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Accueil de l'agenda jour précédent | jour suivant Mercredi 6 avril 1966 Aucun évènement signalé ce jour ci. Quelques idées de sorties? Promenade de la confluence Orge-Seine Promenade Sinaia (Confluence de l'Orge et de la Seine) Domaine départemental de Chamarande
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6 Avril 1986 Portant
Quitter le mode plein écran Texte Le 6 avril 1966, le Conseil permanent de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) se réunit afin de débattre de la réponse à la question écrite n° 97, soumise au Conseil par Lord Grantchester, membre de la commission des questions de défense et des armements de l'Assemblée. L'Ambassadeur français, Geoffroy Chodron de Courcel, confirme que son gouvernement peut accepter le document WPM(525) soumis par le groupe de travail, mais pas le C(66)42 de la délégation britannique car il ne convient pas à l'UEO de traiter d'une question qui est actuellement examinée par le Conseil de l'Atlantique Nord. Même si le représentant britannique, Lord Samuel Hood remarque qu'il n'y a pas de différence fondamentale entre les deux projets et qu'un accord devrait être possible, le représentant français affirme qu'il n'est pas possible d'avancer en raison des différences fondamentales entre les délégations. Le Conseil invite le secrétaire général à informer l'Assemblée qu'il n'est pas possible de répondre à la question écrite.
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Moucharabiah. extraits de poésie arabe. Parmi tous les vêtements, que Dieu confonde le voile! tant que nous vivrons, ce sera un fléau pour les jeunes. Il nous cache les belles, sans que nous puissions les voir,
camoufle les vilaines pour nous induire en erreur. Poesie arabe sur la femme parfaite. Adieu
O Mayya! Tes lèvres par un orfèvre ciselées,
après le sommeil, et ton corps, tendre rameau brisé! Je revois les deux prunelles, un cou gracile et blanc;
je revois les flancs alanguis ou affleure le sang,
uniques, tirant la poursuite, au mépris des gazelles...
nous tuant sans pitié, sous le blâme et la réprimande. Elle a vu ma pâleur, elle a vu mes rides multiples,
après les injures du temps et du siècle superbe,
dépouillant tout mon corps de sa frondaison de jeunesse;
feuilles mortes, quand on agite un rameau nu, qui tombent...
ou plutôt j'ai rompu l'étreinte, acceptant le refus,
et la soeur des Banou-Labîd en a été surprise. DHOU'L-ROUMMAH (117-735)
Sur le sable, l'empreinte de nos corps
Arrêtons-nous et pleurons au souvenir de l'aimée.
Poesie Arabe Sur La Femme Samaritaine
Vers mon aimée, mes pas portent tout mon désir,
Et vers où iraient-ils, si le cœur ne suit pas? »
Vers de Al-Abbas Ibn Al-Ahnaf, poète classique irakien, (mort après 193/808)
« Ah! Te souffler ce que je porte en moi,
O toi mon repos, ô toi mon tourment! Toulon : Amour érotisme et poésie arabe | TV83. Vienne le jour où ma langue saura
Mieux qu'une lettre expliquer savamment…
Ainsi, Dieu le sait, j'ai changé de vie:
Je suis en toi pour tout ce que je suis. De tous les mets j'ai perdu la caresse
Et quant à boire, un supplice j'endure. Vent de folie sur mes saintes lectures,
Toi qui justifies amour et jeunesse,
Tu es soleil, soleil évanoui,
Voilant à mes yeux sa fuyante image,
Et quand la lune éblouissante luit
Sur le troupeau servile des nuages,
Je vois en elle, unique, ton visage
Qui, par-delà ses voiles, resplendit. »
Vers de Ibn Zaydûn, qui a été séparé de force de la princesse Wallâda, (394/1003 – 463/1070)
« Le cœur s'est obstiné: point ne renoncera. L'amour s'est exalté: point ne se cachera. Les larmes vont coulant, en flot inassouvi.
Poesie Arabe Sur La Femme Rurale
Je ne m'apaise guère à lui voir l'air heureux:
Les reproches suivront, j'en suis bien averti. C'est elle la fautive, et moi qui pleure et crains
Un refus demandant sa grâce à la coupable. Aurais-je quatre-vingt-dix cœurs, ils seraient pleins
Tous d'elles, et à toute autre qu'elle inabordables. Qui ne connaît ce qu'est l'amour, qui, sinon elle? Qui est pris, comme moi, dans les plis de l'amour? J'écris, j'attends: point de réponse ni secours. J'envoie quelqu'un: on se fait distante et rebelle. Votre accueil est rupture, et l'amour, pour vous, haine. Dédain votre tendresse, et guerre votre paix. Poesie arabe sur la femme rurale. Dieu a voulu que vous fussiez cette inhumaine:
Gêneur est à vos yeux qui très humble se fait. « Toujours pressé », dites-vous quand je vous visite,
Et si je laisse un jour sans vous voir, quels reproches! J'en suis là: si je fuis, le blâme je mérite,
Et ne peux que souffrir lorsque je vous approche. Mais si vous fuyez, vous, vous dites ne pas fuir. Votre amour? Mais l'amour vous ne connaissez pas.
J'ai voulu l'aller voir, prendre en ma main sa main,
N'a saisi qu'un peu d'ombre et d'image rebelle,
Ce leurre de visite, au moins, m'a fait trouver
Le bonheur des secrets, loin de toute apparence. Aussi bien, pour donner forme à ses espérances,
Faut-il les confier aux pensées du poète. Toi dont l'œil, par magie, tient la mort toute prête,
Sais-tu quel jugement attend le magicien? Chez toi, je l'ai bien vu, toute l'audace tient
En ce sabre tranchant: un regard sans chaleur. Citation arabe : 65 citations des Arabes. Tu as fiché l'amour, en plein vol, dans mon cœur:
Toucher ainsi l'oiseau qui vole, n'est-ce rien? »
Vers de Ibn Hamdîs, le plus célèbre poète de la Sicile arabe, (447/1055 – 527/1133)
« Une alcôve…, une dame en son lit visitée! Au plus noir de la nuit, mon refuge quitté,
J'arrive, plein d'amour, la serre sur mon cœur,
Si fort que ses bijoux se cassent, j'en ai peur. Elle s'étonne en me voyant pâle, défait. « C'est de t'aimer », lui dis-je. Et elle: « Je le sais. » »
Vers de Ibn al-Labbâna, fils de crémière qui connut la fortune avec sa poésie auprès d'Ibn'Abbâd, souverain de Séville, (mort en 507/1113)
« Si ce nid de beauté pouvait frémir un peu
De cet amour en moi pour les cœurs réunis!