tu Que Je Fasse Pour Toi Est
» (Mc. 10, 36) Mais loin d'être dépouillés de tout, ils sont au contraire prêts à revêtir un costume trop grand pour eux. Laissons Jésus nous interroger de la même façon. Il veut certainement guérir nos cécités, nos surdités de toutes sortes, et il le peut, si nous lui en offrons la possibilité, si nous nous dégageons de toute volonté de puissance pour l'accueillir humblement.
Mais Dieu permet-il la cécité spirituelle? L'aveugle a reçu le don de la foi sans même le demander. Sa foi était peut-être plus grande que celle de n'importe qui à Jéricho. Elle l'a conduit sur là où Jésus passait. Sa foi lui a inspiré qu'il devait crier, crier avec persévérance et insistance en dépit des protestations de ceux qui l'entouraient. 3. Savoir apprécier ce don. La foi est un don totalement gratuit que Dieu fait à l'homme. Malheureusement, c'est un don souvent renvoyé à l'envoyeur sans être ouvert ou qui demeure là, sur une étagère, comme un de ces cadeaux de Noël inutiles. Malheureusement, c'est ce que nous faisons parfois avec le don de la foi. Nous nous disons: « je n'en ai pas besoin. " "J'ai organisé ma vie différemment. " "Je peux m'en sortir seul. " Quel dommage! "Si tu savais le don de Dieu... " (Jean 4, 10): "ce que personne n'avait vu de ses yeux ni entendu de ses oreilles, ce que le coeur de l'homme n'avait pas imaginé, ce qui avait été préparé pour ceux qui aiment Dieu.
Illustrations
De nombreuses affaires d'abus de pouvoir sont portées devant les juges. La jurisprudence regorge d'exemples. Concrètement l'abus de pouvoir pourra prendre la forme:
d'une contrainte illégitime voire illégale
Exemple: forcer un salarié à démissionner, imposer une sanction pécuniaire non prévue par la loi, …
d'un harcèlement (moral ou physique), …
Exemple: faits de harcèlement psychologique (conduites vexatoires visant à intimider, isoler ou discréditer la victime, etc. Abus et pouvoir de direction de l'employeur
En application de son pouvoir de direction, l'employeur peut prendre des décisions de façon discrétionnaire sans que cela ne constitue un abus. Il peut ainsi:
modifier les conditions de travail des salariés (mais ne peut modifier unilatéralement leur contrat de travail), infliger une sanction disciplinaire (mais ne peut licencier sans cause réelle et sérieuse), choisir d'embaucher une personne plutôt qu'une autre (mais ne peut agir par discrimination), etc. Si malgré les limites imposées par le législateur, l'employeur abuse de son pouvoir de direction, le salarié pourra agir pour défendre ses droits.
Abus De Pouvoir Au Profit De Sa Famille A Melanie
La victime partie civile peut demander comme réparation un ou plusieurs des éléments suivants: Montant du prix du bien ou de l'argent détourné Dommages et intérêt: titleContent s pour la privation de l'objet et pour préjudice moral Somme pour couvrir le montant des frais engagés pour le procès. Les demandes doivent être chiffrées par la victime partie civile. L'abus de faiblesse peut être puni de 3 ans de prison et d'une amende de 375 000 €. Cette peine peut être assortie d'une interdiction d'exercer si l'infraction a eu lieu dans l'exercice d'une profession. Si l'abus de faiblesse n'est pas démontré, les faits peuvent être qualifiés de pratique commerciale trompeuse, qui peut être punie de 2 ans de prison et d'une amende de 300 000 €. Lorsque l'abus de faiblesse est commis par le responsable d'une association sectaire, les peines encourues sont de 5 ans d'emprisonnement et 750 000 € d'amende. Le complice d'un abus de faiblesse risque la même peine que l'auteur des faits.
Abus De Pouvoir Au Profit De Sa Famille Plus
l'essentiel
Travaux bâclés, déclarations d'impôts et de Caf frauduleuses, une famille d'artisans était jugée pour abus de faiblesse et blanchiment d'argent. Que se serait-il passé si la nièce d'un retraité sud-tarnais, veuf et isolé, n'avait pas mis le nez dans les comptes de son oncle? En avril 2016, elle dépose plainte après avoir découvert une multitude de chèques à son nom au profit de personnes de la même famille. Elle s'inquiète, en parle au banquier qui lui accorde une procuration sur ses comptes. Au total: 28 chèques d'un montant global de 51 800 € ont été déboursés et 13 retraits de 8 200 € en espèces ont été effectués, en quelques mois. « Pour payer les travaux de deux artisans », lui aurait confié son oncle. Sauf que les rénovations s'avèrent négligées. Pire, d'après un expert en bâtiment, les travaux sont « bâclés », « fantaisistes » voire « inexistants ». Qu'ils chiffrent à 4 429 € contre les 121 000 euros déboursés par le vieux monsieur en trois ans. C'est notamment pour ces faits d'abus de faiblesse qu'une famille castraise d'artisans était jugée mardi 17 mai au tribunal de Castres.
Exemples d'
abus de faiblesse L'abus de faiblesse peut prendre les formes suivantes: Démarchage commercial à domicile ou par téléphone quand le démarcheur profite de la vulnérabilité de la personne. Il en est de même pour les transactions effectuées dans des lieux non appropriés à la vente (parking, hôte... ). Vente à prix trop bas ou inutile, comme par exemple la souscription d'un abonnement internet à une personne qui n'a pas d'ordinateur Transactions conclues dans l'urgence lorsque la victime n'a pas eu le temps d'avoir un devis (par exemple, serrure bloquée, voiture ou chauffage en panne) Pressions psychologiques exercées sur une personne sous l'emprise d'une secte, de mouvements sectaires ou encore d'un tiers (un voisin, un ami, un membre de la famille... Ces pressions doivent la conduire à faire un acte contraire à son intérêt. Remises de somme d'argent importantes et inhabituelles (virements, chèques, paiement par carte bancaire, retraits bancaires) faits par des personnes particulièrement vulnérables.