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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Dernier Souvenir op. 79
Genre
mélodie française
Musique
Mel Bonis
Dates de composition
1909
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Le Dernier Souvenir, op. 79, est une œuvre de la compositrice Mel Bonis, datant de 1909. Composition [ modifier | modifier le code]
Mel Bonis compose son Dernier Souvenir sur un poème de Leconte de Lisle en 1909. Il existe trois manuscrit dont un porte la mention raturée de « musique de Henry W. Liadoff » et « à orchestrer ». L'œuvre a été éditée à titre posthume par la maison Fortin Armiane en 2014 [ 1]. Analyse [ modifier | modifier le code]
Contrairement à la grande tradition de la mélodie française, Mel Bonis utilisera très peu de textes de grands classiques. Le Dernier Souvenir fait alors figure d'exception, tout comme l' Épithalame, op. 75, sur un texte de Victor Hugo. Réception [ modifier | modifier le code]
Discographie [ modifier | modifier le code]
Références [ modifier | modifier le code]
Sources [ modifier | modifier le code]
Étienne Jardin, Mel Bonis (1858-1937): parcours d'une compositrice de la Belle Époque, 2020 ( ISBN 978-2-330-13313-9 et 2-330-13313-8, OCLC 1153996478, lire en ligne)
Liens externes [ modifier | modifier le code]
Portail de la musique classique
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Le dernier souvenir J'ai vécu, je suis mort. – Les yeux ouverts, je coule Dans l'incommensurable abîme, sans rien voir, Lent comme une agonie et lourd comme une foule. Inerte, blême, au fond d'un lugubre entonnoir Je descends d'heure en heure et d'année en année, A travers le Muet, l'Immobile, le Noir. Je songe et ne sens plus. L'épreuve est terminée. Qu'est-ce donc que la vie? Etais-je jeune ou vieux? Soleil! Amour! – Rien, rien. Va, chair abandonnée! Tournoie, enfonce, va! Le vide est dans tes yeux, Et l'oubli s'épaissit et t'absorbe à mesure. Si je rêvais! Non, non, je suis bien mort. Tant mieux. Mais ce spectre, ce cri, cette horrible blessure? Cela dut m'arriver en des temps très anciens. Ô nuit! Nuit du néant, prends-moi! – La chose est sûre: Quelqu'un m'a dévoré le cœur. Je me souviens.
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J'ai vécu, je suis mort. – Les yeux ouverts, je coule Dans l'incommensurable abîme, sans rien voir, Lent comme une agonie et lourd comme une foule. Inerte, blême, au fond d'un lugubre entonnoir Je descends d'heure en heure et d'année en année, À travers le Muet, l'Immobile, le Noir. Je songe, et ne sens plus. L'épreuve est terminée. Qu'est-ce donc que la vie? Étais-je jeune ou vieux? Soleil! Amour! – Rien, rien. Va, chair abandonnée! Tournoie, enfonce, va! Le vide est dans tes yeux, Et l'oubli s'épaissit et t'absorbe à mesure. Si je rêvais! Non, non, je suis bien mort. Tant mieux. Mais ce spectre, ce cri, cette horrible blessure? Cela dut m'arriver en des temps très anciens. Ô nuit! Nuit du néant, prends-moi! – La chose est sûre:
Quelqu'un m'a dévoré le coeur. Je me souviens.
Niagara resplendissant,
Ce fleuve s'écroule aux nuées,
Et rejaillit en y laissant
Des écumes d'éclairs trouées. Soudain le géant Orion,
Ou quelque sagittaire antique,
Du côté du septentrion
Dresse sa stature athlétique. Le Chasseur tend son arc de fer
Tout rouge au sortir de la forge,
Et, faisant un pas sur la mer,
Transperce le Rok à la gorge. D'un coup d'aile l'oiseau sanglant
S'enfonce à travers l'étendue;
Et le soleil tombe en brûlant,
Et brise sa masse éperdue. Alors des volutes de feu
Dévorent d'immenses prairies,
S'élancent, et, du zénith bleu,
Pleuvent en flots de pierreries. Sur la face du ciel mouvant
Gisent de flamboyants décombres;
Un dernier jet exhale au vent
Des tourbillons de pourpre et d'ombres;
Et, se dilantant par bonds lourds,
Muette, sinistre, profonde,
La nuit traîne son noirs velours
Sur la solitude du monde.