Amen. Jardinier de Dieu
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- 23ème dimanche du temps ordinaire année c m
23Ème Dimanche Du Temps Ordinaire Année C M
Mais il nous demande de « prendre soin » car nous sommes responsables les uns des autres. Faire des reproches ici ce n'est pas synonyme d'accuser, comme nous pouvons être tentés de penser. Ce n'est pas non plus synonyme de jugement tel que nous entendons aujourd'hui. Ici, faire des reproches c'est surtout « amener avec conviction vers la lumière! » Et la lumière pour nous est le Christ! La correction fraternelle n'est pas un passe-temps auquel nous pouvons nous adonner pour « régler » les comptes avec quelqu'un, mais c'est le lieu où, ensemble, nous avançons vers le Christ. D'ailleurs, il nous donne bien la « méthode »: d'abord seul à seul ensuite, si cela ne marche pas, avec des témoins et en dernier recours devant la Communauté. Et notre relation a une influence sur la communauté. 23ème dimanche du temps ordinaire année c de la. D'où la nécessité de prendre le chemin vers la Lumière du Christ. Mais le prendre ensemble. Prendre soin de l'autre, c'est alors prendre soin de la Communauté. Et comme nous voyons dans ce passage, il ne s'agit pas d'accuser l'autre ni de le dénigrer… ce n'est pas du commérage ni de la méchanceté.
»
À tes yeux, mille ans sont comme hier,
c'est un jour qui s'en va, une heure dans la nuit. Tu les as balayés: ce n'est qu'un songe;
dès le matin, c'est une herbe changeante:
elle fleurit le matin, elle change;
le soir, elle est fanée, desséchée. Apprends-nous la vraie mesure de nos jours:
que nos cœurs pénètrent la sagesse. Reviens, Seigneur, pourquoi tarder? Ravise-toi par égard pour tes serviteurs. Rassasie-nous de ton amour au matin,
que nous passions nos jours dans la joie et les chants. 23ème DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE, année C - Missionnaires de la Divine Volonté. Que vienne sur nous la douceur du Seigneur notre Dieu! Consolide pour nous l'ouvrage de nos mains. DEUXIÈME LECTURE
« Accueille-le, non plus comme un esclave, mais comme un frère bien-aimé » (Phm 9b-10. 12-17)
Lecture de la lettre de saint Paul apôtre à Philémon
Bien-aimé,
moi, Paul, tel que je suis, un vieil homme
et, qui plus est, prisonnier maintenant à cause du Christ Jésus,
j'ai quelque chose à te demander pour Onésime,
mon enfant à qui, en prison, j'ai donné la vie dans le Christ. Je te le renvoie,
lui qui est comme mon cœur.